Aure_lie Posté(e) le 12 février 2011 Signaler Posté(e) le 12 février 2011 Bonjour. Pour mardi j'ai un DM de français que j'ai déjà commencer sur ce texte Une mort bizarre de Allais - Cliquer içi . ( Il y en a pas trop besoin les phrases a étudier sont dans les questions ) J'ai déjà commencer, j'aimerais bien que l'on me corrige parce que ce n'est pas assez complet à chaque fois je pense. Dont une dernière question pour laquelle je n'ai vraiment pas d'idée. Questions : 1. A quels indices reconnaît-on que ce texte est une nouvelle ? On reconnait que ce texte est une nouvelle car c'est un récit. Il a un schéma narratif, c'est un récit fictif. On entre direct dans la nouvelle et c'est un récit assez court. On a une fin rapide ( chute ) surprenante, inattendue. Et il y a plusieurs narrateurs. 2. Quels sont les temps et les valeurs des formes verbales suivantes ? - Il a du talent à jeun et de la sentimentalité le reste du temps. -> il a : présent de l'indicatif - Je le saurai, quand tu me l'auras dit. saurai -> futur simple de l'indicatif . auras dit -> futur antérieur de l'indicatif. - Mon aquarelle avait débordé : la jeune fille était noyée dans son lit. avait débordé -> plus que parfait de l'indicatif. était noyée : plus que parfait de l'indicatif. ( vraiment pas sur ) - Axelsen pleurait comme un veau marin. Je lui serrai la main. pleurait -> imparfait de l'indicatif. serrai -> passé simple de l'indicatif. 3. De quelle manière les paroles des personnes sont-elles rapportées - " Eh bien ! fis-je, cordial, ça ne va donc pas, Axelsen ? ". Et " Et, tu sais, ajouta-i-il, c'est absolument vrai ce que je viens de ta raconter. Demande plutôt à Johasson qui me dit que c'était de la blague." le premier les paroles sont rapporté au discourt direct. la deuxième je vois pas. Quel effet produit la dernière phrase ? Un renversement de situation ( blague ) 4. Quels sont les registres littéraires qui peuvent être identifié dans ce texte ? Les registres littéraires qui peuvent être identifié sont le tragique, fantastique et comique. Tragique -> évoquer dans le titre "mort" Fantastique -> évoquer dans le titre "bizarre" Comique -> la blague et les animisme. JUSTIFIER vos réponses par des références précise du texte. Comment faire plus complet à l'aide du texte ?! Travaux d'écriture : Écrivez la scène correspondant au passage " Dès le matin, je montai à la villa où demeurait mon amante. Je trouvai tout le monde dans le désespoir le plus fou. Mon aquarelle avait débordé : la jeune fille était noyée dans son lit" . Développez le tableau ( description, portrait ) 20 lignes. Pouvez-vous me donnez des idées ? Je ne vois vraiment pas comment faire ça ... Je le mettrais après pour que vous me corrigiez. Merci beaucoup à vous.
E-Bahut moîravita Posté(e) le 12 février 2011 E-Bahut Signaler Posté(e) le 12 février 2011 Bonjour Aurélie,j'ai bien lu ton texte que tu as eu l'intelligence de poster . Voici ce que je pense : Questions ; 1. C'est une nouvelle parce que c'est un récit court (il peut parfois être long, comme "La Métamorphose" de Kafka), qui comprend peu de personnages (ici, trois personnages : le narrateur, Axelsen et Johanson qui révèle la chute , élément obligatoire de toute nouvelle)qui se termine sur une chute qui se doit d'être surprenante pour le lecteur, qui s'attendait à une autre fin. (donc, un seul narrateur dont on ne connaît pas l'identité et qui raconte l'histoire) 2. Temps et valeurs des formes verbales : -il a : indic. présent d'habitude- -je le saurai: fut. indic. temps de la certitude / auras dit : fut antér indic par concordance avec "saurai": ici pas de certitude puisque A. n'a encore rien dit. -avait débordé : action qui a eu lieu dans le passé(p-q-p) et n'est pas achevée dans le présent. -était noyée:imparfait passif (je pense: vérifie: on peut ajouter" par l'eau de l'aquarelle") -pleurait: imprf : action qui dure dans le passé/ serrai la main :p.s. action ponctuelle dans le passé. 3.Les paroles sont au style direct (emploi des guillemets, du présent de l'indic) dernière phrase: c'est le style indirect"Johansson me dit que c'était une blague " verbe introducteur: "me dit " et subordonnée COD "que c'était une blague":(au style direct on aurait: Il me dit :"C'est une blague". Effet produit par la dernière phrase: toute l'histoire se détruit, s'annihile tout comme l'aquarelle s'efface par l'eau qui déborde . Je continue ... attends.
E-Bahut moîravita Posté(e) le 12 février 2011 E-Bahut Signaler Posté(e) le 12 février 2011 4. Registres littéraires: a. tragique : la mort de le jeune fille noyée , mais le lecteur sait qu'il est dans le registre du...b) b. fantastique : il est davantage représenté: un tableau peint à l'aquarelle de l'eau de mer déborde comme les égouts du Havre et entraîne la mort d'une jeune fille aimée tout comme les égouts envoient des ordures mortifères aux habitants(on passe du réel à l'irréel, le fantastique ) c. registre réaliste : description liminaire du narrateur (là , tu vas trouver) d. registre comique et ironique: antiphrases (joli spectacle), personnification (les ordures s'épanouissent, cyniques), comparaison(pleurait comme un veau marin), métonymie(à nous les petites typhoïdes= les malades atteints de typhoïde)...réflexions du narrateurs sur Fr.1er, etc. qui tempèrent le tragique de la situation(pleurs de A. , mort de la j.f.) 5. Travaux d'écriture: -Tu peux décrire le chemin qui mène à la villa, semé d'embûches, introduire dans la description de la villa des éléments étranges:plantes détrempées, portes ouvertes , serviteurs accablés ou en pleurs, fleurs fanées, chien qui se cache,... -dans la villa : le personnage peut se cogner à tous les meubles, se rendre compte que ses pieds sont trempés,que l'électricité ne fonctionne plus , entendre comme le vent du large,... -dans la chambre: son regard est attiré par le tableau que tu décris, qui a changé, il a l'impression de marcher sur des algues, de s'enfoncer dans du sable... "Je ne vis pas tout de suite mon amante ... Ses longs cheveux flottaient autour de son visage décoloré, des draps l'enveloppaient comme une vague d'écume, ... elle était couchée sur le dos dans le léger bercement de la barque de son lit." A toi maintenant ! Bon courage!
Aure_lie Posté(e) le 12 février 2011 Auteur Signaler Posté(e) le 12 février 2011 Alors, voilà le texte mais je crois que ce n'est pas assez long et je ne sais vraiment pas quoi rajouté pour décrire encore plus. " J'allai à la villa le chemin était semé d'embûches. A quelque mètre de la villa je vis des éléments qui me paraissait étrange, les portes ouvertes, les fleurs fanées, les serviteurs accablés. Je rentrai dans la villa, j'étais tellement angoissé que je me cognai dans tout les meubles, j'endentai le vent du large souffler. Je décidai donc de monter dans ma chambre, hélas l'électricité ne fonctionnait même plus, je devenais accablé moi aussi. Je montai dans la chambre et je vis cet aquarelle, mon regard était attiré par ce magnifique tableau .Je vis mon amante et ses longs cheveux qui flottaient autour de son visage décoloré, des draps l'enveloppaient comme une vague d'écume, elle était couchée sur le dos dans le léger bercement de la barque de son lit, elle était morte. " Merci beaucoup à vous
E-Bahut moîravita Posté(e) le 12 février 2011 E-Bahut Signaler Posté(e) le 12 février 2011 Décris les sentiments du narrateur: appréhension, questionnement, crainte, angoisse, affolement .... et ton travail sera parfait. Il ne faut pas reprendre mes phrases comme "je vis des éléments qui me paraissaient étranges" : c'était juste pour te donner un plan, des idées . Ton texte ressemble trop à une leçon de français, à la "grille " que je t'ai suggérée. Si tu veux des exemples, je te propose de lire "Apparition" de Maupassant, dans "Contes fantastiques", où le narrateur s'approche aussi d'une maison abandonnée : son ami lui a demandé d'aller y chercher des lettres écrites à sa femme décédée. De plus, il faudrait que tu restes dans le champ lexical de l'eau ,là , ton prof sera épaté , enfin moi, je le serais ! A bientôt ?
Aure_lie Posté(e) le 12 février 2011 Auteur Signaler Posté(e) le 12 février 2011 Oki merci beaucoup Par contre j'ai une dernière question. Quel portrait de d'Axelsen se dégage du texte de cette nouvelle ? Comment se construit-il. Vous vous interrogerez en particulier, sur la manière dont le personnage et perçu par son interlocuteur. Le portrait est que il a du talent à jeun et de la sentimentalité le reste du temps, jeune peintre norvégien, plein de talent. Il s'adresse au premier narrateur. Il parle de la noyade de son ami. On a l'impression qu'il est soûl. On dirait qu'il fait du cinéma Comment plus développer vu qu'elle est sur 5 pts ? Merci beaucoup
E-Bahut moîravita Posté(e) le 12 février 2011 E-Bahut Signaler Posté(e) le 12 février 2011 Alexsen est quelqu'un dont la sensibilité est exacerbée (comme chez les artistes) il est au bord des larmes, il ne se contrôle pas , il se laisse mener par ses sentiments, non par sa raison, c'est pourquoi il ne se pose pas de question sur l'événement fantastique qui a eu lieu. Tu pourrais exploiter cette crédulité dans ton texte . L'interlocuteur, c'est-à-dire le narrateur ne semble pas le croire et s moque intérieurement de ses larmes :"il pleurait comme un veau marin".
Aure_lie Posté(e) le 12 février 2011 Auteur Signaler Posté(e) le 12 février 2011 Merci 1000x pour votre aide je ne sais pas ce que j'aurai fais sans vous ! Bonne continuation
E-Bahut moîravita Posté(e) le 13 février 2011 E-Bahut Signaler Posté(e) le 13 février 2011 Toi aussi, bonne continuation ! Je crois qu'au fil du temps, tu vas te faire confiance . On est là pour t'aider.
barbaradevoir Posté(e) le 18 septembre 2011 Signaler Posté(e) le 18 septembre 2011 Bonjour j'aurais besoin d'aide pour un sujet de registre comique que je pourrais écrire pour un devoir maison pour samedi , repondez moi le plus vite possible je n'est vraiment pas d'idée
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