Koraline.ko Posté(e) le 19 janvier 2020 Signaler Share Posté(e) le 19 janvier 2020 Bonjour à tous, je vous explique mon problème, je dois donner la nature des propositions grammaticales d’une phrase(délimitée par les traits bleus) mais je n’arrive absolument pas à trouver la proposition principale.... pour moi elle serait « les jeunes hommes de ce pays-là possédaient davantage de connaissances à seize et à dix-huit ans » mais le problème c’est qu’elle est introduite par une conjonction de subordination alors j’ai pensé à « je ne m’étonnai plus de voir que les jeunes hommes de ce pays-là possédaient davantage de connaissances à seize et à dix-huit ans » mais il y a encore un problème, je ne suis pas sure qu’une proposition principale peut être composée de deux propositions.... est-ce que vous pourriez m’aider, merci d’avance. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut moîravita Posté(e) le 19 janvier 2020 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 19 janvier 2020 C'est la proposition dont dépendent les autres ; "je ne m'étonnais plus de voir" : proposition principale "que les jeunes hommes ...du nôtre : proposition subordonnée complétive COD de " je ne m'étonnais plus de voir" "lorsque j'eus ...livres : proposition subordonnée circonstancielle , CCirc de temps de "je ne m'étonnais plus de voir". Encore des questions ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Koraline.ko Posté(e) le 19 janvier 2020 Auteur Signaler Share Posté(e) le 19 janvier 2020 Oui mais une proposition principale est sensée avoir du sens même quand on élève les subordonnées alors pourquoi là elle vient rien dire « je ne m’étonnai plus de voir » si il n’y a pas la suite, ne veut rien dire... non? Dans cette phrase, il y a bien 4 propositions? « lorsque....livres », « je ne m’étonnai plus de voir », « que les jeunes.....dix-huit ans » et « que les barbes grises du nôtre »? Ils demandent également de justifier le temps des verbes, on en trouve un au passé antérieur, un au passé simple et un à l’imparfait mais je ne sais pas vraiment comment justifier ça... c’est un genre de decrescendo allant du plus ancien vers maintenant mais comment devons-nous justifier? merci d’avance. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Koraline.ko Posté(e) le 19 janvier 2020 Auteur Signaler Share Posté(e) le 19 janvier 2020 Ou « que les barbes grises du nôtre » n’est pas considérée comme une proposition subordonnée parce qu’elle n’a pas de verbe conjuguée ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut moîravita Posté(e) le 19 janvier 2020 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 19 janvier 2020 Il y a 2 heures, Koraline.ko a dit : Ou « que les barbes grises du nôtre » n’est pas considérée comme une proposition subordonnée parce qu’elle n’a pas de verbe conjuguée ? En effet : le "que" devant les barbes fait partie ode "davantage que" , et ce "que n'introduit pas de proposition . Il y a 3 propositions . Les temps conjugués: lorsque j'eus réfléchi : passé antérieur (à l'action principale : temps qui ne dure pas dans le passé) ; je m'étonnai : passé simple : action ponctuelle dans le passé; possédaient : imparfait : action qui dure dans le passé . Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nègrepierre Posté(e) le 20 janvier 2020 Signaler Share Posté(e) le 20 janvier 2020 La proposition principale est celle dont dépendent toutes les autres. Elle n'a donc pas de sens à elle toute seule. C'est la proposition indépendenate qui, comme son nom l'indique, se suffit. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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