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Introduction


tulip12

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  • E-Bahut
Posté(e)

Mamy t'a pourtant expliqué qu'il s'agit d'une relation sexuelle entre mari et femme. La femme y prend plaisir et le manifeste par des gémissements et des cris que reconnaît très bien le gendarme:

"comme il ne pouvait ni parler, ni cesser de rire, ni faire comprendre ce qu'il avait, il fit un geste, un geste populaire et polisson."

Ce geste est suffisamment explicite pour son soldat qui comprend à son tour. 

"- Ah! farceur, sacré farceur, je le retiendrai l'crime au père Boniface!" Le gendarme pense que le père Boniface les a fait marcher et qu'il savait très bien ce qui se passait en réalité.

Mais Boniface ne comprend toujours pas et pense toujours avoir entendu des cris de douleur. Le gendarme lui demande alors si sa femme n'a pas le même comportement:

"- Ma femme... Oui, all' gueule quand j'y fiche des coups... Mais all' gueule, que c'est gueuler, quoi. C'est-il donc que M. Chapatis battait la sienne?"

Boniface ne comprend toujours pas. Le gendarme lui explique à l'oreille. Il en est tout ébahi et n'avait jamais vu ni entendu parler de telles réactions:

"-Non... point comme ça..., point comme ça.... point comme ça..., all' ne dit rien, la mienne... J'aurais jamais cru... si c'est possible... on aurait juré une martyre..."

As-tu mieux compris ?

Posté(e)
Il y a 8 heures, chloém a dit :

Mamy t'a pourtant expliqué qu'il s'agit d'une relation sexuelle entre mari et femme. La femme y prend plaisir et le manifeste par des gémissements et des cris que reconnaît très bien le gendarme:

"comme il ne pouvait ni parler, ni cesser de rire, ni faire comprendre ce qu'il avait, il fit un geste, un geste populaire et polisson."

Ce geste est suffisamment explicite pour son soldat qui comprend à son tour. 

"- Ah! farceur, sacré farceur, je le retiendrai l'crime au père Boniface!" Le gendarme pense que le père Boniface les a fait marcher et qu'il savait très bien ce qui se passait en réalité.

Mais Boniface ne comprend toujours pas et pense toujours avoir entendu des cris de douleur. Le gendarme lui demande alors si sa femme n'a pas le même comportement:

"- Ma femme... Oui, all' gueule quand j'y fiche des coups... Mais all' gueule, que c'est gueuler, quoi. C'est-il donc que M. Chapatis battait la sienne?"

Boniface ne comprend toujours pas. Le gendarme lui explique à l'oreille. Il en est tout ébahi et n'avait jamais vu ni entendu parler de telles réactions:

"-Non... point comme ça..., point comme ça.... point comme ça..., all' ne dit rien, la mienne... J'aurais jamais cru... si c'est possible... on aurait juré une martyre..."

As-tu mieux compris ?

Je comprends ce que vous dite, mais je comprends pas pourquoi Boniface est naïf  

  • E-Bahut
Posté(e)

Je l'ai écrit: "Il en est tout ébahi et n'avait jamais vu ni entendu parler de telles réactions."

Ses relations sexuelles avec sa femme sont sans doute routinières et peu épanouissantes. Mamy te l'a expliqué:  "Il devait avoir une relation très platonique avec son épouse, un ptit tour et puis s'en va, pas de quoi gémir. Ce sont ces relations rapides qui étaient prônées à l'époque. Et surtout pas du plaisir,  un seul objectif: faire des enfants. "

Il est donc naïf sur ce sujet.

Posté(e)
il y a 7 minutes, chloém a dit :

Je l'ai écrit: "Il en est tout ébahi et n'avait jamais vu ni entendu parler de telles réactions."

Ses relations sexuelles avec sa femme sont sans doute routinières et peu épanouissantes. Mamy te l'a expliqué:  "Il devait avoir une relation très platonique avec son épouse, un ptit tour et puis s'en va, pas de quoi gémir. Ce sont ces relations rapides qui étaient prônées à l'époque. Et surtout pas du plaisir,  un seul objectif: faire des enfants. "

Il est donc naïf sur ce sujet.

Mais cela mme pliait pas dans le texte 

Posté(e)
il y a une heure, chloém a dit :

Dans le texte tout est suggéré par les champs lexicaux du rire et de l’ignorance que tu dois relever. 

 

 

Il en est tout ébahi et n'avait jamais vu ni entendu parler de telles réactions."

je ne comprends pas cette phrase. 

Aussi, ici comment je pourrais séparer mes idées principales et secondaire car je dois parler de une seule alors que j’ai parler de beaucoup. 

 

En premier lieu, avec l’extrait de « Le crime au père Boniface » de Maupassant, nous constatons que le narrateur veut démontrer l’opposition entre la personnalité naïve du père et les deux compères irrespectueux envers celui-ci. Ici, l’immaturité des deux caractères ayant une responsabilité importante dans la société et pour les citoyens ainsi que la naïveté de Monsieur Boniface et son ignorance envers ces derniers sont mis en place.

Posté(e)
Il y a 2 heures, chloém a dit :

Peux-tu appuyer ce que tu écris par des extraits du texte ? 

 

Je ne comprends pas ce que vous dites 

Posté(e)
il y a 21 minutes, corcega a dit :

Tu ne fais aucun effort... 

Je fais des efforts. Français n’est pas ma 1ere langue. So j’ai de la difficulté à comprends pas. 

  • E-Bahut
Posté(e)

Dans une analyse de texte, ce que tu écris doit s'appuyer sur le texte. Il faut donc que tu cites les passages de celui-ci qui justifient ce que tu affirmes.

Posté(e)
Il y a 1 heure, chloém a dit :

Dans une analyse de texte, ce que tu écris doit s'appuyer sur le texte. Il faut donc que tu cites les passages de celui-ci qui justifient ce que tu affirmes.

Le problème c’est que j’arrive la à trouver une passage qu’il peut appuyer cette justification. 

  • E-Bahut
Posté(e)

As-tu relevé les champs lexicaux du rire et de l’ignorance ? As-tu repérer quels personnages les utilise ? C'est de là que tu dois partir pour faire ton analyse.

Ce que tu as fait n'est pas bon puisque cela ne s'appuie sur rien de précis dans le texte.

Un exemple:

Citation

Mais le gendarme, n'y tenant plus, éclata de rire. Il riait comme on suffoque, les deux mains sur le ventre, plié en deux, I'oeil plein de larmes, avec d'affreuses grimaces autour du nez. Et les deux autres, affolés, le regardaient.

Ce qui en italique appartient au champ lexical du rire et concerne ici le gendarme. La situation qu'il vient de découvrir est cocasse. Mais pour le moment lui seul le sait.

Ce qui est en gras concerne le champ lexical de l'ignorance et concerne ici le soldat et le père Boniface: ils ne comprennent pas ce qui se passe et ne savent pas pourquoi le gendarme rit. 

Posté(e)
Le 30/04/2018 à 08:21, chloém a dit :

As-tu relevé les champs lexicaux du rire et de l’ignorance ? As-tu repérer quels personnages les utilise ? C'est de là que tu dois partir pour faire ton analyse.

Ce que tu as fait n'est pas bon puisque cela ne s'appuie sur rien de précis dans le texte.

Un exemple:

Ce qui en italique appartient au champ lexical du rire et concerne ici le gendarme. La situation qu'il vient de découvrir est cocasse. Mais pour le moment lui seul le sait.

Ce qui est en gras concerne le champ lexical de l'ignorance et concerne ici le soldat et le père Boniface: ils ne comprennent pas ce qui se passe et ne savent pas pourquoi le gendarme rit. 

Oui. J’ai relevé les champs lexicaux. Le problème ce que j’arrive pas à trouver une citation qui pourrais présenter le rire. Comme je ne peux pas utiliser le même citation. 

  • E-Bahut
Posté(e)

Si tu as relevé des champs lexicaux, tu as des citations! 

Je reformule ce que j'ai écrit plus haut:

Le gendarme écoute attentivement ce qui se passe dans la maison. Tout à coup, il rit à n'en plus pouvoir parler: "Il riait comme on suffoque, les deux mains sur le ventre, plié en deux, I'oeil plein de larmes, avec d'affreuses grimaces autour du nez."

Les deux autres sont inquiets à cette réaction inattendue: "Et les deux autres, affolés, le regardaient."

Continue.

Posté(e)
Il y a 2 heures, chloém a dit :

Si tu as relevé des champs lexicaux, tu as des citations! 

Je reformule ce que j'ai écrit plus haut:

Le gendarme écoute attentivement ce qui se passe dans la maison. Tout à coup, il rit à n'en plus pouvoir parler: "Il riait comme on suffoque, les deux mains sur le ventre, plié en deux, I'oeil plein de larmes, avec d'affreuses grimaces autour du nez."

Les deux autres sont inquiets à cette réaction inattendue: "Et les deux autres, affolés, le regardaient."

Continue.

Le citation que vous veniez de dire j’ai déjà utiliser. Comme j’ai besoin d’une autre. Je ne pourrais pas utiliser la même. 

Posté(e)
Il y a 7 heures, chloém a dit :

Il y a tout ce qu'il faut dans la suite du texte.

Je ne trouve pas. Comme j’ai déjà utiliser ses citation. Je ne pourrais pas réutiliser. 

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