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Ecriture D'invention : Poème En Prose


Papuche

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Posté(e)

Bonjour a tous, je travaille actuellement sur un devoir maison , a rendre le 4 novembre a mon professeur de Français .

Le sujet de mon devoir est : Poème en prose.

Je dois donc écrire et inventé un poème en prose sur un lieu qui m'évoque de la nostalgie ou de la joie.

Seul problème, je ne trouve pas de quel lieu je pourrais parler et encore moins comment en parler !

Aidez-moi s'il vous plait !!! :$

Je vous remercie d'avance ! smile.png

Posté(e)

Bonjour,

n'importe quel lieu est possible puisqu'il s'agit ici de tes sentiments et de ton ressenti personnel.

N'hésite pas à proposer des idées. Le paradis peut donner lieu à un beau poème vu toutes les images mythologiques et religieuses qui lui sont associées.

Posté(e)

Et bien ça c'est à toi de nous le dire... Après tout, personne ne peut parler de tes sentiments à ta place.

Si tu cherches de l'inspiration, regarde des poèmes sur le net.

  • E-Bahut
Posté(e)

Il semble que tu devrais avoir CONNU le lieu en question . Pour le Paradis, c'est difficile ...

Un lac (comme Lamartine) , une chambre, un lieu de culte, un cimetière (c'est l'époque !), un endroit de la forêt avec un arbre spécifique , un banc (comme dans "Mistral gagnant " de Renaud), un escalier , un grenier, une cabane dans les arbres, une gare , etc. etc .???

Posté(e)
/user/51605-moiravita/" title="">moîravita , Merci de votre commentaire, j'ai choisi de faire sur un parc , ou j'avais l'habitude d'aller avec ma cousine , quand je la voyais encore. :)

Voici mon poème , pouvez vous me dire ce que vous en pense ...

Mon regard fut attiré par la forme de l'arbre situé au centre du parc. Il était semblable à celui que l'on contemplai chaque année , au crépuscule de l'été.

Mes mains se souviennent encore de la sensation de cette herbe verte, dans laquelle nous adorions nous allonger en regardant, chaque soir, un peu plus longtemps, les constellations errant dans le ciel clarifiés par par la lumière de la lune.

Mes joues se ramentevoissent de la fraîcheur automnale.

Notre séparation provoque en mon cœur de sempiternel douleurs.

Désormais je te cherche , dans les abîmes et le firmament.

Ô divinité ! Où es-tu donc ?

Dans le parc, rien n'a changé, il y a toujours cet arbre, l'herbe verte est elle aussi présente et je sens avec assiduité l'exhalaison de la roseraie.

Mes yeux larmoyant de ton absence, provoque en moi, une nuée de supplice.

Dorénavant, l'espoir de te revoir devient alors fugitif.

- dédié à Morgane Gobin ! <3

  • E-Bahut
Posté(e)

J'ai l'impression que tu as mis bout à bout des morceaux de phrases, ou de vers glanés cà et là . Où caches-tu ton émotion personnelle ? Que signifie "se ramentevoissent " ?

J'ai l'impression de lire un inventaire des clichés romantiques .

Tu ne crois pas ?

Posté(e)

Le but est de faire un poème en prose, donc pas de vers mais des phrases.

Se ramentevoissent est un synonymes de se rappellent / se souviennent .

Clichés Romantiques ? Non, juste de la nostalgie et enormement de tristesse .

  • E-Bahut
Posté(e)

Alors pourquoi ne pas écrire "se souviennent" ?

Même dans un poème en prose, il faut pouvoir repérer des champs lexicaux (tristesse, nostalgie// nature , parc, ciel etc.) ainsi que des assonances et allitérations .

Bon courage ..

  • E-Bahut
Posté(e)

Une suggestion à partir de ton texte ?

Je me souviens d'un parc, au crépuscule de l'été

Et d'un arbre bizarre , dont les branches en coeur semblaient contenir le soleil couchant

Je me souviens d'avoir caressé l'herbe verte où l'on s'allongeait dans l'odeur des roses bordant les allées , et attendant en silence l'éveil des constellations qui escortaient la lune montante,

je me souviens de la fraîcheur du soir sur ma peau, de la caresse de tes cheveux, des larmes contenues dans tes yeux, du tremblement de ta main, de la déchirure de ton adieu ,

Et maintenant, dans cette allée où je vais solitaire,

Dans ce présent où je te cherche en vain, le regard rivé au firmament dont je supplie les abîmes,

Je revois, hagard, éperdu, l'arbre dénudé, l'herbe jaunie,

Je tangue au vent sauvage d'automne,

Je hume les pétales de roses fanées,

Je foule les feuilles mortes secouées de pluie glacée

Et mon coeur supplicié par ton absence balaie l'espoir de te revoir .

Cela te convient-il ?

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