enirisbel Posté(e) le 27 février 2013 Signaler Share Posté(e) le 27 février 2013 salut pouriez vous m'aidez pour mon devoir je ne comprend rien devoir 3 voici le lien http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_50cc69b6e483e.pdf Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
enirisbel Posté(e) le 1 mars 2013 Auteur Signaler Share Posté(e) le 1 mars 2013 voici mes reponse pouriez vous me dire si c'est juste , je vous remercie d'avance !! : 1- Quels éléments font de ces deux textes des scènes animées ? L’élément font de ces deux textes des scènes animées sont un événement vient bouleverser la stabilité de la situation initiale, provoque une rupture et déclenche l’action soit à mi-chemin entre le court roman et la nouvelle,l’histoire des personnages éponyme, telle qu’elle est narrée, s’étend sur une longue durée. Une telle durée est en effet nécessaire à la construction et la compréhension de ces personnages qui vit en quelque sorte, dans ce texte, . De plus, comme tous les romans, Le Colonel Chabert et Flaubert s’inscrit dans un contexte historique et socioculturel réels. 2- Quelle atmosphère particulière se dégage de ces deux textes ? L'atmosphere est de l'angoise et de la peur . 3-Quels sont les points de vue adoptés. Vous répondrez en indiquant aussi la place du narrateur (2 points) -dans le texte de balzac le point de vue et interne , le narrateur est …. . -dans le texte de flaubert le point de vue est interne , le narrateur est omniscient . axe 1 : je sais pas . Axe 2 : L’ennui Paris et le portrait du personnage sont donc dessinés conjointement : le regard et l’errance du héros permettent l’évocation de la ville, évocation qui renvoie à l’état d’âme du protagoniste. le héros erre dans Paris mais leur perception amène à une description toute différente conclusion: Ce roman, comme tous les romans réalistes et naturalistes, est ancré dans un espace et un temps réels précis. Le lecteur de l’époque possédait alors assez d’éléments pour pouvoir aisément reconnaître les lieux décrits. Mais la description des lieux dans les romans de Balzac ne se contente pas de recréer un cadre géographique, historique, social et culturel. L’espace est le reflet extérieur de ce que vivent et sont les personnages. Balzac crée des correspondances entre ses personnages et les lieux dans lesquels ils vivent. Dans le roman réaliste, les descriptions ont une fonction précise et ne sont jamais de l’ordre du « décoratif ». Elles ancrent l’histoire dans une réalité précise . Les lieux décrits sont réels et décrits avec une telle précision que le lecteur contemporain peut aisément les reconnaître, les descriptions de l’étude, du quartier et du logis du colonel obéissent à cette volonté de vraisemblance romanesque. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
enirisbel Posté(e) le 1 mars 2013 Auteur Signaler Share Posté(e) le 1 mars 2013 aidez moi svp c urgent !!!!!!!!!!!!!!!!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut moîravita Posté(e) le 1 mars 2013 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 1 mars 2013 Je n'ai pas accès à tes textes, mais le point de vue n'est pas interne (on découvrirait la fiction à partir d'un narrateur-personnage privilégié), mais externe (le narrateur sait tout de ses personnages, même leurs pensées les plus intimes). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
enirisbel Posté(e) le 2 mars 2013 Auteur Signaler Share Posté(e) le 2 mars 2013 voici le texte : DEVOIR FRANÇAIS Objet d’étude : Le roman et la nouvelle au XIXe siècle : réalisme et naturalisme Objectifs du devoir Ce devoir évalue votre maîtrise de la lecture méthodique sur un extrait d’un roman réaliste. Pour réaliser ce devoir, vous devez donc maîtriser les connaissances abordées dans la séquence 1 et/ou approfondies dans la séquence 3 sur le roman et la nouvelle réalistes : – savoir reconnaître les caractéristiques du mouvement réaliste à partir des études menées dans la séquence ; – savoir rédiger un commentaire littéraire ; – savoir expliquer un texte descriptif. Vous devez donc avoir au préalable réalisé les exercices autocorrectifs qui vous ont entraîné(e) à la technique du commentaire littéraire, avoir lu et assimilé les Fiches méthode. Corpus : Texte A : Balzac, Le Colonel Chabert (1832) Après dix ans d’absence, un homme que l’on a cru mort à la bataille d’Eylau (1807), revient à Paris et réclame ce qui lui revient de droit : sa femme et sa fortune. Cet homme se présente à l’avoué Derville et lui fait un récit poignant de sa disparition, lui expliquant pourquoi il n’a pas donné signe de vie pendant si longtemps. Il prétend être le colonel Chabert, un proche de Napoléon, laissé pour mort sur le champ de bataille. Sauvé in extremis par de braves gens, il est resté entre la vie et la mort pendant des mois et a perdu la mémoire. S’étant remis peu à peu, il a traversé l’Allemagne pour revenir en France mais partout où il racontait son histoire, personne ne le croyait. Il a écrit plusieurs fois à sa femme qui n’a jamais répondu. Dès son retour à Paris, il va trouver l’avoué Derville pour obtenir gain de cause, en passant par la voie juridique. Derville, troublé par l’accent de vérité de cet homme qui ne paie pas de mine, décide de lui rendre visite dans son logis parisien, dans le faubourg Saint-Marceau1. Derville découvre le lieu de vie du colonel Arrivé là, Derville fut forcé d’aller à pied à la recherche de son client ; car son cocher refusa de s’engager dans une rue non pavée et dont les ornières étaient un peu trop profondes pour les roues d’un cabriolet. En regardant de tous les côtés, l’avoué finit par trouver, dans la partie de cette rue qui avoisine le boulevard, entre deux murs bâtis avec des ossements et de la terre, deux mauvais pilastres en moellons, que le passage des voitures avait ébréchés, malgré deux morceaux de bois placés en forme de bornes. Ces pilastres soutenaient une poutre couverte d’un chaperon6 en tuiles, sur laquelle ces mots étaient écrits en rouge : VERGNIAUD, NOURICEURE. À droite de ce nom, se voyaient des oeufs, et à gauche une vache, le tout peint en blanc. La porte était ouverte et restait sans doute ainsi pendant toute la journée. Au fond d’une cour assez spacieuse, s’élevait, en face de la porte, une maison, si toutefois ce nom convient à l’une de ces masures bâties dans les faubourgs de Paris, et qui ne sont comparables à rien, pas même aux plus chétives7 habitations de la campagne, dont elles ont la misère sans en avoir la poésie. En effet, au milieu des champs, les cabanes ont encore une grâce que leur donnent la pureté de l’air, la verdure, l’aspect des champs, une colline, un chemin tortueux8, des vignes, une haie vive9, la mousse des chaumes10, et les ustensiles champêtres ; mais à Paris la misère ne se grandit que par son horreur. Quoique récemment construite, cette maison semblait près de tomber en ruine. Aucun des matériaux n’y avait eu sa vraie destination, ils provenaient tous des démolitions qui se font journellement dans Paris. Derville lut sur un volet fait avec les planches d’une enseigne : Magasin de nouveautés. Les fenêtres ne se ressemblaient point entre elles et se trouvaient bizarrement placées. Le rez-de-chaussée, qui paraissait être la partie habitable, était exhaussé11 d’un côté, tandis que de l’autre les chambres étaient enterrées par une éminence. faubourg Saint-Marceau : actuel 13e arrondissement de Paris, quartier populaire d’une importante nécropole (les catacombes). Entre la porte et la maison s’étendait une mare pleine de fumier où coulaient les eaux pluviales et ménagères. Le mur sur lequel s’appuyait ce chétif logis, et qui paraissait être plus solide que les autres, était garni de cabanes grillagées où de vrais lapins faisaient leurs nombreuses familles. À droite de la porte cochère se trouvait la vacherie surmontée d’un grenier à fourrages15, et qui communiquait à la maison par une laiterie. À gauche étaient une basse-cour, une écurie et un toit à cochons qui avait été fini, comme celui de la maison, en mauvaises planches de bois blanc clouées les unes sur les autres, et mal recouvertes avec du jonc. Comme presque tous les endroits où se cuisinent les éléments du grand repas que Paris dévore chaque jour, la cour dans laquelle Derville mit le pied offrait les traces de la précipitation voulue par la nécessité d’arriver à heure fixe. Ces grands vases de fer-blanc bossués dans lesquels se transporte le lait, et les pots qui contiennent la crème, étaient jetés pêle-mêle devant la laiterie, avec leurs bouchons de linge. Les loques trouées qui servaient à les essuyer flottaient au soleil étendues sur des ficelles attachées à des piquets. Ce cheval pacifique, dont la race ne se trouve que chez les laitières, avait fait quelques pas en avant de sa charrette et restait devant l’écurie, dont la porte était fermée. Une chèvre broutait le pampre16 de la vigne grêle et poudreuse qui garnissait le mur jaune et lézardé de la maison. Un chat était accroupi sur les pots à crème et les léchait. Les poules, effarouchées à l’approche de Derville, s’envolèrent en criant, et le chien de garde aboya. L’homme qui a décidé le gain de la bataille d’Eylau serait là ! se dit Derville en saisissant d’un seul coup d’oeil l’ensemble de ce spectacle ignoble. Texte B : Flaubert, L’éducation sentimentale (1869) L’Éducation sentimentale est un roman de Gustave Flaubert, paru en 1869. L’histoire débute en 1840. Au début, Frédéric Moreau, personnage principal, n’a que 18 ans. Récemment bachelier, il quitte provisoirement Paris pour Nogent-sur-Seine, où il va retrouver sa mère. Il fait le voyage en bateau (bateau appelé La Ville de Montereau) sur la Seine. C’est sur ce bateau qu’il rencontre Madame Arnoux, une femme mariée, mère de deux enfants, plus âgée que lui, dont il tombe éperdument amoureux au premier regard. Désormais, il ne pensera plus qu’à elle. Revenu à Paris pour y commencer des études de droit, il n’a qu’une idée : la revoir. Frédéric est un jeune homme velléitaire et rêveur. Rien de ce qu’il entreprend ou vit ne l’intéresse vraiment : ni ses études, ni ses amitiés, ni ses aventures amoureuses, ni la situation politique parisienne... Il a pourtant une assez haute idée de lui-même, comme le mentionne le narrateur dans l’incipit : Frédéric « trouvait que le bonheur mérité par l’excellence de son âme, tardait à venir ». Son désenchantement progressif est aussi celui de toute une génération de jeunes gens romantiques. Dans ce passage du chapitre 5 de la première partie, Frédéric vient d‘apprendre l’absence de Madame Arnoux qui est partie en province. Regard de Frédéric sur Paris Alors commencèrent trois mois d’ennui. Comme il n’avait aucun travail, son désœuvrement renforçait sa tristesse. Il passait des heures à regarder, du haut de son balcon, la rivière qui coulait entre les quais grisâtres, noircis, de place en place, par la bavure des égouts, avec un ponton de blanchisseuses amarré contre le bord, où des gamins quelquefois s’amusaient, dans la vase, à faire baigner un caniche. Ses yeux délaissant à gauche le pont de pierre de Notre-Dame et trois ponts suspendus, se dirigeaient toujours vers le quai aux Ormes, sur un massif de vieux arbres, pareils aux tilleuls du port de Montereau. La tour Saint-Jacques, l’hôtel de ville, Saint-Gervais, Saint-Louis, Saint-Paul se levaient en face, parmi les toits confondus, — et le génie de la colonne de Juillet resplendissait à l’orient comme une large étoile d’or, tandis qu’à l’autre extrémité le dôme des Tuileries arrondissait, sur le ciel, sa lourde masse bleue. C’était par-derrière, de ce côté-là, que devait être la maison de Mme Arnoux. Il rentrait dans sa chambre ; puis, couché sur son divan, s’abandonnait à une méditation désordonné: plans d’ouvrage, projets de conduite, élancements vers l’avenir. Enfin, pour se débarrasser de lui-même, il sortait. Il remontait, au hasard, le quartier latin, si tumultueux d’habitude, mais désert à cette époque, car les étudiants étaient partis dans leurs familles. Les grands murs des collèges, comme allongés par le silence, avaient un aspect plus morne encore ; on entendait toutes sortes de bruits paisibles, des battements d’ailes dans des cages, le ronflement d’un tour, le marteau d’un savetier ; et les marchands d’habits, au milieu des rues, interrogeaient de l’oeil chaque fenêtre, inutilement. Au fond des cafés solitaires, la dame du comptoir bâillait entre ses carafons remplis ; les journaux demeuraient en ordre sur la table des cabinets de lecture ; dans l’atelier des repasseuses, des linges frissonnaient sous les bouffées du vent tiède. De temps à autre, il s’arrêtait à l’étalage d’un bouquiniste ; un omnibus, qui descendait en frôlant le trottoir, le faisait se retourner ; et, parvenu devant le Luxembourg, il n’allait pas plus loin. Quelquefois, l’espoir d’une distraction l’attirait vers les boulevards. Après de sombres ruelles exhalant des fraîcheurs humides, il arrivait sur de grandes places désertes, éblouissantes de lumière, et où les monuments dessinaient au bord du pavé des dentelures d’ombre noire. Mais les charrettes, les boutiques recommençaient, et la foule l’étourdissait, — le dimanche surtout, — quand, depuis la Bastille jusqu’à la Madeleine, c’était un immense flot ondulant sur l’asphalte17, au milieu de la poussière, dans une rumeur continue ; il se sentait tout écoeuré par la bassesse des figures, la niaiserie des propos, la satisfaction imbécile transpirant sur les fronts en sueur ! Cependant, la conscience de mieux valoir que ces hommes atténuait la fatigue de les regarder. 1-Quels éléments font de ces deux textes des scènes animées ? 2-Quelle atmosphère particulière se dégage de ces deux textes ? 3-Quels sont les points de vue adoptés. Vous répondrez en indiquant aussi la place du narrateur. Vous rédigerez un commentaire littéraire de l’extrait B, dans son intégralité, à partir du parcours suivant : Axe 1 : Un regard réaliste et esthétique sur Paris (en fonction des allées et venues ou du regard de Frédéric) Axe 2 : L’ennui Important : votre commentaire comportera une introduction et une conclusion rédigées. La conclusion présentera un bilan de l’étude puis une ouverture (c’est-à-dire un élargissement) vers d’autres textes, vers des prolongements du thème du texte dans d’autres arts ou à d’autres époques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
enirisbel Posté(e) le 2 mars 2013 Auteur Signaler Share Posté(e) le 2 mars 2013 svp aidez moi c'est très urgent !!!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
enirisbel Posté(e) le 3 mars 2013 Auteur Signaler Share Posté(e) le 3 mars 2013 salut , j'ai reussit les question mais pas l'axe 1 et 2 . veuiller m'aider c'est très important et très urgent !! je vous remercie d'avance Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Emie24 Posté(e) le 12 mars 2013 Signaler Share Posté(e) le 12 mars 2013 Bonjour, Je suis moi aussi bloqué sur ce devoir que je ne comprend pas, surtout les questions. Si vous pouviez me donner quelques conseil, s'il vous plait. /user/67238-enirisbel/" title="">enirisbel, si tu également au CNED, pour les commentaires littéraire je te conseil de suivre la fiche méthode n°2, qui t'orientera directement vers le bon déroulement de tes textes. Merci, d'avance. Bonne fin d’après - midi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
enirisbel Posté(e) le 28 mars 2013 Auteur Signaler Share Posté(e) le 28 mars 2013 coucou es ce que tu est encore bloquer sur se devoir parce que je l'ai terminer si ta besoin d'aider bisous et dsl pour cette reponse en retard je viens tout juste de voir ta reponse ... :/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mat226 Posté(e) le 27 avril 2013 Signaler Share Posté(e) le 27 avril 2013 Je comprend rien au devoir si tu a les réponse je les veux bien je suis bloqué sur lui je n'arrive pas à avancer et c'est mon dernier devoir Cordialement. Merci d'avance Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
enirisbel Posté(e) le 28 avril 2013 Auteur Signaler Share Posté(e) le 28 avril 2013 oui je peux t'aider t'es au cned ?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
AlonA Posté(e) le 1 mai 2013 Signaler Share Posté(e) le 1 mai 2013 Je suis au cned en seconde aussi j'ai fait tout les devoirs sauf Francais et Maths si quelqu'un peut m'aider c'est top jvous envoi des devoirs aussi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
enirisbel Posté(e) le 2 mai 2013 Auteur Signaler Share Posté(e) le 2 mai 2013 oui je peux t'aider viens en MP Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boubagump Posté(e) le 22 mai 2013 Signaler Share Posté(e) le 22 mai 2013 Coucou moi sussi je suis bloqué, je peux avoir de l'aide svp? Merci Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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