Matixus Posté(e) le 6 octobre 2004 Signaler Share Posté(e) le 6 octobre 2004 slt tt le monde g un ti pb!!!!!je doi rendre devoir 2min ,je vien de lire l'Ingenu de Voltaire.je doit dire quelle thèse defent Voltaire???mé g pa compri alor si quelqu'un a une ptite idée faite moi signe svp! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut clems Posté(e) le 6 octobre 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 6 octobre 2004 l'ingénu... pa facile, c sûr. pour le coup, je crois que tu t'y prends un peu tard... ce livre (ou conte philo) a été écrit en réaction à Rousseau et au mythe du petit sauvage. un étranger à la civilisation occidentale, par ex, peut-il s'adapter, doit-il s'adapter? quelques sites... http://www.chez.com/bacfrancais/ingenu.html http://www.ilch.uminho.pt/sdef/5.b7.htm aussi, tu ne peux pas laisser de côté la diatribe cléricale, les conflits jésuites-jansénistes... courage! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 8 octobre 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 8 octobre 2004 une autre reponse L’Ingénu est un cousin de Candide. Ingénu veut dire aussi naïf. De plus comme Candide il est mis en mouvement par des amours malheureuses. L'histoire du Huron se passe sous le règne de Louis XIV. Ce jeune homme débarque en Basse Bretagne où un prieur et sa sœur le reconnaissent pour leur neveu. Se confiant à son intelligence naturelle que n’ont pas corrompue les préjugés, il va connaître bien des mésaventures au cours desquelles ses étonnements soi-disant naïfs lui feront proférer une série de jugements pleins de sagacité. Voltaire montre comment le bonheur social peut-être entravé par les conventions et l'ingérence de la religion dans la vie intime des individus. Il s'en prend tour à tour aux Jésuites, aux Jansénistes, aux hauts fonctionnaires, aux médecins. Il défend la « simple nature » contre les coutumes imposées par la civilisation et que ne ratifie pas la raison. C’est dans ce roman de 1767 qu’il exposera ses théories sur la « fable des imposteurs » (mythologie, textes religieux, origines mythiques par lesquelles un peuple se légitime), la « fable des enfants » (le conte pour le plaisir) et la « fable des philosophes », « emblème de la vérité ». Dans l'Ingénu, Voltaire exploite le thème du voyageur philosophique comme dans Micromégas ou Candide (autres contes ou romans de Voltaire) et comme dans les lettres persanes de Montesquieu : il s'agit de passer au crible d'un regard neuf (naïf, c'est-à-dire au sens étymologique innocent comme celui qui vient de naître) les préjugés d'une civilisation qui a oublié le sens critique et l'usage de la raison. Cette naïveté est source d'étonnement, elle permet donc une critique malicieuse, voire subversive des usages établis. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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