CarlaOlieviero Posté(e) le 5 mars 2016 Signaler Share Posté(e) le 5 mars 2016 Bonjour, excusez de vous déranger mais j'aurais besoin d'aide pour commentaire composé sur un extrait de La Bruyère, "Du souverain ou de la République" j'ai noté quelques point important et j'ai commencé à le faire mais je bloque, surtout au niveau des axes et de la hiérarchisation des idées. J'ai su dégager quelques registres, dont le registre ironique correlé à celui du pathétisme. J'ai pu observé aussi les nombreuses figures de style, tel que l'énumération, la gradation, l'hyperbole.. Je sais que ce texte est en réalité une critique de la guerre et de la souveraineté à l'époque. Je sais aussi que le moraliste La Bruyère mêle émotion et indignation tout au long de cet extrait pour interpellé le lecteur. J'ai aussi trouver une problématique: Comment La Bruyère relate-il les absurdités de la guerre? Je ne sais pas comment organiser mon commentaire composé, je voudrais impressionné ma prof de français qui pense que je n'y arriverai jamais! J'espère que vous pourrez m'aider car j'en ai vraiment besoin! Voilà l'extrait à étudier: La guerre a pour elle l'antiquité ; elle a été dans tous les siècles : on l'a toujours vue remplir le monde de veuves et d'orphelins, épuiser les familles d'héritiers, et faire périr les frères à une même bataille. Jeune Soyecour! je regrette ta vertu, ta pudeur, ton esprit déjà mûr, pénétrant, élevé, sociable, je plains cette mort prématurée qui te joint à ton intrépide frère, et t'enlève à une cour où tu n'as fait que te montrer : malheur déplorable, mais ordinaire ! De tout temps les hommes, pour quelque morceau de terre de plus ou de moins, sont convenus entre eux de se dépouiller, se brûler, se tuer, s'égorger les uns les autres ; et pour le faire plus ingénieusement et avec plus de sûreté, ils ont inventé de belles règles qu'on appelle l'art militaire ; ils ont attaché à la pratique de ces règles la gloire ou la plus solide réputation ; et ils ont depuis renchéri de siècle en siècle sur la manière de se détruire réciproquement. De l'injustice des premiers hommes, comme de son unique source, est venue la guerre, ainsi que la nécessité où ils se sont trouvés de se donner des maîtres qui fixassent leurs droits et leurs prétentions. Si, content du sien, on eût pu s'abstenir du bien de ses voisins, on avait pour toujours la paix et la liberté. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut moîravita Posté(e) le 5 mars 2016 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 5 mars 2016 Je puis t'aider, mais le temps me manque aujourd'hui . Quand dois-tu remettre ce devoir ? PS : Pose ta question sur mon messager personnel (enveloppe à gauche de mon pseudo , en haut à droite ) . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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