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Si votre professeur vous reproche de manquer de méthode, gardez près de vous les notes copiées d'un site universitaire, lorsque vous préparez votre devoir. http://www.ifac.univ-nantes.fr/IMG/pdf/methodologie_de_la_dissertation.pdf La consultation du site d'un professeur peut vous aider: philolog et rappel de ce conseil Un truc pour problématiser en philo : « vraiment » et « au contraire » Publié le mai 15, 2007 par François Jourde La dissertation de philosophie n’est pas la réponse directe à la question posée par le sujet, mais la réflexion sur le problème ouvert par cette question. Autrement dit, une dissertation de philosophie pose (introduction), traite (développement) et tente de résoudre (conclusion) un problème philosophique. La difficulté est alors de transformer le sujet (question posée) en un problème philosophique. Je vous propose un « truc ». 1) Introduisez l’adverbe « vraiment » dans la question. 2) En utilisant « au contraire« , formulez une thèse opposée ou différente. 3) Reformulez le problème. Exemple 1 : Sujet (bac) : L’ignorance est-elle parfois un bien ? Ajout de l’adverbe : L’ignorance est-elle vraiment parfois un bien ? Fomulation de l’opposition : L’ignorance n’est-elle pas au contrairetoujours un mal ? Reformulation du problème : Autrement dit, l’ignorance (ne pas connaître la vérité) peut-elle être un bien (une chose juste et désirable), ou est-ce au contraire toujours un mal ? L’ignorance peut-elle vraiment parfois être désirée, ou doit-elle toujours être pourchassée ? Exemple 2 : Sujet (bac) : La tradition est-elle la soumission à un passé révolu ? Ajout de l’adverbe : La tradition est-elle vraiment la soumission à un passé révolu ? Fomulation de l’opposition : La tradition n’est-elle pas au contraireun autre rapport au passé ? N’est-elle pas au contraire une liberté ? Reformulation qui pose le problème : Autrement dit, la tradition (la transmission et la répétition des pratiques et des pensées de nos ancêtres) est-elle vraiment la soumission à un temps ne correspondant plus à notre présent ? la tradition n’est-elle pas au contraire une forme de liberté ? La perpétuation du passé ne permet-elle pas de mieux vivre le présent ? Exemple 3 : Sujet (bac) : La persuasion est-elle l’ennemie de la raison ? Ajout de l’adverbe : La persuasion est-elle vraiment l’ennemie de la raison ? Fomulation de l’opposition : La persuasion n’est-elle pas au contrairel’alliée de la raison ? Reformulation qui pose le problème : Autrement dit, le fait de provoquer un sentiment de certitude est-il opposé à l’exercice de la pensée rationnelle ? Il y a sans doute de bonnes raisons de le penser. Mais n’y a-t-il pas aussi de bonnes raisons d’affirmer que la persuasion peut être rationnelle ? voir également le message complété par Liu:France culture révisions bac philo3 points
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avant la hausse, le croissant valait P (ce qu'on cherche) première augmentation de 2% : son prix devient P1 = P + 0,02 P =1,02 P deuxième augmentation (donc par rapport à P1 cette fois), son prix devient P2 = P1+0,02 P1 =1,02 P1 = 1,02 x 1,02 P = 1,56 € on tire P =1,499...=1,50 € étant donnée la précision demandée. pzorba75 (bonjour) un peu d'indulgence c'est vrai que ce n'est pas surhumain mais il ne s'agit peut-être pas d'une classe de lycée général dans le cinquième arrondissement de Paris ; c'est bien ça le problème : il faudrait mieux que chacun absorbe ce genre de problème sans souffrances plutôt que d'avoir une élite pour Normale Sup et un grand fossé en dessous. (Je précise que j'étais moi-même bien loin de pouvoir rentrer en prépa et que j'étais plus proche du fossé !)3 points
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Bonjour, pourquoi ne pas prendre le temps de lire? Faire l'effort serait parfois utile.2 points
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C'est un sujet intéressant, formulé de façon un peu lourde. Commençons par examiner les termes: "Est-ce que nous sommes libres de décider par nous-mêmes de notre propre nature?" A première vue, la question est un non-sens: comment peut-on être libre de décider de sa propre nature? Est-ce qu'un loup peut décider de ne pas avoir envie de chasser? Si c'est notre nature, alors par définition nous ne la choisissons pas. Ensuite, ce redoublement "de décider par nous-mêmes", ce qui signifie que ça ne peut pas être un choix biaisé ou une ruse de la nature. Pourtant, la question n'est pas si absurde, puisque nous avons de nombreuses pratiques qui relèvent de de la modification choisie de nos attributs naturels. Parfois c'est une tradition culturelle dont le sens est perdu depuis des millénaires: la circoncision par exemple. Des fois, c'est un choix esthétique plutôt rationnel: l'orthodontie, finalement, c'est modifier sa propre dentition pour son confort, sa beauté et éviter d'éventuelles complications. Nous avons des possibilités médicales et culturelles qui posent de nouveaux choix moraux: contrairement au lion, aux abeilles ou à l'araignée, les humains peuvent discuter de bioéthique. Mais les exemples ne s'arrêtent pas là, nous avons en fait beaucoup de béquilles pour modifier notre propre nature: les antibiotiques, les vaccins, la chirurgie... Et même modifier l'avenir génétique de notre famille, par choix: quand une femme fait un diagnostic prénatal et se rend compte que son foetus a une anomalie génétique (la trichromosomie 21, par exemple), elle peut choisir d'avorter. Et ce choix est compréhensible pour des raisons sociales ou économiques: élever un enfant handicapé coûte cher, et on a peu de chances de le voir devenir indépendant et heureux quand on sera vieux. Dans certains pays comme l'Islande ou les Pays-Bas, le choix d'avorter un foetus atteint de maladie génétique est si courant que ces anomalies disparaissent de la population: il n'y a plus aucune naissance de trichromosomiques 21 en Islande depuis des années. Au final, nous vivons dans une société où les individus choisissent de changer leur nature. Et ça arrive en permanence, en fait. Que l'on parle de corrections mineures: porter un appareil dentaire à l'adolescence pour avoir des dents mieux alignées à l'âge adulte. Ou d'un eugénisme médical et préventif: avorter les foetus malformés. De renforcements biologiques (les vaccins) ou technologiques (les pacemakers). Ou encore de modifications psycho-sociales, car les normes sociales viennent contrarier les instincts naturels: j'ai été conditionné à ne pas frapper mon voisin pour coucher avec ma voisine, par exemple. Ou encore de choix éthiques: un végane peut renoncer à la viande, qu'il pourrait digérer sans problème, par sensibilité à la cause animale et aux problèmes écologiques de l'élevage de masse. Si le loup et le lion n'ont pas la possibilité biologique de renoncer à la viande (ils ne sont pas équipés pour mastiquer ou digérer des fibres végétales), nous pouvons nous contenter de végétaux avec quelques suppléments: tuer pour manger est devenu un choix éthique et social, ce n'est plus une nécessité naturelle. Et si les développements les plus récents (pacemakers, vaccins, pilule contraceptive, thérapie génique, etc...) nous focalisent sur la modernité, cette problématique est en réalité très ancienne. Les archéologues retrouvent parfois des crânes millénaires qui ont subit une trépanation et ont cicatrisé. Les paléontologues retrouvent des squelettes préhistoriques d'handicapés physiques qui ont vécu jusqu'à soixante ans: leur tribu a pris soin d'eux, contrariant la nature par leurs soins. Et si toute notre culture, de la morale à la médecine, ne reposait pas sur notre tendance à contrarier la nature?2 points
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Je trouve ce sujet particulièrement étrange dans la mesure où il fait appel à une expérience de pensée. Réponse courte: oui, mais... Réponse longue: il faut déjà définir ce que sont ces vérités universelles, et pourquoi la raison est universelle également. Nous sommes capables de d'accéder à des vérités vérifiables par tous les êtres rationnels, comme des théorèmes mathématiques ou des démonstrations logiques, ou encore des lois naturelles que nous exprimons en langage mathématique (c'est ce que fait la physique). Notre raison semble universelle dans la mesure où nous sommes capables de communiquer avec d'autres êtres humains et de nous accorder sur ces vérités universelles. De fait, les mathématiques ne sont pas dépendantes de la culture, seulement la façon dont on les exprime (si l'Indien Brahmagupta a inventé le zéro pour faciliter l'écriture mathématique, le concept de zéro existait déjà, il était exprimé par un vide dans le calcul avant que Brahmagupta n'entoure ce vide pour créer un symbole: 0 ). Et de fait, lorsque des compagnies internationales discutent, elles peuvent se disputer sur le protocole, la signification des gestes et des couleurs dans une réunion, et sur les taux de taxation de leurs factures... mais pas sur les calculs qui permettent ladite facture: aucune compagnie ne peut en gruger une autre en prétendant que 2 et 2 font 5. Ces lois mathématiques font parties des vérités universelles. Maintenant, plaçons-nous dans l'expérience de pensée: et si notre raison n'était pas universelle? Si nous avions des raisons particulières, capables de se comprendre entre elles par des symboles communs, un langage, mais inégalement capables de découvrir des vérités universelles? Cela nous empêcherait-il de découvrir des vérités universelles? Non, car dans le grand nombre de cerveaux, et donc de raisons particulières disponibles, certains finiraient par tomber sur des lois universelles. Parfois par erreur, parfois par tâtonnement (méthode empirique), et on peut imaginer que dans un nombre suffisamment grand d'esprits irrationnels, on finirait par trouver un esprit rationnel (ou très proche de la raison sur de nombreux points), ce seraient les génies de ce monde. Mais puisqu'ils vivraient en permanence au contact d'esprits irrationnels, il leur serait impossible de transmettre ces vérités universelles: pas de cours de maths possibles entre esprits irrationnels, qui ont chacun leur singularité dans l'irrationnel. Les découvertes universelles seraient des événements rares et pratiquement impossible à communiquer. Dès lors, les rares génies de ce monde seraient solitaires et isolés, ils comprendraient peut-être l'universalité de leur découverte mais ne pourraient pas l'enseigner. Pire, ils seraient peut-être considérés comme des fous ou des sorciers au milieu d'une société irrationnelle. On peut seulement espérer que ces découvertes universelles aient une application pratique facile à comprendre pour des esprits irrationnels. Il n'y aurait pas besoin pour eux de comprendre quoi que ce soit, mais juste d'apprendre une règle qui fonctionne, et de l'utiliser pour la simple raison qu'elle fonctionne, tandis que les autres échouent. On verrait ainsi de nombreux techniciens appliquer des formules et des théorèmes qu'ils ne comprennent pas, sans autre raison que les autres tentatives, qui s'appuient sur d'autres règles, mènent à l'échec de leur projet. Ainsi, par l'intelligence collective d'esprits individuellement fermés à l'universalité, on verrait émerger un monde où certaines découvertes ont fait école et sont devenues des traditions. Bien sûr, dans la population irrationnelle de nombreuses personnes continueraient de faire n'importe quoi, incapable de comprendre la règle, ou même l'intérêt de suivre une règle. Simplement, leurs projets échoueraient systématiquement et ne laisseraient pas de trace, tandis que les constructions utilisant une règle universelle laisseraient des monuments et autres productions visibles. On peut imaginer une sorte d'efficacité culturelle qui finirait avec le temps par sélectionner les méthodes en accord avec des vérités universelles, quelle que soit l'hostilité et le manque de méthode des individus irrationnels composant cette société, de la même façon que les abeilles domestiques font des rayons de cire hexagonaux. Non parce qu'elles comprennent mathématiquement pourquoi l'hexagone est le polygone qui a le rapport périmètre/surface le plus économique, et qu'elles sauraient le calculer, le démontrer et l'enseigner aux autres abeilles. Mais simplement parce qu'elles font leurs rayons de miel avec le moins de cire possible, et que cette seule économie de matière suffit à refermer les rayons en hexagone.2 points
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Tu as exactement la bonne thèse, bien joué! Pour les parties du texte: on peut le découper en deux grandes parties. D'abord l'explication d'une différence entre l'homme "sauvage" et le civilisé. Puis l'explication de la cause de cette différence. Je te laisse trouver la césure entre les deux. Pour rédiger une intro: 1) présente l'auteur en une seule phrase (pas de wikipédia bombing avec les dates, précise juste son siècle et son mouvement de pensée, c'est largement suffisant). 2) Explique tout de suite le thème du texte. 3) Viens-en à la problématique. 4) Explique la thèse. 5) Annonce le plan. 6) Enjoy!2 points
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Probabilité
nyaces et un autre ont réagi à Black Jack pour un sujet
Bonjour, Juste pour savoir ... Avec 100 bateaux au total et sachant que deux sur trois ont un radar à bord ... Quel est le nombre de bateaux avec radar ? Et quel est le nombre de bateaux sans radar ? La question pourrait sembler anodine ... mais en demandant une probabilité à 10^-4 près, on ne peut pas ne pas répondre à mon interrogation.2 points -
Lettre D'une Blonde à Son Fils
BouleDeNeige et un autre ont réagi à Vanderbick pour un sujet
Cher fils ! Je t'écris ces lignes pour que tu saches que je t'écris. Alors, si tu reçois cette lettre, c'est qu'elle est bien arrivée. Si tu ne la reçois pas, tu me préviens pour que je te la renvoie. Je t'écris lentement parce que je sais que tu ne lis pas très vite. L'autre jour, ton père a lu que selon les enquêtes la plupart des accidents arrivent à 1 km de la maison, ainsi nous nous sommes décidés à déménager plus loin. La maison est superbe; elle a une machine à laver, mais je ne suis pas sûre qu'elle fonctionne. Hier, j'ai mis le linge dedans, j'ai tiré la chasse et je n'ai plus vu le linge depuis, mais bon. Le temps ici n'est pas trop mauvais. La semaine dernière il a plu seulement deux fois. La première fois, la pluie a duré 3 jours, la deuxième 4. A propos de la veste que tu voulais, ton oncle Pierre m'a dit que si nous te l'envoyions avec les boutons, comme ils sont lourds, ça coûterait plus cher; alors, nous avons enlevé les boutons et les avons mis dans la poche. Je te raconte que l'autre jour, il y a eu une explosion à gaz dans la cuisine, et ton père et moi sommes sortis propulsés dans l'air au dehors de la maison; quelle émotion ! C'est la première fois que ton père et moi sortons ensemble depuis des années. Le médecin est venu à la maison pour voir si nous étions bien et il m'a mis un tube en verre dans la bouche. Il m'a dit de me taire pendant 10 minutes, ton père lui a proposé de lui racheter le tube. Et puisqu'on parle de ton père, je t'annonce qu'il a du travail, il en est fier, il travaille au-dessus d'à peu près 500 personnes. Ils l'ont pris pour couper le gazon dans le cimetière. Ta sœur Julie, celle qui s'est mariée avec son mari, elle a enfin mis au monde, mais on ne sait pas encore le sexe, je ne saurais pas te dire si tu es oncle ou tante. Ton père a demandé à ta sœur Lucie si elle est enceinte, elle lui a dit qu'oui, de 5 mois déjà; mais là, ton père a demandé si elle était sûre qu'il était d'elle. Lucie lui a dit qu'oui. Quelle fille solide, quelle fierté, tel père telle fille. Ton cousin Paul s'est marié et il prie tous les jours devant sa femme, parce qu'elle est vierge. Par contre, on n'a plus revu l'oncle Isidore, celui qui est mort l'année dernière. Ton chien Pouky nous inquiète, il continue à poursuivre les voitures à l'arrêt.Mais ton frère Jeannot, c'est pire. Il a fermé la voiture et il a laissé les clefs à l'intérieur. Il a dû aller chez lui chercher le double pour pouvoir nous sortir tous de là. Bon, mon fils, je ne t'écris pas l'adresse sur la lettre, je ne la connais pas. En fait, la dernière famille qui a habité ici est partie avec les numéros pour les remettre dans leur nouveau domicile. Si tu vois Marguerite, passe-lui le bonjour. Si tu ne la vois pas, ne lui dis rien. Ta mère qui t'adore P.S. J'allais te mettre quelques sous, mais j'ai déjà fermé l'enveloppe.2 points -
supprimer mon compte
hajarboughida et un autre ont réagi à anylor pour un sujet
@mouloud4 pour info , même en supprimant ton compte, cela ne fera pas disparaître ton devoir.2 points -
bonjour tout est ok, sauf les sachets pour les flancs il faut commander : 7 paquets carottes -> 3*7= 21€ 62 boîtes de steak -> 62*7,90=489.80€ 5 paquets de pâtes ->5*3 = 15€ 7 paquets de fromage ->7*30 = 210€ 11 packs de lait -> 11*3,45 =37.95 € 7 paquets de flanc -> 7€ car : il faut 1 sachet par litre donc il faut 61.2 sachets 1 paquet de 10 sachets = 1€ 7 paquets de 10 sachets = 7€ (car les flancs sont vendus par 10 donc tu es obligée d'en acheter 7 paquets) je te laisse refaire l'addition attention à l'orthographe : Je vais payer pour ce repas ....2 points
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Bonsoir, A)2)c) Pour moi : f(0)=1/2 f(1)=1 et f(x) strictement croissant sur [0;1] => f([1/2;1]) inclus dans [1/2;1] B)2) un<un-1 => comme f(x) est croissante f(un)<f(un-1) soit un+1<un. B)3) Effectivement, une suite décroissante et minorée converge. La limite l vérifie l=f(l), en terminale, c'est un résultat admis. C)2) g(x) croissante de -1 à +infini => Cf. TVI, que g(x)=0 admet une seule solution sur [0;+infini[ 3) Pour l'encadrement, utilise un tableur en commençant par un encadrement grossier et en réduisant progressivement l'intervalle. Tu peux aussi utiliser le solver d'un logiciel ou de la calculette.2 points
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Python
C8H10N4O2 et un autre ont réagi à Denis CAMUS pour un sujet
Il y a aussi Thonny Python : https://thonny.org/2 points -
j'ai un problème avec la correction de mon devoir
Liu et un autre ont réagi à Filousophe pour un sujet
Voici pour vous permettre de mieux juger votre copie, un corrigé de l'introduction du problème et de l'argumentation, ainsi qu'une présentation des démarches de l'opinion et de Hegel pour vous permettre de mieux comprendre le texte. Tout homme a des idées, ou plus exactement se fait des idées sur le monde, la société et surtout lui - même. Face à l’opinion, la tâche du philosophe est de l’analyser, de lui donner son sens commun, mais aussi de la corriger, voire éventuellement de dénoncer ses effets pervers ou ses conséquences dangereuses et de lui donner un sens philosophique. Ainsi quels sens peut-on donner à l’expression : c’est plus fort que moi » utilisée par l'opinion pour justifier sa passivité face à des aléas, circonstances ou déterminations diverses? Il faut savoir si , comme le croit l'opinion, l’homme a en lui des sources d’aliénation si puissantes qu’elles le dépossèdent de sa liberté ou si au contraire, comme le soutient Hegel, il possède un pouvoir de maîtrise lui permettant de garder sa liberté et l'entière responsabilité de ses actes. L’enjeu est d’importance car il s’agit rien moins que de la liberté de l’homme et de sa responsabilité morale. * L’objectif que poursuit Hegel dans ce texte est de corriger une opinion en remettant en cause la vision qu’elle se fait de l’homme. Elle le définit comme être passif, soumis à des forces externes ou internes. Il y substitue sa propre thèse qui constitue l’idée maîtresse du texte : l’homme en tant que raison a toute liberté d’acquiescer à tel mobile ou de refuser telle circonstance, de les assumer ou non. Cette thèse affirme ainsi le pouvoir et la volonté de l’homme et par là sa liberté et son entière responsabilité de ses actes.. Le texte fonctionne sur une série d’oppositions conceptuelles entre l’idée que le sens commun se fait de l’homme, un être passif, effet de causes externes ou internes, aliéné et non-libre et ce qu’est en réalité l’homme, un être actif, cause de soi, libre. Dans sa démarche d’analyse critique d’une opinion courante, Hegel mène par un raisonnement inductif à sa conclusion , qui constitue sa thèse. Hegel commence par énoncer l’opinion qu’il va corriger, en affirmant nettement son statut d’opinion. Il la radicalise en élucidant ses postulats et il amorce sa réfutation en introduisant une objection. Il la pousse dans ses conséquences en la transformant en thèse philosophique, en énonçant ses présupposés. Il réfute ce fondement philosophique de l’opinion en y substituant sa thèse. Il démontre ainsi l’erreur de l’opinion, sa méconnaissance du moi. Elle oublie la capacité réflexive de l’homme. Il démasque sa fonction justificative : elle sert d’alibi pour excuser nos démissions. On peut ramener le raisonnement de Hegel à un raisonnement en trois propositions : On croit que l’homme est passif, soumis à la force des choses ou le jouet de ses pulsions. Or en réalité il est aussi et surtout actif. La nécessité, externe ou interne ne joue pas un rôle déterminant. Donc l’homme est libre, sa conduite ne dépend que de lui. Notre conduite, nos actes ne dépendent que de nous-mêmes et non des circonstances qui nous entourent. Le vouloir de l’homme est parfaitement libre. Hegel rejette la force des choses, tout appel à une simple relation de causalité. L’homme est un être capable de réflexion et les circonstances et les mobiles ne font que refléter notre vouloir. Le caractère actif du vouloir. La nécessité des choses ne joue pas un rôle déterminant, la conduite de l’homme ne dépend que de lui. Dans le texte de Hegel, c’est un discours du moi sur lui-même, l’image de soi que le sens commun se donne à lui-même et donne aux autres L’opinion saisit une part de la réalité. Elle est consciente que des déterminations internes (mobiles, pulsions, entraînements affectifs) ou externes (circonstances, la force des choses) peuvent constituer des obstacles à l’action libre. Mais elle surestime l’importance de ces éléments et méconnaît les pouvoirs dont dispose l’homme. L’opinion survalorise l’affectivité au détriment de la raison, le monde extérieur au détriment de la puissance du moi. Elle méconnaît le rôle du jugement qui permet d’acquiescer ou de refuser, le rôle de la volonté. On se croit déterminé, alors qu’en fait on est libre. On croît être un simple vivant parmi les vivants, soumis à la nature. En réalité l’homme est toujours actif. C’est lui qui donne sens, qui détermine ce que les mobiles, circonstances feront de lui, le pouvoir qu’ils auront sur lui.Il y a dans l'opinion une méconnaissance de soi, une méconnaissance du monde, du rôle des déterminations sur l’être humain. MOI MONDE Trop d’importance accordée aux mobiles Trop d’importance accordée aux affectifs, ignorance du rôle de l’activité déterminations externes : évènements, intellectuelle, du jugement, de la conscience, circonstances de la volonté, de l’essence de l’homme : il est réflexion. Démarches du philosophe Hegel va analyser ce discours de l’opinion sur la prétendue dépendance de l’homme et d’abord il va radicaliser l’opinion, la transformer en thèse philosophique en dégageant ce qu’elle implique. Il remet en cause le principe sur lequel elle repose. L’opinion ne prend pas en cause l’activité du jugement et le rôle de la volonté dans la prise en charge des déterminations internes ou externes par le moi. Hegel énonce les présupposés philosophiques de l’opinion et les réfute en précisant l’idée de causalité il va problématiser l’opinion en montrant son ignorance de l’essence de l’homme : l’homme par essence est un être qui possède la réflexion. De ce fait il peut surmonter les obstacles. L’homme de sens commun s’affiche comme être faible. Il prétend qu’il a été entraîné. Ne faut-il pas voir là de la mauvaise foi ? Elle présente le moi comme un être faible, irresponsable, balloté par des forces plus fortes que lui, une victime des emportements ou des circonstances. « Cela n’est pas de ma faute, c’est plus fort que moi, je n’ai pas pu m’en empêcher… » Hegel va dénoncer cette auto-illusion et démontrer qu’en croyant se disculper, qu’en se présentant comme un être faible, dépendant, l’homme en fait se cherche des alibis, il cherche à se justifier et à fuir ses responsabilités. Hegel substitue alors sa thèse philosophique à l’opinion en affirmant le pouvoir de l’homme et par là sa responsabilité pleine et entière. C’est l’homme et lui seul qui accorde aux déterminations le pouvoir qu’elles auront sur lui. Ainsi celui qui se croit faible est en réalité fort. L’opinion ne saisit que ce qui est manifeste, ce qui se passe dans l’instant. Elle ignore la personne dans sa dimension réflexive et volontaire, elle exagère l’importance de la sensibilité à laquelle elle réduit trop souvent le moi. Le philosophe lui, sait. Il est capable d’analyser la réalité, de reconnaître l’essence de l’homme.2 points -
j'ai un problème avec la correction de mon devoir
Liu et un autre ont réagi à Filousophe pour un sujet
Voyons maintenant la présentation de l'argumentation. C'est la un point positif de votre travail, vous essayez de respecter la démarche: présentation du problème et de l'intérêt philosophique, puis présentation de l'étude ordonnée. « L'argumentation est structurée en deux étapes. Dans une première partie, il ( qui? Utilisation imprécise du pronom) montre (verbe flou, un philosophe démontre) que la volonté de l'homme est déterminée par les circonstances. Dans une seconde partie, il cherche ( terme qui rend imprécise ses idées) à établir que les circonstances ont un effet sur l'homme s'il leur accorde de l'importance. »( présentation trop vague qui ne restitue pas l'idée forte de Hegel, la liberté de l'homme face aux déterminations tant externes qu'internes.) Cette présentation est imprécise et vague. Elle ignore la démarche essentielle de Hegel et par là le problème.Vous n'avez pas lu avec précision la première phrase du texte. Vous devez être comme un artisan qui vient rendre visite à l'atelier d'un autre artisan. Vous le trouvez en plein travail, mais comme vous exercez le même métier, vous savez ce qu'il fait, ce qu'il a fait précédemment et ce qu'il va faire ensuite.Ainsi vous entrez dans l'atelier de Hegel, un penseur comme vous et vous le voyez faire. Immédiatement vous devez identifier sa pratique et en raisonnant savoir ce qu'il va faire. " On dit volontiers..."ces trois mots suffisent pour identifier la démarche du philosophe: c'est la démarche philosophique d'analyse critique d'une opinion courante reconnaissable à cette structure: première phrase renvoyant à l'opinion:" on dit que...on soutient volontiers...on croit que..., puis à la deuxième ou troisième phrase un terme introduisant la correction :"Mais en réalité, mais en vérité" Vous n'avez pas identifié le double discours du texte: le discours de l'opinion, on croit que..., et le discours du philosophe:" mais en réalité..." et par là le problème opposant deux réponses contradictoires: La volonté de l'homme est-elle soumise passivement à des déterminations tant externes qu'internes comme le croit l'opinion ou bien au contraire, comme le soutient Hegel, sa volonté lui permet d'affirmer sa liberté et la responsabilité de ses actes.Voila le problème posé, poser une question n'est pas poser un problème. Face à l'opinion courante, que fait un philosophe? d'abord il expose l'opinion, identifiée comme telle: voici ce que dit l'opinion. Ensuite il la corrige: voici en quoi elle est erronée, le philosophe peut mettre en évidence le mécanisme de l'erreur, démontrer ses conséquences théoriques ou pratiques négatives, il peut en faire une analyse fonctionnelle: l'opinion est erronée, mais elle a une fonction, un usage. Enfin le philosophe doit établir la réalité: voici ce qui doit être dit.2 points -
chateau de cartes
Anna34 et un autre ont réagi à Olivier0507 pour un sujet
Je pense que le professeur attend au mieux que l'élève "intuite" le nombre de cartes nécessaires pour un château de n étages. Et même cela, c'est déjà très très largement hors programme, et l'intérêt pédagogique en est plus que limité du fait de la difficulté relativement au niveau. L'un des moyens les plus "simples" est de faire des dessins de châteaux pour différents nombres d'étages et de dénombrer le nombre de cartes horizontales et le nombre de cartes obliques nécessaires. Puis de généraliser une expression du nombre de cartes horizontales et obliques nécessaires au cas d'un nombre quelconque d'étages en s'appuyant sur ce que l'on a obtenu sur les exemples. (Voir en pièce jointe) Le nombre total de cartes pour un château de n étages est la somme du nombre de cartes horizontales nécessaires et du nombre de cartes obliques nécessaires soit n * (n-1) / 2 + n * (n+1)2 points -
Bonsoir Denis, Je pensais bien que ce n'était pas dans les cordes de notre administrateur, c'était plus un billet d'humeur qu'une vraie demande. Entre temps, j'ai consulté la liste des derniers visiteurs, on voit quels posts ont été regardés, mais ça s'arrête aux dernières 30(?) minutes donc il faudrait ne faire que ça si on voulait exercer un vrai contrôle. Cela dit, les demandes deviennent de plus en plus rares, donc il vaut mieux répondre, même si on sait qu'on aura peu de chances d'avoir un retour. Bon week-end prolongé.1 point
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Bonjour Denis, Sauf qu'il y a une erreur dans le corrigé. Le travail de l'énergie potentielle est mg*OB*sin(α). Mais lilouuuu vu son niveau (puisque acceptée en MPSI) a surement rectifié.1 point
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Devoir de physique
Snow009 ont réagi à Black Jack pour un sujet
Bonjour, Si la vitesse de refroidissement est constante sur toute la durée de l'exercice, comme c'est indiqué dans l'énoncé (bien que cela ne peut pas être correct). ... alors sur les 10 + 2 = 12 minutes que dure l'exercice, le refroidissement a été de 0,1 * 12 = 1,2 °C Si il n'y avait pas eu ce refroidissement, la température finale aurait été 16,8 + 1,2 = 18 °C On peut donc calculer la quantité d'eau ajoutée pendant les 10 minutes en faisant comme si il n'y avait pas de refroidissement et qu'on partait de 280 + 20 = 300 g d'eau à 16°C (cela tient compte de la valeur en eau du calorimètre) ... et qu'on ajoutait une masse M (en grammes) d'eau à 20 °C et que le résultat final était une masse (300 + M) grammes d'eau à 18 °C ... Le calcul est alors évident et devrait amener à une masse d'eau ajoutée M = 300 g1 point -
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Dm physique- Urgent
Lola12_ ont réagi à Black Jack pour un sujet
Bonjour, 1) Les protons ont une charge positive ... ils sont donc attirés par la plaque négative et repoussé par la plaque positive. Et donc l'armature reliée à la borne positive est ... 2) E = U/L = ... V/m 524934 V/m F = q * E (et la charge q d'un proton est e = 1,60.10^-19 C --> F = ... N (8,40.10^-14) 4) a(t) = F/m = e*E/m = e * U/(m*L) v(t) = a(t) * t = e * U/(m*L) * t x(t) = a(t) * t²/2 = e * U/(2*m*L) * t² 5) Vitesse max atteinte lorsque les protons arrivent en B, donc à l'instant t1 tel que x(t1) = L L = e * U/(2*m*L) * t1² t1² = 2*m*L²/(e*U) t1 = RacineCarrée[2*m*L²/(e*U)] v(t1) = e * U/(m*L) * RacineCarrée[2*m*L²/(e*U)] vB = v(t1) = RacineCarrée[2*e*U/m] (indépendant de la longueur L) 6) F = E * e = U/L * e W(F sur L) = F * L W(F sur L) = U/L * e * L W(F sur L) = U * e 7) Le travail de la force électrostatique sur la distance L = énergie cinétique du photon e * E * L = 1/2 . m . vB² vB² = 2qEL/m Or E = U/L --> v² = 2eU/m vB = RacineCarrée[2*e*U/m] (indépendant de la longueur L) Rien relu ... vérifie et fais les calculs numériques1 point -
😬 ! P0 dans ma notation ( "on passe d'un état (P0,V0,T0) à un état (P1,V1,T1 ) " ) c'est la pression qui intervient dans la relation des gaz parfaits PV= RT (voir cours et aussi les sites que j'ai indiqués sur internet) . Il se trouve que Poids et Pression , ça commence par P mais c'est un hasard ! En fait, tu verras en première que le kg , c'est une unité de masse ; mais ici, au niveau seconde, on assimile la force à la masse et on prend l'unité kgf ; si tu préfères , une MASSE de 1 kg, sur terre exerce sur un support quelconque (sur ton bras si tu la portes) une force de 1 kgf (f pour "force" ) et donc de 9,81 newtons. Sur la Lune ce serait la même masse mais elle exercerait une force - de mémoire- 5 à 6 fois plus petite. C'est en première qu'on te parlera de l'accélération de la pesanteur etc... Cette force s'exerce sur une surface S qui est celle du piston donc la PRESSION qui s'exerce est, par définition de la pression, la force due à la masse de 4kg PAR UNITE DE SURFACE , d'où le terme que j'ai noté Pg= P/S qui signifie : pression due à la masse de 4 kg posée sur le piston = force (ici en kgf) / surface -ou "section"- du piston (en cm²) (et on traite tout en kgf/cm² , peut importe du moment qu'on est cohérent) revois la définition de la pression (=force/surface). Pour te souvenir de ce que c'est physiquement : sur la neige, on emploie des skis ou des raquettes pour augmenter la surface sur le sol donc diminuer la pression et ainsi, ne pas s'enfoncer ! (mais c'est vrai que la neige, à Kinsasha....)1 point
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Faut-il que l'homme vive selon la nature ?
Calliclès ont réagi à Caliméro86 pour un sujet
Bonjour, j'ai un exercice en philo à faire, j'ai commencé mais je n'arrive pas à développer. Pour ma part je pense que l'homme doit vivre selon la nature, car c'est la nature qui lui permet de vivre, elle produit des aliments comme les légumes les fruits, mais aussi des aliments pour nourrir des animaux, elle produit de l'oxygène pour qu'on respire, elle nous procure également du bonheur. Ma problématique : peut-on vivre sans la nature ? Mon plan : que nous apporte la nature ? qu'apportons nous à la nature ? peut on vivre ensemble ? Pouvez vous m'aider ? merci philo.pdf1 point -
Bonsoir, Au cas où, une ébauche pour les deux conditions suivantes, mais sans garantie, donc à étudier et à tester. carre1=[[4,9,2], [3,5,7], [8,1,6]] carre=[[1,2,3], [4,5,6], [7,8,9]] n=len(carre) s=n*(n**2+1)/2 magic=True for ligne in carre : som=0 for col in ligne : som+=col if som !=s : magic=False for col in range(n): som=0 for lig in range(n): som+=carre[lig][col] if som !=s : magic=False som=0 for i in range(n): som+=carre[i][i] if som !=s : magic=False som=0 for i in reversed(range(n)): som+=carre[i][i] if som !=s : magic=False if magic : print("c'est un \"carré magique\"") else : print("ce n'est pas un \"carré magique\"") Il y a deux carrés au départ, un bon et un mauvais. Il suffit de changer carre1 en carre et carre en carre1 pour les tests.1 point
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Poème de Sappho
Yousraa69 ont réagi à Nègrepierre pour un sujet
Je me joins à Moiravita... C'est vraiment sympa de penser à nous ! Et je dis à mon tour : comment vas-tu ?1 point -
C'est sympa de penser à nous , les bénévoles... Et toi , comment vas-tu ?1 point
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Bonjour. J'avais supposé pour ce sujet que "lois" et "Etat" étaient strictement équivalents, puisqu'il n'y a pas de lois sans Etat, et qu'un Etat édicte forcément des lois. Les lois n'existent que grâce à l'Etat, selon moi, donc il était juste de remplacer la notion "les lois" par la notion "l'Etat" qui elle, est une notion de cours. Mais, je comprends ce que vous voulez dire, les lois peuvent être bonnes ou mauvaises, elles sont surtout manipulées par l'Etat et ses dirigeants. Je tâcherais de prendre acte de vos conseils et d'éviter d'écarter un pan du sujet en ratant la problématisation. A partir du sujet suivant: Discuter, est-ce renoncer à la violence ? La problématique-ci est-elle exacte : Le langage permet-il de dépasser la violence ou en est-il l'instrument ? Ici, ai-je raison d'associer "langage" et "discussion" ?1 point
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Poème
Lucielitte ont réagi à Jean B pour un sujet
Bonjour, Sans vouloir te décourager, je doute que tu reçoives des réponses. À ma connaissance, personne ici n'est devin. 👎 Au minimum, donne le titre du poème et son auteur.1 point -
Je vois que tu es passée par là. Comme annoncé, j'ai regardé cet après-midi l'exercice 7. Ci-dessous le résultat de mes cogitations. Je ne suis pas du tout sur que c'est cela qu'il fallait faire. Tu regardes et tu en fais ce que tu veux. Juste une remarque, avec les valeurs de l'énoncé, les temps affichés sont de 0,0 ! Du coup, j'ai tout multiplié par 10. N'hésite pas à faire plusieurs essais successifs, les temps affichés sont très variables. L=[] L1=[] from random import shuffle from time import time for i in range (1060): L1=[i,i] L.append(L1) shuffle(L) Dico=dict(L) def recherche1(L,k): for i in range(len(L)+1): if L[i][1]==k: break return k st=time() for k in range(500): recherche1(L,k) print(time()-st) def recherche2(Dico,k): for i in range(len(Dico)+1): if Dico[i]==k: break return k st=time() for k in range(500): recherche2(Dico,k) print(time()-st)1 point
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Je lis ceci sur Internet concernant le coût de revient: Pour l'obtenir il faut ajouter les charges directes et les charges indirectes du produit en question puis diviser celles-ci par les quantités produites. Ainsi, la formule utilisée est la suivante : Calcul du coût de revient = somme des charges directes et indirectes / quantités produites. J'imagine que ton livre dit la même chose , tu pourrais peut-être le lire. Si un vase pèse 2,5 kg d'une matière qui coûte 0,8€/kg au fabriquant, il me semble évident que le coût de production en € d'un vase est 2,5 x 0,8 une cuisson coûte 3€ pour 8 vases et il faut 2 cuissons , donc , unitairement, un vase coûte (en cuisson seulement) (3/8) x 2 € etc...tu ramènes tout à UN vase et la somme de tous ces coûts donne un coût total de revient (de production) C On veut faire une marge de 0,5 C , donc on vendra au prix de vente V =1,5 C (coût C + marge 0,5 C)1 point
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Bonsoir, Cette intervention juste pour que tu ne crois pas qu'on ne s'intéresse pas à ton problème, mais, j'ai l'impression qu'il dépasse les compétences de beaucoup d'intervenants de ce site. En tout cas, c'est le cas pour moi car j'ai toujours eu des problèmes de compréhension du fonctionnement exact de la récursivité, donc de son utilisation. Cela dit, pour voir, j'ai fait fonctionner ton premier script. Ce que j'ai pu constater, c'est qu'on fait un nombre élevé d'appels à def même dans des cas très simples, comme, par exemple, montant=10, pieces=[1,2,5], ce qui explique pourquoi on arrive très vite à la limite. C'est peut-être lié au double appel à la fonction à l'intérieur de la fonction, mais, comme dit, ça dépasse mes compétences. Je ne peux évidemment pas te proposer d'alternative, d'autant plus que je n'ai pas vraiment compris le principe de l'algorithme. En espérant que cette réponse en appelle une plus constructive... Avis aux spécialistes !1 point
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Suites numériques
olympeaaa ont réagi à Denis CAMUS pour un sujet
Bonsoir, Tu peux remarquer que par exemple S3 = la somme de V0 à V3. S3 = 5(3+1) + 3 * (somme de 1 à 3). S3 = 5(3+1) + 3 * 6 La somme des n premiers nombres s'écrit : [ n(n+1) ] / 2 ==> Sn = 5(n+1) + [ (3 * n)(n+1) ] / 2 Je te laisse réduire au même dénominateur et exprimer Sn en un polynôme en n du second degré.1 point -
Devoir maison N°9 3ème
thomas trahan ont réagi à pzorba75 pour un sujet
Tu notes A le point(8;6;0) et B(8;6;4). Tu appliques le Théorème de Pythagore dans les triangles rectangles qui vont bien (ou une formule du cours?) et tu auras la réponse. Je ne ferai pas les calculs à ta place, à toi de travailler et de montrer ton travail, pas seulement une photo de l'énoncé.1 point -
Équations différentielles
C8H10N4O2 ont réagi à Black Jack pour un sujet
Bonjour, "toutes les autres fonctions n'ont-elles pas aussi une dérivée qui dépend de la fonction elle-même ?" Drôle de question, il va de soit que la dérivée d'une fonction (en précisant la variable de dérivation) dépend de la fonction ... encore faut-il que cette fonction soit dérivable dans la zone d'intérêt. Il existe quand même des fonctions continues nulle part dérivables. Dans de nombreux domaines des sciences (dont je ne suis pas spécialiste), on utilise des modèles avec des fractales ... qui sont des courbes continues sans tangentes. ... on en parle un peu ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fonction_continue_nulle_part_dérivable Quelques exemples de fractales dans la nature sur ce lien : https://www.futura-sciences.com/sciences/dossiers/mathematiques-fractales-curiosite-mathematique-234/page/5/ Dans tous ces domaines, nécessitant des fractales pour les décrire, on ne peut pas utiliser des équations différentielles ... puisque ces "équations" ne sont "nulle part dérivables." Mais je ne sais pas si cela va dans le sens de la question que tu te poses.1 point -
Introduction d’une dissertation
Naya7273663 ont réagi à moîravita pour un sujet
L'introduction , comme la conclusion d'une dissertation , s'écrit APRES avoir trouvé les idées que l'on va developper . Ne pas mettre la charrue avant les boeufs ! Ceci dit , je posterai une nième fois les étapes d'une bonne introduction , si Naya le souhaite . Envisager dans le développement les aspects positifs du désir (qu'est-ce que le désir , quelles différentes formes peut-il prendre ?)a)moteur qui fait avancer , qui rend fébrile , qui incite à se surpasser ...etc. ) b) désir proche de la possession ,de l'envie , de la jalousie , etc .1 point -
Besoin correction PIB
Chopper84 ont réagi à Denis CAMUS pour un sujet
Doublon. Continuer sur https://www.e-bahut.com/topic/57870-ses-pib/1 point -
bonjour pour le début, tu sais que cos x est compris entre -1 et 1 donc tu peux partir avec -1 ≤ cos (2x +pi/2) ≤ 1 tu multiplies chaque membre par 3 -1*3 ≤ 3*cos (2x +pi/2) ≤ 1*3 .... tu pourras déduire qu'on a : -3 ≤ f(x) ≤ 3 2) période de f 3 cos (2x +pi/2) = 3 cos (2x+pi/2 + 2pi) = 3 cos (2(x +pi) +pi/2 ) f(x) = f(x+pi) donc f est de période pi 3) pour calculer la dérivée, réfère toi au tableau (cos(u))' = -u ' *sin(u)1 point
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d'accord ! l'homme sauvage, ne s'agite que pour subvenir à ses besoins naturels, une fois qu'il les a satisfaits, il ne s'occupe pas de ses congénères . tandis que l'homme policé ne vit que par le regard de ses semblables, car il veut leur reconnaissance. être reconnu -> exister socialement bonne soirée également1 point
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bonjour tu appelles X l' estimation initiale et tu poses X + X*0,34 = 9,4 X( 1+0,34) = 9,4 je te laisse résoudre l'équation1 point
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bonjour, les antécédents et images correspondent à ton tableau mais j'avoue que je ne comprends pas trop pourquoi dans l'énoncé la distance à la mer est ordonnée dans le sens croissant sauf pour 5,2 et 5,62 (j'aurais joint les points dans l'ordre des x, comme ci dessous ) sinon c'est ok, les moustiques survivent mieux près des côtes. mais vois sur ton graphique lorsque tu relies le point d'abscisse (x=5,62) avant le point (x=5,2) de 5 à 20 km , tu as le % de moustiques survivants qui monte ( au lieu de diminuer, et c'est contradictoire avec ta conclusion) )1 point
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Freud
Camille23455 ont réagi à anylor pour un sujet
dans ton texte, Freud défend la vérité scientifique et dit qu'on n'a pas d'autre choix que de la choisir , (car la vérité est une valeur essentielle qu'il faut défendre pour avancer.)1 point -
Bonsoir , Anylor , merci pour tous . bonne soirée1 point
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bonsoir quelques idées qui j'espère t'aideront : 1) la violence verbale agressive peut dégénérer sur des actes encore plus violents , voire mortels. arme de duel : justice → un avocat de la défense contre avocat général c'est une joute verbale dont sortira vainqueur celui qui manie le mieux le langage et saura entraîner ou retourner le tribunal. -> pouvant aller jusqu'à la peine de mort (Dans l'étranger de Camus, au terme du procès Meursault est condamné à être guillotiné,) En politique -> duel télévisé entre deux candidats pour accéder au pouvoir suprême: récemment Trump /Biden. Mise en place une dictature → Hitler exploita ses talents d’orateur et de démagogue pour acquérir une certaine audience populaire qui le conduira au pouvoir. De même Staline aura recours à la propagande et au mensonge pour imposer son pouvoir personnel absolu. Les discours xénophobes et racistes sont des armes destructrices. Absence de langage crée un manque de communication qui peut aboutir sur des conflits et à plus grande échelle des guerres. 2) Mais le langage est aussi une arme de défense : En politique → diplomatie Le langage est apaisant : c'est par le langage qu'on peut aussi réparer le mal qui a été fait par les paroles apaisantes et réparatrices langage est un remède → thérapie Le langage sert aussi à exprimer nos émotions, notre pensée arme pour s'intégrer dans la société (pour avoir une vie sociale , des amis ....) arme pour acquérir la culture, et l'éducation. 3) Le langage peut être aussi un assemblage de mots : parler pour ne rien dire beauté du langage → choix des mots qu'on assemble pour leur harmonie , seulement pour l'art -> mouvement parnassien (poésie )1 point
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Animaux mignons
Anna bezerowa ont réagi à ElodieABesoinD'Aide pour un album de la galerie
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Problématique oral brevet
thomas.servaes ont réagi à corcega pour un sujet
Bonjour à toi, Aurais-tu ton travail terminé ? Cela me permettra d’essayer de t’aider à dégager une problématique1 point -
La pièce comporte des emprunts à la commedia dell'arte nombreux rebondissements , pièce rapide, thèmes de la naissance de l'amour contrarié par un barbon , multiplication des effets comiques , prénom des personnages principaux : Agnès, la naïve , l'agneau , Horace = Horazio, le jeune premier , Arnolphe = le cocu . Passages de farce : - le quiproquo : fait de prendre une personne ou une chose pour une autre : l'intrigue de "L'Ecole des femmes repose sur un quiproquo : Horace ignore la double identité d'Arnolphe . -le théâtre dans le théâtre : les acteurs jouent une pièce dans la pièce : quand Agnès raconte à Arnolphe sa rencontre avec l'entremetteuse , elle joue 3 rôles : celui d'Agnès qui raconte à Arnolphe , celui d'Agnès , face à l'entremetteuse, celui de l'entremetteuse . -les apartés : qui s'adressent au spectateur et que l'interlocuteur n'est pas censé entendre , mais s'adressant quand même à un double auditoire : le(s) autre(s) personnage(s) présents sur scène et les spectateurs Les formes du comique : - comique de mots (souche/tronc pourri , fait par Chrysale qui se moque des prétentions nobiliaires d'Arnolphe ) et stratagème /déformé en strodagème au vers 211 dans la bouche de Alain . l'assimilation irrespectueuse du maître des animaux : "Et nous n'oyions jamais passer devant chez nous / Cheval , âne ou mulet qu'elle ne prît pour vous " , dit Georgette dans la scène 2 . -comique de gestes : (issu de la farce) : deux cas dans la scène 2 : Alain gifle Arnolphe au lieu de Georgette et dans le jeu de scène avec le chapeau . -comique de situation : chaque fois que Horace et Arnolphe sont mis en présence , apartés d'Arnolphe, entrées et sorties d'Horace, et , scène 2 , quand Arnolphe attend devant chez lui que ses domestiques viennent lui ouvrir . Le comique réside dans le contraste et les décalages dont A. est constamment victime : brusques renversements de rôle ou mises en échec du personnage , dont on rit le plus souvent , car autoritaire et sérieux , il veut rire des autres .1 point
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R.I.P Mickey Adieu mon chère petit lapin ♥ <3 :'( Tu sera toujours dans mon coeur!
CatSmile ont réagi à BouleDeNeige pour une mise à jour de statut
R.I.P Mickey Adieu mon chère petit lapin ♥ <3 :'(Tu sera toujours dans mon coeur! ♥♥♥4 Février 2016 - 2 Février 20171 point
