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  • E-Bahut

Armel Choplin est une maîtresse de conférences en géographie à l'université Paris-Est Marne-la-vallée.

Après un baccalauréat de série littéraire, Armelle Choplin se dirige d’abord vers une classe préparatoire de littérature puis vers une licence en géographie qu'elle obtient avec la mention bien. A la suite de cela elle obtient un diplôme de maîtrise en géographie à l'université de Tours, avec la mention très bien puis un diplôme d'études approfondies de géographie pour enfin obtenir un doctorat en géographie à l'université Paris 1, grâce à sa thèse Fabriquer des villes-capitales entre monde arabe et Afrique noire,  thèse,  qui lui permettra d'obtenir les félicitations du jury. Dans cette thèse  Armelle Choplin utilise la ville de Nouakchott, la capitale de la Mauritanie et la ville de Khartoum, la capitale du Soudan pour démontrer la manière dont ces deux états tentent de se faire reconnaître sur la scène internationale, par l'islamisation de leur capitale, pour ainsi participer aux échanges entre monde arabe et Afrique noire par le biais de la religion et de la langue .

 

           Olivier Pliez est un géographe directeur de recherche aux CNRS au sein du Laboratoire, Interdisciplinaire, Solidarité, Société . En plus de cela, il a  une certaine attirance  pour des thèmes de recherche qui tendent vers le commerce transnational, le monde arabe et l'espace urbain.

 

           Nous pouvons observer que les domaines  d'expertise d'Armelle Choplin et Olivier Pliez leur donne la légitimité de mener cette enquête sociologique. Enquête sociologique, par la volonté des auteurs de s'intéresser et de décentraliser leur regard vers le bas de la pyramide: c'est à dire tourner le regard vers des personnes possédant peu de ressources et peu de biens, s’intéresser à la manière dont des personnes gagnants moins de deux dollars par jour consomment, vivent et peuvent générer des marchés qui leur sont propres et dont l'échelle est mondiale. De plus les auteurs se basent sur des rencontres et des études menées  par d'autres sociologues. Lors de l'introduction à la page 10 Armelle Choplin et Olivier Pliez utilisent les études menées par Barnerje et Duflo et des études statistiques menées par le Harvard British Review et par le yiwu sourcing  agent aux pages suivantes, P.42 pour l'observation de la « pyramides socio-économique des marchés dans les pays arabes >  qui répartit en pourcentages les habitants en trois classes, haut de la pyramides, classe moyenne et bas de la pyramide, P.64 afin d'étudier qui sont « les principaux exportateurs des produits de Yiwu> qui est la plaque tournante des exportations de produits dans le monde Arabe .

 

           Dans cet ouvrage les auteurs traitent des divers échanges commerciaux transnationaux  permettant aux pauvres de participer à la mondialisation. Armelle Choplin et Olivier Pliez partent de divers objets beaucoup utilisés dans les pays pauvres d'Afrique subsaharienne   et d'Afrique du Nord comme par exemple, le ciment qui permet de répondre à un besoin en logements de plus en plus croissant en Afrique au vu de sa transition démographique inachevée, les mèches de cheveux utilisées par des millions d'africaines les vêtements de marques provenant des friperies, tous ces produits cités sont consommés par des millions de pauvres. Afin, d'observer les divers chemins que ces objets empruntent  pour en définitif étudier la manière dont ils permettent aux pauvres de participer à la mondialisation, puis d’étudier leurs grands axes de communication.

 

           Par l'utilisation des études de divers sociologues, notre maîtresse de conférences et notre géographe veulent  montrer une autre mondialisation , celle qui est près des plus démunis . Et « comprendre de manière inductive ce que la mondialisation produit lorsqu'elle est au contact des pauvres et qu'elle s'installe dans les espaces les plus éloignés » .les auteurs veulent différencier la globalisation de la mondialisation. La globalisation est un processus d'internationalisation des transactions qui se traduit par un effacement progressif des frontières. Néanmoins nos auteurs souhaitent insister sur les dimensions territoriales de la mondialisation en vue, d'observer les divers réseaux commerciaux qui permettent aux pays pauvres ou en développement d’être connectés à la mondialisation, grâce aux marchés qui sont les lieux de consommation des pauvres dans les pays en voie de développement et les pays les moins avancés.

Armelle choplin et Olivier Pliez souhaitent décentraliser le regard des occidentaux et montrer que la mondialisation peut se retrouver dans des espaces moins enclins à la société de consommation.

 

           Lors de l'introduction, les auteurs nous font part de la place qu'occupent  les pauvres  dans la mondialisation et du marché important qu'ils représentent, par leur nombre,  896 millions de personnes en 2012 soit 12,5% de la population mondiale. De plus, ils observent que les frontières entre les classes sont de plus en plus perceptibles,  à savoir,  qu'ils observent éventuellement le phénomène de la ségrégation socio spatiale qui rend plus visible les frontières sociales entre les riches, les classes dites moyennes et les pauvres.Sachant, qu'Armelle Choplin et Olivier  Pliez aspirent à poser un regard spatial sur la mondialisation cela les pousse très vite à faire la différence entre la mondialisation et la globalisation pour une meilleure observation spatiale et territoriale d'espaces peuplés d'habitants à faible revenu qui influencent la mondialisation. En temps  que lecteur, nous pouvons nous demander comment est-ce possible que des personnes gagnants moins de deux dollars par jour réussissent à influencer quelque chose d'aussi grand que la mondialisation. Cela n'engendrerait-il pas plus de misère. Toujours lors de l'introduction les auteurs nous indiquent  que la mondialisation des pauvres se fait au travers des marchés et par des panneaux publicitaires invitant à s'abonner à Canal+ , à Orange et à effectuer des transferts d'argent par Western Union. Cependant qui sont les   utilisateurs de ces prestations les pauvres ou les riches des pays pauvres et comment cette mondialisation touche réellement les pauvres et les territoires qu'ils habitent? C'est à ces questions que Armelle Choplin et  Olivier Pliez vont tenter de répondre en trois chapitres tout d'abord par « une mondialisation (pas si) discrète>> ,puis ensuite des « Espaces mondialisés en Méditerranée>> et enfin par la « Mondialisations africaines >> .

 

                                      Chapitre 1: Une mondialisation (pas si) discrète

 

           Dans ce chapitre les auteurs introduisent les notions de « hyper lieux et de non lieux au lecteur >.Tout d'abord quelle est la définition d'un hyper-lieu ?  Un hyper-lieu est un espace participant à la mondialisation et concentrant beaucoup d'espaces de mobilité comme par exemple: des aéroports qui permettent une participation aux changes transnationaux par la voie aérienne , des gares qui permettent des échanges aux niveaux nationaux etc... . Ensuite qu'est ce qu'un non-lieu?   Un non -lieu est un espace participant à la mondialisation en concentrant moins de mobilité. Ainsi des lieux méconnus de tous participent  à la mondialisation, néanmoins quelle place occupent  les « non-lieux >> dans la mondialisation des pauvres? Qui sont ses habitants? A- t- elle un aussi grand impact sur la mondialisation que les « hyper lieux >>. C'est à toute ces questions que nos auteurs tentent de répondre en adaptant la méthode de la chaîne globale de valeur mise en place par Georges Marcus dans le cas des « Non-lieux>>. Cette méthode consiste à suivre un produit depuis son état de matières premières jusqu'à sa fabrication et sa distribution pour ainsi comprendre les enjeux d'un marché à l'échelle mondiale. Avec cette manière de procéder,  nos auteurs peuvent étudier les dessous de la mondialisation et en outre comprendre le grand enjeu qu'est la mondialisation des pauvres. Par l'utilisation des études de Alejandro Portes sociologue Cubain, d'Alain Tarrius sociologue et anthropologue Armelle Choplin  et Olivier Pliez  font comprendre de manière implicite l'importance des communautés  transnationales ( d'après le site Hypergeoles communautés transnationales sont des communautés composées d’individus ou de groupes établis au sein de différentes sociétés nationales, qui agissent à partir des intérêts et des références communs (territoriales, religieuses, linguistiques), et qui s’appuient sur des réseaux transnationaux pour renforcer leur solidarité par-delà les frontières nationales) (  Il manque un lien, on est perdu dans ta phrase) représentent comme le dit le sociologue Alain Tarrius « de véritables entrepreneurs nomades >> par les espaces de circulation denses qu'ils créent avec leurs États d'origine puis par leur maîtrise de deux espaces. Leur connaissance de deux espaces leur permet de connaître  les besoins de leurs États d'origine et les offres de leurs États d'accueil. Nous nous sommes déjà posés cette question , comment faire pour vendre à des personnes gagnants moins de deux dollars par jour et ayant du mal  répondre à leur besoins élémentaires peuvent-ils générer des bénéfices pour des entrepreneurs. ( phrase incorrecte)

Pour nos auteurs, vendre aux pauvres c'est  « identifier un marché,  voire le créer >> de plus l'innovation, si elle cible le plus grand nombre de personnes peut être source de revenus. Certaines firmes transnationales cherchent  à prendre par à ce marché de 896 millions de personnes en promouvant le fait d'aider les plus démunis tout en s'enrichissant. De plus certaines figures néolibérales présentent  les pauvres comme des micro-entrepreneurs à qui l'on devrait faciliter l'entrée dans l’économie de marché. Néanmoins Anelle Karnani, sociologue, met en garde ceux qui « romantisent>> la situation des pauvres et les mettent en danger en poussant  les pauvres à la consommation , n'est ce pas les mettre en danger?  Notre maîtresse de conférence et notre géographe souhaitent changer notre manière de voir le monde de façon bipolaire, couper entre le Nord et le Sud, entre pays riches et pays pauvres car au sein des pays émergents ou des pays pauvres il émerge ( répétition ) une  nouvelle offre de produits et de services qui concurrence les grandes firmes multi-nationales.De ce fait, les auteurs décentralisent le regard de nous , lecteurs, vers l’uni polarité des échanges commerciaux par la pluralité des voies de transports aérien, maritime et terrestre qui permettent aux pays émergents et pauvres, d'avoir accès aux échanges commerciaux surtout vers la Chine d’où partent des produits manufacturés vers l'ensemble de la planète. La Chine est déjà bien ancrée dans ce marché  des pauvres, par sa grande capacité de production à  moindre coût maintenant nous pouvons observer d'un coté, des grands comptoirs d’approvisionnement dans tout  le continent asiatique et, de l'autre, un marché de près de deux milliards de consommateurs , néanmoins les acteurs qui sous tendent ces échanges sont peu connus .De plus cette mondialisation des pauvres entraîne des changements au niveau des  paysages par la création d'espaces urbains adjacents au niveau (répétition)  des axes et des réseaux de la mondialisation . Ces villes de 100 000 à 500 000 habitants sont symbolisées  par peu de choses, hangars , zones d’entrepôt et quelques établissements privés mais représentent aussi des points d'ancrage des routes ( lieux permettant aux transporteurs  de marchandise de prendre un peu de repos ), des lieux de production , mais aussi et surtout des lieux de consommation et de commercialisation. Dans ce premier chapitre les auteurs nous donnent la méthodologie qu'ils appliqueront lors de leur enquête, leur envies de décentraliser le regard de leur lecteur, de changer la manière occidentalisée  que nous avons de voir les pauvres en d'autres termes, arrêter de croire que ce sont des personnes écartées de notre société de consommation car ils consomment  d'une autre manière que nous lecteur en d'autres termes, pas dans de grands centres commerciaux et en plus de cela ils représentent un grand marché  au vu de leur nombre que certaines firmes transnationales souhaiteraient conquérir avec l'idée d'aider les pauvres tout en se faisant de l'argent. De plus nos auteurs nous informent du but de leur recherche : trouver les acteurs qui permettent cette mondialisation par le bas.

 

                                     Espaces mondialisés en Méditerranée

 

            Dans ce deuxième chapitre Armelle Choplin et Olivier Pliez aspirent à saisir les dispositifs spatiaux qui rendent cette mondialisation possible en introduisant les termes de synchronie, diachronie et d'uchronie qu'ils définissent par « pourquoi là, maintenant, et pas ailleurs, à un autre moment." Nos auteurs cherchent à répondre à ces questions en partant des lieux d'ancrages qui permettent la mobilité des marchandises et en partant de deux études de cas bien précis. Tout d'abord  l'étude de cas de marchés algériens des biens de consommation analysés sur trente ans à travers leurs connexions avec Marseille, puis la Chine. Puis par la suite,  l’étude de cas des jeans chinois  vendus sur le marché des pauvres au Caire en passant par des confins libyens. Pour eux l'espace méditerranéen se présente comme un excellent lieu d'observation et d'analyse de cette mondialisation. A priori cet espace méditerranéen joue un rôle plus qu'important dans la mondialisation des pauvres par le fait qu'il  relie l'Afrique,  un continent avec beaucoup de pays considérés comme pauvres ou en voie de développement aux restes du monde. Ainsi dans ce chapitre nos auteurs tenteront  de comprendre comment ces espaces d'échanges méditerranéens  se sont construits et se construisent,comment ils glissent dans le temps d'un endroit à l'autre, et comment se met en place une économie de comptoirs dont les éléments, se sont  progressivement rejoints en Asie pour former les routes d'un échange transcontinental d'une intensité inédite. Le cas d'exemple numéro un met en avant le territoire algérien et ses habitants au sein des échanges de produits manufacturés.

 

 

J'en ai certainement oublié , mais le plus gros est fait.

 

Revois la ponctuation!

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il y a 8 minutes, Mamy a dit :

Armel Choplin est une maîtresse de conférences en géographie à l'université Paris-Est Marne-la-vallée.

 

Après un baccalauréat de série littéraire, Armelle Choplin se dirige d’abord vers une classe préparatoire de littérature puis vers une licence en géographie qu'elle obtient avec la mention bien. A la suite de cela elle obtient un diplôme de maîtrise en géographie à l'université de Tours, avec la mention très bien puis un diplôme d'études approfondies de géographie pour enfin obtenir un doctorat en géographie à l'université Paris 1, grâce à sa thèse Fabriquer des villes-capitales entre monde arabe et Afrique noire,  thèse,  qui lui permettra d'obtenir les félicitations du jury. Dans cette thèse  Armelle Choplin utilise la ville de Nouakchott, la capitale de la Mauritanie et la ville de Khartoum, la capitale du Soudan pour démontrer la manière dont ces deux états tentent de se faire reconnaître sur la scène internationale, par l'islamisation de leur capitale, pour ainsi participer aux échanges entre monde arabe et Afrique noire par le biais de la religion et de la langue .

 

 

 

           Olivier Pliez est un géographe directeur de recherche aux CNRS au sein du Laboratoire, Interdisciplinaire, Solidarité, Société . En plus de cela, il a  une certaine attirance  pour des thèmes de recherche qui tendent vers le commerce transnational, le monde arabe et l'espace urbain.

 

 

 

           Nous pouvons observer que les domaines  d'expertise d'Armelle Choplin et Olivier Pliez leur donne la légitimité de mener cette enquête sociologique. Enquête sociologique, par la volonté des auteurs de s'intéresser et de décentraliser leur regard vers le bas de la pyramide: c'est à dire tourner le regard vers des personnes possédant peu de ressources et peu de biens, s’intéresser à la manière dont des personnes gagnants moins de deux dollars par jour consomment, vivent et peuvent générer des marchés qui leur sont propres et dont l'échelle est mondiale. De plus les auteurs se basent sur des rencontres et des études menées  par d'autres sociologues. Lors de l'introduction à la page 10 Armelle Choplin et Olivier Pliez utilisent les études menées par Barnerje et Duflo et des études statistiques menées par le Harvard British Review et par le yiwu sourcing  agent aux pages suivantes, P.42 pour l'observation de la « pyramides socio-économique des marchés dans les pays arabes >  qui répartit en pourcentages les habitants en trois classes, haut de la pyramides, classe moyenne et bas de la pyramide, P.64 afin d'étudier qui sont « les principaux exportateurs des produits de Yiwu> qui est la plaque tournante des exportations de produits dans le monde Arabe .

 

 

 

           Dans cet ouvrage les auteurs traitent des divers échanges commerciaux transnationaux  permettant aux pauvres de participer à la mondialisation. Armelle Choplin et Olivier Pliez partent de divers objets beaucoup utilisés dans les pays pauvres d'Afrique subsaharienne   et d'Afrique du Nord comme par exemple, le ciment qui permet de répondre à un besoin en logements de plus en plus croissant en Afrique au vu de sa transition démographique inachevée, les mèches de cheveux utilisées par des millions d'africaines les vêtements de marques provenant des friperies, tous ces produits cités sont consommés par des millions de pauvres. Afin, d'observer les divers chemins que ces objets empruntent  pour en définitif étudier la manière dont ils permettent aux pauvres de participer à la mondialisation, puis d’étudier leurs grands axes de communication.

 

 

 

           Par l'utilisation des études de divers sociologues, notre maîtresse de conférences et notre géographe veulent  montrer une autre mondialisation , celle qui est près des plus démunis . Et « comprendre de manière inductive ce que la mondialisation produit lorsqu'elle est au contact des pauvres et qu'elle s'installe dans les espaces les plus éloignés » .les auteurs veulent différencier la globalisation de la mondialisation. La globalisation est un processus d'internationalisation des transactions qui se traduit par un effacement progressif des frontières. Néanmoins nos auteurs souhaitent insister sur les dimensions territoriales de la mondialisation en vue, d'observer les divers réseaux commerciaux qui permettent aux pays pauvres ou en développement d’être connectés à la mondialisation, grâce aux marchés qui sont les lieux de consommation des pauvres dans les pays en voie de développement et les pays les moins avancés.

 

Armelle choplin et Olivier Pliez souhaitent décentraliser le regard des occidentaux et montrer que la mondialisation peut se retrouver dans des espaces moins enclins à la société de consommation.

 

 

 

           Lors de l'introduction, les auteurs nous font part de la place qu'occupent  les pauvres  dans la mondialisation et du marché important qu'ils représentent, par leur nombre,  896 millions de personnes en 2012 soit 12,5% de la population mondiale. De plus, ils observent que les frontières entre les classes sont de plus en plus perceptibles,  à savoir,  qu'ils observent éventuellement le phénomène de la ségrégation socio spatiale qui rend plus visible les frontières sociales entre les riches, les classes dites moyennes et les pauvres.Sachant, qu'Armelle Choplin et Olivier  Pliez aspirent à poser un regard spatial sur la mondialisation cela les pousse très vite à faire la différence entre la mondialisation et la globalisation pour une meilleure observation spatiale et territoriale d'espaces peuplés d'habitants à faible revenu qui influencent la mondialisation. En temps  que lecteur, nous pouvons nous demander comment est-ce possible que des personnes gagnants moins de deux dollars par jour réussissent à influencer quelque chose d'aussi grand que la mondialisation. Cela n'engendrerait-il pas plus de misère. Toujours lors de l'introduction les auteurs nous indiquent  que la mondialisation des pauvres se fait au travers des marchés et par des panneaux publicitaires invitant à s'abonner à Canal+ , à Orange et à effectuer des transferts d'argent par Western Union. Cependant qui sont les   utilisateurs de ces prestations les pauvres ou les riches des pays pauvres et comment cette mondialisation touche réellement les pauvres et les territoires qu'ils habitent? C'est à ces questions que Armelle Choplin et  Olivier Pliez vont tenter de répondre en trois chapitres tout d'abord par « une mondialisation (pas si) discrète>> ,puis ensuite des « Espaces mondialisés en Méditerranée>> et enfin par la « Mondialisations africaines >> .

 

 

 

                                      Chapitre 1: Une mondialisation (pas si) discrète

 

 

 

           Dans ce chapitre les auteurs introduisent les notions de « hyper lieux et de non lieux au lecteur >.Tout d'abord quelle est la définition d'un hyper-lieu ?  Un hyper-lieu est un espace participant à la mondialisation et concentrant beaucoup d'espaces de mobilité comme par exemple: des aéroports qui permettent une participation aux changes transnationaux par la voie aérienne , des gares qui permettent des échanges aux niveaux nationaux etc... . Ensuite qu'est ce qu'un non-lieu?   Un non -lieu est un espace participant à la mondialisation en concentrant moins de mobilité. Ainsi des lieux méconnus de tous participent  à la mondialisation, néanmoins quelle place occupent  les « non-lieux >> dans la mondialisation des pauvres? Qui sont ses habitants? A- t- elle un aussi grand impact sur la mondialisation que les « hyper lieux >>. C'est à toute ces questions que nos auteurs tentent de répondre en adaptant la méthode de la chaîne globale de valeur mise en place par Georges Marcus dans le cas des « Non-lieux>>. Cette méthode consiste à suivre un produit depuis son état de matières premières jusqu'à sa fabrication et sa distribution pour ainsi comprendre les enjeux d'un marché à l'échelle mondiale. Avec cette manière de procéder,  nos auteurs peuvent étudier les dessous de la mondialisation et en outre comprendre le grand enjeu qu'est la mondialisation des pauvres. Par l'utilisation des études de Alejandro Portes sociologue Cubain, d'Alain Tarrius sociologue et anthropologue Armelle Choplin  et Olivier Pliez  font comprendre de manière implicite l'importance des communautés  transnationales ( d'après le site Hypergeoles communautés transnationales sont des communautés composées d’individus ou de groupes établis au sein de différentes sociétés nationales, qui agissent à partir des intérêts et des références communs (territoriales, religieuses, linguistiques), et qui s’appuient sur des réseaux transnationaux pour renforcer leur solidarité par-delà les frontières nationales) (  Il manque un lien, on est perdu dans ta phrase) représentent comme le dit le sociologue Alain Tarrius « de véritables entrepreneurs nomades >> par les espaces de circulation denses qu'ils créent avec leurs États d'origine puis par leur maîtrise de deux espaces. Leur connaissance de deux espaces leur permet de connaître  les besoins de leurs États d'origine et les offres de leurs États d'accueil. Nous nous sommes déjà posés cette question , comment faire pour vendre à des personnes gagnants moins de deux dollars par jour et ayant du mal  répondre à leur besoins élémentaires peuvent-ils générer des bénéfices pour des entrepreneurs. ( phrase incorrecte)

 

Pour nos auteurs, vendre aux pauvres c'est  « identifier un marché,  voire le créer >> de plus l'innovation, si elle cible le plus grand nombre de personnes peut être source de revenus. Certaines firmes transnationales cherchent  à prendre par à ce marché de 896 millions de personnes en promouvant le fait d'aider les plus démunis tout en s'enrichissant. De plus certaines figures néolibérales présentent  les pauvres comme des micro-entrepreneurs à qui l'on devrait faciliter l'entrée dans l’économie de marché. Néanmoins Anelle Karnani, sociologue, met en garde ceux qui « romantisent>> la situation des pauvres et les mettent en danger en poussant  les pauvres à la consommation , n'est ce pas les mettre en danger?  Notre maîtresse de conférence et notre géographe souhaitent changer notre manière de voir le monde de façon bipolaire, couper entre le Nord et le Sud, entre pays riches et pays pauvres car au sein des pays émergents ou des pays pauvres il émerge ( répétition ) une  nouvelle offre de produits et de services qui concurrence les grandes firmes multi-nationales.De ce fait, les auteurs décentralisent le regard de nous , lecteurs, vers l’uni polarité des échanges commerciaux par la pluralité des voies de transports aérien, maritime et terrestre qui permettent aux pays émergents et pauvres, d'avoir accès aux échanges commerciaux surtout vers la Chine d’où partent des produits manufacturés vers l'ensemble de la planète. La Chine est déjà bien ancrée dans ce marché  des pauvres, par sa grande capacité de production à  moindre coût maintenant nous pouvons observer d'un coté, des grands comptoirs d’approvisionnement dans tout  le continent asiatique et, de l'autre, un marché de près de deux milliards de consommateurs , néanmoins les acteurs qui sous tendent ces échanges sont peu connus .De plus cette mondialisation des pauvres entraîne des changements au niveau des  paysages par la création d'espaces urbains adjacents au niveau (répétition)  des axes et des réseaux de la mondialisation . Ces villes de 100 000 à 500 000 habitants sont symbolisées  par peu de choses, hangars , zones d’entrepôt et quelques établissements privés mais représentent aussi des points d'ancrage des routes ( lieux permettant aux transporteurs  de marchandise de prendre un peu de repos ), des lieux de production , mais aussi et surtout des lieux de consommation et de commercialisation. Dans ce premier chapitre les auteurs nous donnent la méthodologie qu'ils appliqueront lors de leur enquête, leur envies de décentraliser le regard de leur lecteur, de changer la manière occidentalisée  que nous avons de voir les pauvres en d'autres termes, arrêter de croire que ce sont des personnes écartées de notre société de consommation car ils consomment  d'une autre manière que nous lecteur en d'autres termes, pas dans de grands centres commerciaux et en plus de cela ils représentent un grand marché  au vu de leur nombre que certaines firmes transnationales souhaiteraient conquérir avec l'idée d'aider les pauvres tout en se faisant de l'argent. De plus nos auteurs nous informent du but de leur recherche : trouver les acteurs qui permettent cette mondialisation par le bas.

 

 

 

                                     Espaces mondialisés en Méditerranée

 

 

 

            Dans ce deuxième chapitre Armelle Choplin et Olivier Pliez aspirent à saisir les dispositifs spatiaux qui rendent cette mondialisation possible en introduisant les termes de synchronie, diachronie et d'uchronie qu'ils définissent par « pourquoi là, maintenant, et pas ailleurs, à un autre moment." Nos auteurs cherchent à répondre à ces questions en partant des lieux d'ancrages qui permettent la mobilité des marchandises et en partant de deux études de cas bien précis. Tout d'abord  l'étude de cas de marchés algériens des biens de consommation analysés sur trente ans à travers leurs connexions avec Marseille, puis la Chine. Puis par la suite,  l’étude de cas des jeans chinois  vendus sur le marché des pauvres au Caire en passant par des confins libyens. Pour eux l'espace méditerranéen se présente comme un excellent lieu d'observation et d'analyse de cette mondialisation. A priori cet espace méditerranéen joue un rôle plus qu'important dans la mondialisation des pauvres par le fait qu'il  relie l'Afrique,  un continent avec beaucoup de pays considérés comme pauvres ou en voie de développement aux restes du monde. Ainsi dans ce chapitre nos auteurs tenteront  de comprendre comment ces espaces d'échanges méditerranéens  se sont construits et se construisent,comment ils glissent dans le temps d'un endroit à l'autre, et comment se met en place une économie de comptoirs dont les éléments, se sont  progressivement rejoints en Asie pour former les routes d'un échange transcontinental d'une intensité inédite. Le cas d'exemple numéro un met en avant le territoire algérien et ses habitants au sein des échanges de produits manufacturés.

 

 

J'en ai certainement oublié , mais le plus gros est fait.

 

Revois la ponctuation!

merci beaucoup de votre aide

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  • E-Bahut

Aujourd'hui, je n'ai pas le temps, peut -être jeudi .

 

En attendant, relis et corrige les répétitions, la ponctuation, la syntaxe de tes phrases, les accords avec le pluriel.

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          Bonjour, 

Il se peut que j'ai oublié des fautes car comme je le dis plus haut, je ne suis pas une spécialiste.

    Dans les années 1970-1980 Belsunce est un lieu (singulier) de rencontres de 400 000 à 500 000 personnes (pluriel) par an permettant des échanges commerciaux entre le Maghreb et l'Europe échanges (pluriel) permis par le passé colonial commun de l'Algérie et de la France  et par les premiers immigrés maghrébins qui ont permis (répétition) la naissance d'une communauté transnationale (feminin) par leur métier de commerçant  pour répondre à la demande croissante en besoin de produits de consommation des États maghrébins cette demande génère l'économie de Bazar par la pluralité des produits proposés. [Je trouve que cette phrase est trop longue] Belsunce est alors à l’apogée de sa fonction de comptoir, néanmoins ne nous méprenons pas le transnationalisme n'est pas devenu la forme première de l'adaptation des immigrées sur le plan politique et économique mais ces formes entrepreneuriales ( feminin pluriel) diffèrentes des commerces ethniques qui sont eux à destination de communautés immigrées, puisque le trans nationalisme répond aux besoins (pluriel) de ceux restés dans les pays d'origine. Toutefois, les activités transnationales de ces communautés (pluriel) immigrées jouent sur les différentiels des prix et frontières, au sein d'un territoire (singulier) circulatoire de plus en plus étendu. Cela  nous laisse penser que ces communautés cherchent des prix les plus avantageux possible sur leurs (pluriel) produits et des frontières avec des taxes douanières  basses leur permettant de revendre leurs produits le plus moins chers possible. Ainsi nous pouvons penser que les pauvres font parties intégrantes de cette économie de Bazar par les prix avantageux et par la pluralité des produits proposés. De nouveaux dispositifs se mettent en place sur les rives Nord et Sud de la Méditerranée pour répondre aux besoins croissants en produits de consommation en partant de produits mécaniques, électroniques à de diverses babioles. Sur la rive nord pour répondre à ce besoin de consommation se met en place un système d’abord régional et national qui devient très vite européen par des chaînes associant, par exemple, la remise en état, le négoce et le transit de véhicule d'occasion et de pièces détachées qui peuvent provenir  sûrement de toute l’Europe tant que les prix y sont attractifs. 

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  • E-Bahut

Bonjour,

 

Voici une correction. Ton gros problème est de ne pas avoir relu, car il y a des dizaines de fautes que tu aurais largement pu voir en relisant.
Je te souhaite un bon courage pour la suite de ton étude, n'hésite pas à nous questionner !

 

 

La mondialisation des pauvres_correction.odt

Je te corrige la suite de ton paragraphe dans 10 - 20 minutes.

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La suite

Sur la rive sud de la méditerranée, notamment en Algérie où la demande en produits de consommation des marchés est de près de 80%. Les marchandises qui se retrouvent sur les étales sont des produits issus de la contrebande c'est-à-dire des marchandises importées sans déclaration douanière. Cela est en partie permis par le contexte de la libération des importations en Algérie. En plus de cela le changement de contenant des marchandises, le  passage aux conteneurs permettant un plus grand volume de stockage entraîne des changements au niveau de la nature et de la quantité de ces activités liées au commerce transnational. De plus, les activités transnationales se structurent et se concentrent dans l'Est du Pays d’abord dans le marché de El Oued , et plus tard, dans le marché de El Euma en Algérie. Néanmoins Belsunce perd peu à peu sa place de comptoir central permettant la connexion entre Europe et Maghreb par le durcissement du régime des visas à partir de 1985. Cela empêche la ville Marseillaise d'assumer entièrement son rôle de lieu de rencontres et d'échanges  commerciaux puisqu'il est devenu plus dur de faire du commerce pour les communautés transnationales maghrébines qui se tournent vers Istanbul et d'autres espaces.

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  • E-Bahut

Dans les années 1970-1980, Belsunce est un lieu de rencontres de 400 000 à 500 000 personnes par an, permettant des échanges commerciaux entre le Maghreb et l'Europe, échanges permis par le passé colonial commun de l'Algérie et de la France et par les premiers immigrés maghrébins qui ont permis la naissance d'une communauté transnational, notamment par leur métier de commerçants, pour répondre à la demande croissante en besoin de produits de consommation des États maghrébins. Cette demande génère l'économie de Bazar par la pluralité des produits proposés. Belsunce est alors à l’apogée de sa fonction de comptoir, néanmoins ne nous méprenons pas : le trans-nationalisme n'est pas devenu la forme première de l'adaptation des immigrés sur le plan politique et économique. Ces formes entrepreneuriales diffèrent des commerces ethniques qui sont, quant à eux, à destination de  la communauté immigrée, puisque le trans-nationalisme répond aux besoins de ceux restés dans leur pays d'origine. Toutefois, les activités transnationales de ces communautés immigrées jouent sur les différentiels des prix et frontières, au sein d'un territoire circulatoire de plus en plus étendu. Cela nous laisse penser que ces communautés cherchent les prix les plus avantageux possibles sur leur produits et des frontières avec des taxes douanières basses leur permettant de revendre leur produits le moins cher possible. Ainsi, nous pouvons penser que les pauvres font parties intégrantes de cette économie de Bazar ; les prix avantageux et la pluralité des produits proposés. De nouveaux dispositifs se mettent en place sur les rives Nord et Sud de la Méditerranée pour répondre aux besoin croissant en produit de consommation en partant des produits mécaniquse, électroniques ainsi qu'à de divers babioles. Sur la rive nord, pour répondre à ce besoin de consommation, se met en place un système régional et national qui devient très vites européen par des chaînes associant, par exemple, la remise en état, le négoce et le transit de véhicule d'occasion et de pièces détachées qui peuvent provenir sûrement de toute l’Europe tant que les prix y sont attractifs. Sur la rive sud de la Méditerranée, comme en Algérie où la demande en produits de consommation des marchés est proche de de 80%, les marchandises se retrouvant sur les étales sont des produits issus de contrebande, c'est-à-dire des marchandise importés sans déclaration douanière. Cela est en partie permis par le contexte de la libération des importations en Algérie. Les activités transnationales se structurent et se concentrent dans l'est du pays : d’abord dans le marché de El Oued, et plus tard dans le marché de El Euma en Algérie. Belsunce perd peu à peu sa place de comptoir central permettant la connexion entre l'Europe et le Maghreb, en raison du durcissement du régime des visas à partir de 1985. Cela empêche la ville de Marseille d'assumer entièrement son rôle de lieu de rencontres et d'échanges commerciaux, puisqu'il est devenu plus dur de faire du commerce pour les communautés transnationales maghrébines qui se tournent vers Istanbul et d'autres espaces Lesquels ?. L'année 1973 ne représente pas qu'une crise économique pour les pays européens, mais aussi et surtout le décolage économique des pays exportateurs d'or noir. Cela à pour conséquences d’entraîner l'émergence de nouveaux flux et réseaux de personnes et d’échanges de marchandises. Le souk Lybia en est un exemple visible. Sa connexion avec la Libye, qui est une de ses sources principale en produits manufacturés, sont subventionnés puis exportés clandestinement pour être revendus à bas prix dans tout le Maghreb. Dans cette première étude de cas, nous pouvons observer que la contrebande et la clandestinité des transports de marchandises manufacturés occupent une place importante dans cette mondialisation des pauvres, ce qui permettrait éventuellement aux vendeurs d'augmenter leurs revenus en ayant accès à ce grand marché des pauvres qui ont besoin de consommer. Nous pouvons remarquer la concurrence qui se joue entre acteurs privés locaux et acteurs publics pour avoir une partie des consommateurs qui transitent dans la ville d'El Oued pour se rendre dans le souk Libya. Néanmoins, le marché public, nommé souk El Oued, est peu fréquenté par les consommateurs préférant le vieux marché central. C'est celui-ci qui portera le nom de souk Dubaï témoignant de l'intégration de la ville d'El Oued dans de nouveaux circuits internationaux. Nous avons nous aussi la possibilité d'observer la place de ce qu'apporte un commerce dit informel au dynamisme d'une ville. Avec ce cas numéro 1, très peux accès sur les pauvres que devons nous en retenir.Incompréhensible !

Il est impératif que tu revoies toutes les règles élémentaires d'orthographe. Tu mets du pluriel lorsque les mots sont au singuliers et inversement. Revois également la conjugaison des verbes. Nous sommes là pour t'aider, alors si tu veux une explication d'une erreur n'hésite-pas à nous l'a poser :)

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La fin

L' année (espace car c'est un article élidé) 1973 ne représente pas qu'une crise économique pour les pays européens (pluriel car l'adj qualifie les pays), mais représente aussi et surtout  le décollage économique des pays exportateurs (pluriel -des pays) d'or noir. (or= nom masculin) Cela a (là c'est le verbe on peut dire avait) pour cause (pour consèquence) d’entraîner l'émergence de nouveaux flux et réseaux de personnes (pluriel) et d’échanges (pluriel) de marchandise. Le souk Lybia en est un exemple visible, par sa connexion avec la Lybie (nom de pays= majuscule) qui est une de ses sources principales (pluriel) en produits manufacturés  subventionnés en Lybie, puis exportés clandestinement pour être revendus à bas prix dans tout le Maghreb. Dans cette première étude de cas nous pouvons observer que la contrebande et la clandestinité des transports de marchandises manufacturés occupent une place importante dans cette mondialisation des pauvres, cela permettrait-il éventuellement aux vendeurs d'augmenter  leurs revenus en ayant accès à ce grand marché des pauvres qui ont besoin de consommer. En plus de cela nous pouvons remarquer la concurrence qui se (devant un verbe, on met se) joue entre acteurs privés locaux et acteurs publics (pluriel) pour avoir une partie des consommateurs qui transitent (sujet : les consommateurs) dans la ville d'El Oued pour se rendre dans le souk Libya. Néanmoins le marché public (singulier) nommé souk El Oued est peu fréquenté par les consommateurs (pluriel) préférant le vieux marché central,de plus c'est celui-ci qui portera le nom de souk Dubaï témoignant de l'intégration de la ville d'El Oued dans de nouveau circuit international. Nous avons nous aussi lecteur la possibilité d'observer la place et ce qu'apporte un commerce dit informel au dynamisme d'une ville. Avec ce cas numéro un très peux accès sur les pauvres que devons nous en retenir. (à reformuler)

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  • E-Bahut
Le 27/08/2018 à 22:00, Dan-nul-maths a dit :

Nous pouvons observer que les domaines  d'expertise d'Armelle Choplin et Olivier Pliez leur donne la légitimité de mener cette enquête sociologique.

les domaines d'expertise leur donnent

 

Nous pouvons observer que les domaines  d'expertise d'Armelle Choplin et Olivier Pliez leur donne la légitimité de mener cette enquête sociologique. Enquête sociologique, par la volonté des auteurs de s'intéresser et de décentraliser leur regard vers le bas de la pyramide: c'est à dire tourner le regard vers des personnes possédant peu de ressources et peu de biens, s’intéresser à la manière dont des personnes gagnants moins de deux dollars par jour consomment, vivent et peuvent générer des marchés qui leur sont propres et dont l'échelle est mondiale. De plus les auteurs se basent sur des rencontres et des études menées  par d'autres sociologues. Lors de l'introduction à la page 10 Armelle Choplin et Olivier Pliez utilisent les études menées par Barnerje et Duflo et des études statistiques menées par le Harvard British Review et par le yiwu sourcing  agent aux pages suivantes, P.42 pour l'observation de la « pyramides socio-économique des marchés dans les pays arabes >  qui répartit en pourcentages les habitants en trois classes, haut de la pyramides, classe moyenne et bas de la pyramide, P.64 afin d'étudier qui sont « les principauxexportateurs des produits de Yiwu> qui est la plaque tournante des exportations de produitsdans le monde Arabe .

 

Bonne relecture finale!

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  • E-Bahut

Quelques oublis:

 qui ont permis la naissance d'une communauté transnationale,

 

 . Cela nous laisse penser que ces communautés cherchent les prix les plus avantageux possibles sur leurs produits

 

et des frontières avec des taxes douanières basses leur permettant de revendre leurs produits le moins cher possible

 

. Ainsi, nous pouvons penser que les pauvres font partie intégrante de cette économie de bazar ;

 

les prix avantageux et la pluralité des produits proposés. De nouveaux dispositifs se mettent en place sur les rives Nord et Sud de la Méditerranée pour répondre aux besoins croissants en produits de consommation en partant des produits mécaniques, électroniques ainsi qu'à de divers babioles.

 

Sur la rive nord, pour répondre à ce besoin de consommation, se met en place un système régional et national qui devient très vites européen par des chaînes associant, par exemple, la remise en état, le négoce et le transit de véhicules d'occasion et de pièces détachées

 

qui peuvent provenir sûrement de toute l’Europe tant que les prix y sont attractifs. Sur la rive sud de la Méditerranée, comme en Algérie où la demande en produits de consommation des marchés est proche  de 80%, les marchandises se retrouvant sur les étals

 

sont des produits issus de contrebande, c'est-à-dire des marchandises importées sans déclaration douanière.

 

  Cela empêche la ville de Marseille d'assumer entièrement son rôle de lieu de rencontres et d'échanges commerciaux, puisqu'il est devenu plus dur ( difficile ) de faire du commerce pour les communautés transnationales maghrébines qui se tournent vers Istanbul et d'autres espaces Lesquels ?.

 

L'année 1973 ne représente pas qu'une crise économique pour les pays européens, mais aussi et surtout le décollage économique des pays exportateurs d'or noir.

 

 

Cela a  pour conséquences d’entraîner l'émergence de nouveaux flux et réseaux de personnes

 

et d’échanges de marchandises. Le souk Lybia en est un exemple visible. Sa connexion avec la Libye  est une de ses sources principales en produits manufacturés , qui   sont subventionnés puis exportés clandestinement pour être revendus à bas prix dans tout le Maghreb. 

 

Nous avons nous aussi la possibilité d'observer la place de ce qu'apporte un commerce dit informel au dynamisme d'une ville. Avec ce cas numéro 1, très peu axé  sur les pauvres que devons nous en retenir.Incompréhensible !

Il est impératif que tu revoies toutes les règles élémentaires d'orthographe. Tu mets du pluriel lorsque les mots sont au singuliers et inversement. Revois également la conjugaison des verbes. Nous sommes là pour t'aider, alors si tu veux une explication d'une erreur n'hésite-pas à nous l'a poser :)

 
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  • E-Bahut

En fait, tu n'en mets pas assez .

 

La ponctuation est aussi une respiration , comme à l’oral.

 

"..."  peut signifier qu'il manque quelque chose,  soit parce qu'on a coupé , une citation  par exemple, soit parce qu'on sous entend quelque chose qu'on ne veut pas exprimer.

 

C'est vrai que c'est complexe, mais ça rend fluide la lecture.

https://www.lalanguefrancaise.com/general/les-regles-de-la-ponctuation-en-francais/

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  • E-Bahut
il y a 39 minutes, Dan-nul-maths a dit :
Citation

 

Merci à tous pour votre aide grâce à vous j'ai pu rendre mes fiches de lecture à temps

Tant mieux!

 

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