Laura Dubois Posté(e) le 23 juin 2019 Signaler Share Posté(e) le 23 juin 2019 (modifié) COMMENTAIRE chapitre 1 moulin de Pologne Bonjour, élève de 1re s, dans quelques jours je passe mon oral de francais et j'aurais besoin que vous me disiez si mon analyse de texte est réussi ou non car il s'agit d'un texte peu travaillé en classe Voici ce que j'ai fait: I-Médiocrité A/ Le commérage Giorno fait le satire des mœurs de Provence s'en caricaturant la curiosité et le commérage des habitants de la provence: "gens se pencher","suivre quelque chose", "les musiciens quittaient l'embouchure" Les habitants s'exprime avec des animations plus forte que l'orchestre. En effet on repère une hyperbole montrant que la présence de Julie a un impact sur l'attire de chacun. L'atmosphère est angoissante en raison des musiciens qui s'arrêtent et observe eux aussi à leur tout la scène:" les musiciens quittaient l'embouchure pour rester la bouche en cul de poule" B/ La curiosité Giono est curieux, il donne son avis au lecteur en même temps que les habitants:" certaines rumeurs inhabituelles" montre la curiosité ressentit. En effet, giono connaît les habitudes de cette ville. Une idée de dégoût est présente: " comme un acide", " j'eclatais de rire au moment même où le rire général éclata" accentué l'idée de dégoût, Julie étant incluse dans un groupe social non menaçant , subitement la crainte chez les habitants. Ainsi le rire évoque est un moyen d'oublier la malaediction des Coste et de se préserver. C/ les habitants Connaissant les habitants, Ginon s'inclur avec eux dans cette peur d'être atteint de la malediction. La réaction des habitants est un moyen d'oublier ce destin contaient menaçant II- Julie A/ malediction Julie est issue de la famille Coste où règne depuis des générations une menace de mort ce qui a tendance a effrayé.Elle est décrite péjorativement. En effet elle danse seule alors que les autres femmes sont accompagnés: "dansant seul" Son vissage est qualifié d"atroce et déchire ce qui suscite la crainte et est malheureuse selon les habitants:" La malheureuse Julie" Malgré l'atmosphère qui règne la solitude et le regard des autres, elle reste présente et ne semble pas être préoccupé par eux. B/ Un être d'exception Le destin des cistes pèse déjà sur Julie et est une crainte pour les habitants mais elle s'en détache en publiant l'assemblée:" on La désignait du doigt" C/ changement de scène Impression que la présence de Julie est renforcée par une hyperbole:"un tonnerre d'applaudissements". Il n'agit en effet d'un applaudissent hypocrite qui annonce l'arrivée d'une scène angoissante. III- Un realisme ambigüe A/ comportement Giono est très observateur tout particulièrement des femmes:" avec ébahissement j'ai toujours eu devant le comportement des femmes" Ainsi pour la première fois une femme lui échappe ce qui suscite de la curiosité:" je la cherchais dans le groupe" B/ changement Julie participe à la modification de la scène on a donc une scène menancante et triviale:"comme travailler son centre", "bouche en cul" Merci de m'aider à améliorer mon commentaire je ne suis que débutante voici le texte en question : Soudain, j'entendis un bruit effrayant. Instinctivement, je rentrai la tête dans les épaules. J'avais l'impression que le Casino s'écroulait. C'était un tonnerre d'applaudissements. Je vis enfin ce qu'on désignait du doigt. C'était cette malheureuse Julie emportée par la valse et dansant toute seule, avec, sur son atroce visage isolé l'extase des femmes accouplées. Je me sentis des opinions et des passions semblables à celles de tout le monde et j'éclatai de rire à la seconde même où le rire général éclata... Si j'en juge par moi-même, ce rire fut une bénédiction pour tout le monde. Le spectacle de cette fille au visage déchiré et qui montrait ses désirs sans pudeur me brûlait comme un acide. On ne pouvait laisser faire sans courir le risque d'être dépouillé jusqu'à l'os, vêtements et chair, falbalas et jupons, plastrons et manchettes. Qui n'a pas ses désespoirs? Que serions-nous devenus si nous avions été forcés, nous aussi, de ne plus jouer la comédie? Le rire avec son bruit de torrent était la façon la plus simple de mouiller la brûlure et de l'étendre d'eau. On y alla bon coeur bon argent. Pourquoi? Je n'en sais rien. Nous ne manquions pas de filles laides, Dieu merci! Julie n'était pas d'une laideur à faire rire; il s'en fallait! Aujourd'hui je ne vois même plus rien de risible dans cet évènement du Casino. Que se passait-il de si extraordinaire? Julie dansait seule. De n'importe qui d'autre cela aurait passé pour une boutade. Admettez que la fantaisie en ait prie Alphonsine M..., la petite fille que j'avais fait danser auparavant: on aurait à peine souri. Le rire qui accompagnait la valse de Julie faisait le bruit régulier et bourgeois qui me rappela le râclement des cuillers et des fourchettes sur les assiettes dans un réfectoire de collège. Modifié le 23 juin 2019 par Laura Dubois Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nègrepierre Posté(e) le 23 juin 2019 Signaler Share Posté(e) le 23 juin 2019 Attention, il ne faut pas confondre le narrateur et Giono, même s'il y a des analogies... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Laura Dubois Posté(e) le 23 juin 2019 Auteur Signaler Share Posté(e) le 23 juin 2019 Mais quelle est la différence entre les deux ? Et ou voyez vous que je confond svp Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut moîravita Posté(e) le 23 juin 2019 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 23 juin 2019 Le narrateur est celui qui prend en charge le récit . L'écrivain est l'homme de chair qui écrit le récit . Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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