lucas88300 Posté(e) le 30 mars 2013 Signaler Posté(e) le 30 mars 2013 Bonjour, j'ai un commentaire composé a faire pour lundi prochain, mais c'est la première fois que j'en fais un et donc je ne maîtrise pas complètement ce type de devoirs. Ce devoir porte sur "Quand nous habitions tous ensemble..." de Pauca Meae de Victor Hugo (le texte est disponible sur internet). J'ai déjà réussi a trouver mon plan, mais je ne trouve pas d'idée a développer par la suite. Voici mon plan (pour ceux qui voudront bien me donné un petit coup de main) I) l'évocation d'une relation d’amour paternel et filial avec Léopoldine : A) Léopoldine = une petite fille idéale B) Une tendre complicité père/fille C) Léopoldine = source d'inspiration du père poète Merci pour ceux qui laisseront un petit commentaire.
lucas88300 Posté(e) le 30 mars 2013 Auteur Signaler Posté(e) le 30 mars 2013 Je me suis tromper dans le texte, ce n'est pas celui marqué au début mais celui là : 1 Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin De venir dans ma chambre un peu chaque matin ; Je l’attendais ainsi qu’un rayon qu’on espère ; Elle entrait et disait : « Bonjour mon père » ; 5 Prenait ma plume, ouvrait mes livres s’asseyait Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait, Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe. Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse, Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant, 10 Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée, Et mainte page blanche entre ses mains froissée Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers. Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts, 15 Et c'était un esprit avant d'être une femme. Son regard reflétait la clarté de son âme. Elle me consultait sur tout à tous moments. Oh! que de soirs d'hiver radieux et charmants Passés à raisonner langue, histoire et grammaire, 20 Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère Tout près, quelques amis causant au coin du feu ! J'appelais cette vie être content de peu ! Et dire qu'elle est morte! hélas! que Dieu m'assiste ! Je n'étais jamais gai quand je la sentais triste ; 25 J'étais morne au milieu du bal le plus joyeux Si j'avais, en partant, vu quelque ombre en ses yeux.
E-Bahut moîravita Posté(e) le 31 mars 2013 E-Bahut Signaler Posté(e) le 31 mars 2013 Liens du père et de la fille à travers la mort : Léopoldine reste sa muse, son inspiratrice . Hugo croyait en une vie après la mort, en l'animisme, en la transmigration des âmes .
lucas88300 Posté(e) le 31 mars 2013 Auteur Signaler Posté(e) le 31 mars 2013 Bonjour, merci de votre réponse mais où est ce que je met ça ? Je n'ai pas tout compris désolé :/
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