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dissertation


Ch0kolat

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il y a 4 minutes, Ch0kolat a dit :

Et dans mon développée j'écrit toute les définition comme celle dans la parti I que vous avez marquer de René des cartes?

Non, pas forcément et il ne faut pas recopier. Les textes que je t'ai donné servent avant tout à te donner une idée de ce à quoi j'ai pensé pour chaque partie. Ils peuvent fournir des citations utiles mais c'est à toi de t'approprier l'idée ou bien d'en préférer d'autres et de les formuler à ta manière. 

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Voilà, je réponds très tard en espérant que ce soit pas trop tard...

J'ai essayé de rester au plus près de ce que tu avais écrit....

 

De l'Antiquité jusqu'à la fin du XVIe siècle, on a cru que la Terre était au centre de l'univers ( géocentrisme ) Cette croyance fût progressivement remplacée par l'héliocentrisme selon lequel la Terre tourne autour du Soleil. L' on assiste alors au passage d'une idée fausse (mais vraie pour eux à leur époque) à une idées vraie qui perdure de nos jours.

   Cet exemple condense à lui seul les problèmes posés par le concept de vérité. En effet, la vérité vient du terme latin <<vêtus>> qui signifie "conforme au réel". L'idée vraie est un reflet fidèle de la réalité. Cependant, ce critère de conformité au réel ne semble pas suffire car à l'instar d'un tableau de Magritte, les apparences nous trahissent : il a fallu aux scientifiques rompre avec les évidences sensibles afin de démontrer scientiquement que la terre tournait bien autour du soleil. C'est ainsi en vertu d'une démonstration que cette idée a pu être tenue pour vraie. Enfin, notre exemple, est révélateur du fait qu'une idée vraie ne s'impose pas d'elle-même : les idées tenues pour vraies sont le reflet d'une époque. Ce que nous pensons vrai aujourd'hui ne le sera peut-être plus demain. 

Face au caractère mouvant et polysémique de la notion de vérité, se pose effectivement la question de savoir qu'est-ce exactement qu'une idée vraie ?

Nous verrons que le critère de conformité aux évidences sensibles constitue une première réponse à cette question. Puis, nous examinerons les critères scientifiques du vrai et enfin nous nous interesserons à ce que ce que l'idée vraie doit à l'époque dans laquelle elle s'inscrit.

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  • E-Bahut

Attention! à l'orthographe que je te laisse le soin de corriger.

  • René Descartes!
Il y a 16 heures, Ch0kolat a dit :

Et dans mon développée j'écrit toute les définition comme celle dans la parti I que vous avez marquer de René des cartes?

 On te demande de développer un plan

En complément éventuel:

Pour Descartes est "idée vraie" 

-Ce dont il peut être certain.Cette certitude est celle qu'il éprouve en lui .

Cette certitude s'applique à des vérités qui "sont déduites à partir de principes vrais et connus"

Au critère de la certitude s'ajoute celui de l'évidence .

 

-L' évidence  repose sur un principe de méthode de réflexion:"n'accepter aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle"

L'évidence a pour critères la clarté et la distinction

L'idée vraie est claire et distincte

 

Discours de la Méthode (celle qui permet de bien conduire sa raison car d’une part la raison est la seule autorité en matière de vérité, d’autre part elle est inefficace si elle ne s’exerce pas selon certaines règles.)

Pour atteindre à une connaissance certaine de la vérité , les deux voies cartésiennes sont l'intuition évidente et la déduction nécessaire.

 

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@Am@ndine Ah ok, sinon pour la partie I j'ai fait ça au cas ou 

La vérité peut être définie notamment par des critères communs : premièrement, la vérité comme évidence des idée c'est a dire que pour qu'une idée soit affirmé vraie, il faut qu'elle soit en correspondances avec la réalité de façon évidente. René Descartes partage cette thèse et en distinguent deux critères de l'idée vraie, la première c'est que pour qu'une idée soit vraie, il faut qu'elle soit ''claire" c'est a dire une idée simple que l'on peut se représenté facilement sans avoir de doute ou un problèmes quelconque, ensuite le deuxième critères selon Descartes c'est que celle ci se doit d'être "distinctes" en d'autres termes que l'on puissent la différé des autres idee, c'est donc un critères de différenciation. À cette thèse donné par Descartes, on peut donner comme exemple le triangle qui a une définition simple et précise ( figure a 3 côté ) qui se distingue facilement du carré. Cependant, l'évidence semble être un critère du vraie fragile car il repose sur une simple intuition rationnelle qui ne garantie pas que l'on soit dans le vraie.

Deuxièmement, l'idée vraie est ce qui est conforme au réel c'est a dire ce que je dis doit être en correspondances avec ce que je vois.

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Quelques brides en plus

L'idée vraie : absolue ? Relative ? Rationnelle ? Empirique ? Sociale ?

J'ai modifié légèrement le plan en plaçant DESCARTES en partie 2...

Tu peux commencer ta partie 1 éventuellement par un rappel de l'étymologie  pour faire le lien avec l'introduction.

Une phrase d'intro possible de la partie 1 

Comme mentionné dans l'introduction, étymologiquement le vrai désigne une idée conforme au réel.

Un développement :

Cette definition du vrai est celle qui nous vient spontanément à l'esprit (celle du sens commun). On dit qu'une histoire est vraie si elle a effectivement eu lieu. On considera de la même manière que la phrase "il pleut" est vraie si au moment où on le dit il pleut. Cette définition est également défendue par le philosophe de l'antiquité  Aristote pour qui " ce n'est pas parce que disons ... "( citation mise plus haut) Aristote met ici en avant la primauté des sens sur le langage. Plus précisément encore la vérité ne vient pas du discours seul mais dans son lien avec notre perception. Le critère qui nous sert à déterminer si une idée est vraie est une correspondance de l'énoncé au monde. 

Evoquer la critique de Kant  puis Platon :

Selon E. KANT pour qu'un énoncé  corresponde au réel il nous faudrait connaître la chose dont on parle. Or, c'est impossible car je n'ai accès qu'à mes idées. En d'autres termes, je ne peux jamais faire correspondre que l'idée que j'ai de la chose et mon langage.

D'une manière plus radicale encore, Platon place les Idées au delà du monde sensible. En effet, les sens ne nous donne accès qu'aux apparences. Or ces apparences ne sont que les reflets trompeurs, imparfaits des Idées. Les Idées sont des concepts, des formes pures. Ainsi, nous pouvons prendre l'exemple du beau. Il existe une multiplicité de choses belles. Mais cette multiplicité fait obstacle à la compréhension de ce qu'est le beau dans l'absolu, en soi cad indépendamment de toutes ces manifestations sensibles. Les Idées constituent un monde derrière le monde physique et qui contrairement à lui est immuable.

Une phrase conclusion :

Il ressort de cette partie que le critère du vrai comme conformité bien que convaincant au premier abord semble en définitive inopérant car nous n'avons finalement pas accès au réel mais à des images de celui-ci.

Phrase de transition :

A cette définition profane du vrai comme correspondance à la réalité  s'oppose une conception philosophique et scientifique fondée sur la raison.

2/ une conception philosophique et scientifique

Pour R. DESCARTES l'dée vraie possède une évidence rationnelle c'est-à-dire une idée dont on ne peut plus douter. ( à developper) 

Critère de cohérence interne de la pensée : 

Elle est également déduite logiquement. Le vrai est alors synonyme de validité du raisonnement. (A développer)

Enfin, l'idée vraie est démontrée (A développer)

Cependant, la validité, la cohérence d'un raisonnement ne suffit pas à prouver que les propositions qui le composent sont vraies. Par ailleurs, les théories reposent toutes sur des axiomes qui eux-mêmes n'ont pas été prouvés. Des lors ce qui est tenu pour vrai n'a rien d'absolu mais peut varier dans le temps. 

3/

L'idée vraie c'est en effet celle qui est admise comme telle à une période donnée. (A développer)

Tu peux reprendre ton exemple du passage du géocentrisme à l'heliocentrisme.

L'idée vraie est celle qui est avantageuse.

Texte "J'en viens donc à dire, pour résumer tout cela : le vrai consiste simplement dans ce qui est avantageux pour notre pensée, de même que le juste consiste simplement dans ce qui est avantageux pour notre conduite. Je veux dire : avantageux à peu près de n'importe quelle manière, avantageux à longue échéance et dans l'ensemble ; car ce qui est avantageux à l'égard de l'expérience actuellement en vue ne le sera pas nécessairement au même degré à l'égard des expériences ultérieures." W.James

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