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1ère Dissert


vanessbens

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Bonjour,

J'ai une dissert' de philo à rendre dans peu de temps et c'est ma toute première...

En fait, je dois simplement faire :

-intro

-plan détaillé

-conclusion

J'ai fais quelque chose, j'ai un peu recherché sur le forum ce qui pouvait m'aider par rapport à ce que je dois, faire, et voilà ce que j'ai pondu...

J'aimerais si possible, avoir des critiques, ce qui va ou ne va pas, ce qui est pas clair, etc.

Merci d'avance !

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Introduction

Il apparait que je me connais mieux qu'un autre car je suis l'incarnation de moi-même, je sais ce que je suis capable de faire ou de ne pas faire.

Or, le problème est que je peux me mentir, ne pas être objectif et par conséquent ne plus savoir ce que je suis, ce que je vaux; pour finir par apprendre de moi par les autres.

Mais est-ce que je peux mieux expliquer ce que je suis qu'un autre ? Qu'en est-il de la qualité de la connaissance que je peux avoir ? Suis-je le mieux placé pour me connaître ? signifie que l'on précise la valeur du savoir.

I/ Qu'est-ce que "se connaître" ?

Je peux à priori, naturellement savoir qui je suis grâce à ce qui me constitue : mes qualités et défauts, le bilan positif et négatif de ce que je suis. Il m'est également possible de dire que je sais qui je suis en m'appuyant sur mon apparence, mon identité, mes origines, ma profession...A partir de là, nous pouvons affirmer que se connaître, c'est s'observer.

Mais qu'est-ce que je peux savoir et qu'est-ce que je sais de moi réellement ? Puis-je expliquer ce que je suis ? Se connaître est-il simplement une observation de soi ? N'est-il pas un apprentissage ?

Nous avons généralement une sensation de connaissance suprême quand le sujet est nous-mêmes, et nous la mettons rarement en doute. Il est pourtant légitime de dire que nous nous connaissons mieux que quiconque, du fait que nous sommes conscients de ce que nous sommes; même s'il est difficile de se connaître.

Je peux expliquer qui je suis à un instant donné mais il est plus délicat de le faire en analysant l'ensemble des actions effectuées sur une durée. Se connaître implique certains paramètres à respecter, comme le temps. Il me faut prendre en compte le fait que j'évolue dans le temps, que j'ai un avenir et que je peux suivant mes actes le changer du tout au tout. Le temps qui passe mène à des évolutions dans mes pensées, dans mon caractère, et dans le monde qui m'entoure. Je peux choisir aujourd'hui de ne plus être entourée d'intellectuels mais de conducteurs passionnés de tunning, ce qui peut m'influencer consciemment ou non; comme le dit le proverbe : "dis-moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu es". Avec le temps je ne me connais plus comme je croyais me connaître. Ainsi, je peux ne pas me reconnaître par de vieux propos, et me dire "ah bon ?! J'ai dis ça ?!", de cette manière-là je m'étonne de moi-même, et je me vois de l'extérieur, comme si ce n'était plus moi du fait je ne me reconnais pas à travers ces paroles. Avec le temps je ne me connais plus comme je croyais me connaître. En prenant compte du fait que se connaître c'est connaître celui que l'on est, celui que l'on est devenu, je ne peux donc me connaître à la perfection, car je suis amenée à évoluer.

C'est donc bel et bien l'acception de mon passé qui peut m'amener à comprendre mon comportement d'aujourd'hui. Mon expérience, m'explique ce que je suis aujourd'hui, de la même façon que si je n'ai pas vécu ce que Paul a vécu, je ne peux pas comprendre son état d'esprit actuel. La connaissance du "moi" est donc une construction à faire à travers le temps, une prise de conscience de ce que l'on a été et de ce que l'on est.

Transition

Or, je peux ne pas vouloir regarder la vérité en face et ne pas accepter la connaissance de ma personnalité toute entière en tant que telle.

II/ Les autres peuvent-ils avoir accès à notre connaissance ? nous connaitre mieux que nous ?

Je peux me demander dans un premier temps si je me connais vraiment moi-même. Je sais que depuis ma naissance, j'ai été dirigé par un certain nombre de règles ainsi que par des précepteurs, puis-je alors dire que les autres ont fait de moi ce qu'ils voulaient voir en moi ? Me connaissent-ils mieux que moi-même du fait qu'ils sont à l'origine de ce que suis ?

Cette conclusion serait peut-être hâtive...parce qu'il y a bien une chose que l'on ne peut m'enlever : mes pensées; je suis la seule à les connaitre et je peux en jouer à ma guise. Je peux "trier" ce que je veux montrer de moi-même. Ils ne peuvent alors savoir ce que je ressens au plus profond de moi-même et donc ne peuvent pas comprendre mon "moi" intérieur. Il n'y a donc personne qui mieux que moi puisse écrire mon autobiographie. Qui peut dire qu'il ressent ce que je ressens dans ma vie ? Ma vie est unique et personne ne peut connaître exactement ce qui la dessine.

Néanmoins, il y a des parties de moi, des choses en moi que je refuse. L'inconscient peut donc me faire agir de manière involontaire et m'amener à m'évader dans ce que je ne suis pas habituellement, ce que je n'ai pas l'habitude de montrer de moi, comme dans mes rêves. C'est alors en ce sens, moi qui me connais le mien.

Mais dans la question proposé, "suis-je" expose la possibilité qu'il y aille plusieurs personnes qui puissent me connaître aussi bien voire mieux que moi.

Les autres peuvent comprendre ce que je suis en me voyant, à ce que je laisse entrevoir de moi.

Mais les autres peuvent aussi me mettre face à l'inconnu et éveiller en moi des défauts ou qualités qui m'étaient méconnus. Ils peuvent alors trouver en moi ce que je n'étais pas apte à voir car la distance leur confère une objectivité essentielle à la connaissance.

Transition

Il existe cependant une qualité de connaissance. Tout dépend du degré et de la façon dont je me connais et l'autre me connait.

III/ Quel est le meilleur point de vue ?

On peut donc dire que dans certains cas, un autre peut me connaître aussi bien que moi du fait qu'il ait un regard extérieur de ce que je suis car il y a tout de même un souci d'objectivité ds notre description de nous-même. Le tableau peut être noircit ou éclarcit injustement.

Il y a difference entre "penser être" et "être". On peut montrer aux autres ce que l'on désire être mais que l'on n'est pas, et finir par se faire croire à soi-même que l'on est comme celà en ne se connaissant donc plus réellement.

Il est alors nécessaire de prendre une distance face à ce que nous sommes pour étudier toutes les données possibiles et imaginables dont on peut tenire compte.

L'autre est exterieur à nous-même et possède alors directement cette distance à nous; il a donc une objectivité naturelle par rapport à ce que l'on est.

Cependant, l'autre peut avoir des préjugés sur nous, et nous connaitre de manière faussée.

Conclusion

Il apparait que je connais mon identité, que je sais ce que je suis étant donné que le sujet est "moi-même", je suis la mieux placé pour en parler. Celà dit, les autres peuvent me montrer ce que je n'ai pas l'habitude d'apercevoir de moi, éveiller en moi quelque chose de nouveau dans cette connaissance et donc d'acquérir une certaine connaissance de moi qui ne m'est pas familière.

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  • E-Bahut

Il apparait que, tournure passive. Je trouve cela dure comme facon d'entrer dans un texte...

just un avis personel.

ma reaction a ton texte sur le sujet Suis-je le mieux placée pour me connaître

Moi j'aurais commence par examiner Ce que je connais de facon evidente

et que je suis seule a connaitre

1. memoire du passe

2. pensees

etc

les limites -fausses memoires - oublie de certains episodes... tout ce que tu as etudie l'an dernier sur le biographique.

Ensuite j'aurais pose le probleme. Pourquoi est il difficile de se connaitre. qu'est ce qui rend la tache difficile

1. Si nous connaissons nos pensees, nous ne savons pas pourquoi nous avons cette pensee plutot qu'une autre. processus inconscients

2. Nous avons des theories sur ce que nous devrions penser. Un homme jaloux, imbu de son prestige ne penseras pas a la possibilite qu'il puisse etre inconstant lui-meme. Toute ses pensees vont dans une direction, il ne voit pas le reste

etc

La science semble indiquer que les autres nous connaisse mieux que nous nous connaissons nous-meme. Paradox?

1. la science ne s'interesse qu'a la prediction de ce que nous faisons. Les autres predisent mieux cet aspect la

2. mais les autres sont plus curieux.

puisque nous connaissons nos pensees et nos actions nous pensons que nous pouvons predire le future, donc nous n'essayons pas. la connaissance apparement complete du passe nous empeche de nous poser des questions, d'etre curieux.

donc ma reaction a ton texte. Un foisonement tres riche d'idees, mais je n'en percoit pas bien le flot, comment les idees sont liees entre elles et qu'est ce qu'elles cherchent a demontrer.

Il me serait difficile de prendre chaque paragraphe et de trouver quelle est l'idee principale.

ton idee du fait que tu changes avec le temps, et que ta notion de qui tu es, depend de tes frequentations me semble une idee fondamentale en effet pour une partie qu'est ce que se connaitre. Mais je l'aurais mis tres tot.

vu qu'un etre humain change tout le temps, et ne vis pas en isolation mais en interaction constante avec d'autre, qu'est ce que ce "se" qu'il faut connaitre. est-ce une entitee changeante dont la connaissance doit changer dans le temps, ou bien est-ce une entite qui ne change pas en depit des bouleversements.

si l'on change tout le temps comment le passe peut-il predire le future?

donc implicite il me semble, est un se qui ne change pas.

Et se connaitre voudrait dire predire le future? tu en parles, mais de facon detourner au lieu de mettre cela au centre de ton sujet.

Pour ta deuxieme partie

plutot que ton titre, tu sembles parler de

ce que tu connais et toi seul

les limites de cette connaissance... donc ton titre ne semble pas vraiement aller

donc en gros les meme idees, mais tu les organises differemment.

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Merci pour ta réponse, j'ai essayé d'écouter tes conseils, j'ai repris l'idée de la curiosité et de l'intéraction avec les autres, sinon pour la science, c'était pas très clair pour moi donc j'ai préféré éviter.

Sinon c'est vrai que les paragraphes n'étaient pas bien liés mais bon étant donné que c'est juste un plan détaillé, c'est pas grave...(j'avais mal présenté, désolée).

Donc voilà après avoir re-travailler plusieurs fois dessus...Par contre pour l'intro, il faut faire une page et demi et je ne sais vraiment pas quoi raconter ?!!

Merci beaucoup de ton aide !

Vanessa.

Suis-je le mieux place pour me connaître ?

Introduction :

Je peux penser dans un premier temps que je suis la mieux placée pour me connaître car je sais ce que je suis capable de faire ou de ne pas faire.

Or, le problème est que je peux me mentir, ne pas être objective et par conséquent ne plus savoir ce que je suis, ce que je vaux; pour finir par apprendre de moi par les autres.

Mais est-ce que je peux mieux expliquer ce que je suis qu'un autre ? Qu'en est-il de la qualité de la connaissance que je peux avoir ?

I/ Qu'est-ce que "se connaître" ?

1. ce que je connais de façon évidente

Je peux, à priori, naturellement savoir qui je suis grâce à ce qui me constitue en tant qu'individu : mon apparence, mon identité, mes origines, ma profession, mon rôle social, ma culture... Mais je ne suis pas qu'un individu, il m'est également possible de dire que je suis une personne avec un esprit, une âme, des qualités morales, des défauts dont je peux faire le bilan positif et négatif. sur A partir de là, nous pouvons affirmer que se connaître, c'est s'observer. Mais se connaître est-il simplement une observation de soi ? N'est-il pas un apprentissage ?

2. être persuadé de se connaître

Nous avons généralement une sensation de connaissance suprême quand le sujet est nous-mêmes, et nous la mettons rarement en doute.

Il est pourtant légitime de dire que nous nous connaissons mieux que quiconque, du fait que nous sommes conscients de ce que nous sommes. Cela dit il est difficile d'atteindre la connaissance de soi-même comme l'explique Socrate lorsqu'il dit : "Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'Univers et les Dieux" car pour lui se connaître est une recherche à faire dans le but d'accéder à une règle de sagesse.

3. se connaître et changer avec le temps

Je peux expliquer qui je suis à un instant donné mais il est plus délicat de le faire en analysant l'ensemble des actions effectuées sur une durée. Se connaître implique certains paramètres à respecter, comme le temps.

Il me faut prendre en compte le fait que j'évolue dans le temps, que j'ai un avenir et que je peux suivant mes actes le changer du tout au tout. Avec le temps je ne me connais plus comme je croyais me connaître. Ainsi, je peux ne pas me reconnaître par de vieux propos, et me dire "ah bon ?! J'ai dis ça ?!", de cette manière-là je m'étonne de moi-même, et je me vois de l'extérieur, comme si ce n'était plus moi du fait je ne me reconnais pas à travers ces paroles. Le temps qui passe mène à des évolutions dans mes pensées, dans mon caractère, et dans le monde qui m'entoure.

4. mémoire du passé et acceptation de celui-ci

C'est donc bel et bien l'acception de mon passé qui peut m'amener à comprendre mon comportement d'aujourd'hui. Mon expérience, m'explique ce que je suis aujourd'hui. La connaissance du "moi" est donc une construction à faire à travers le temps, une prise de conscience de ce que l'on a été et de ce que l'on est.

5. ma notion du "moi" dépend de mes fréquentations

Je peux choisir aujourd'hui de ne plus être entourée d'intellectuels mais de conducteurs passionnés de tunning, ce qui peut m'influencer consciemment ou non; comme le dit le proverbe : "dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es". Je peux donc dire que je change tout le temps car je ne vis pas en isolation mais en interaction constante avec d'autres. La question que je peux alors me poser est de savoir qui est ce "moi" que je dois connaître. En prenant compte le fait que se connaître c'est connaître celui que l'on est, celui que l'on est devenu, je ne peux donc me connaître à la perfection, car je suis amenée à évoluer.

Transition

Or, je peux ne pas vouloir regarder la vérité en face et ne pas accepter la connaissance de ma personnalité toute entière en tant que telle.

II/ Les autres peuvent-ils avoir pleinement accès à la connaissance de moi-même ?

1. les autres constituent le fondement de ce que je suis...

Je peux me demander si je me connais vraiment moi-même. Je sais que depuis ma naissance, j'ai été dirigé par un certain nombre de règles ainsi que par des précepteurs donc l'architecture de ce que je suis, l'édifice de ce qui me constitue ne m'est pas propre. Puis-je alors dire que les autres ont fait de moi ce qu'ils voulaient voir en moi, que je suis étranger à moi-même ? Me connaissent-ils mieux que moi-même du fait qu'ils sont à l'origine de ce que suis ?

2. ...mais les autres ne peuvent atteindre mes pensées

S'il y a bien une chose que l'on ne peut m'enlever ce sont mes pensées. Je suis la seule à les connaître et je peux en jouer à ma guise. Je peux "trier" ce que je veux montrer de moi-même. Les autres ne peuvent alors savoir ce que je ressens au plus profond de moi-même et donc ne peuvent pas comprendre mon "moi" intérieur. Il n'y a donc personne qui mieux que moi puisse (par exemple) écrire mon autobiographie.

Il y a d'ailleurs des parties de moi, des choses en moi que je refuse de voir ou de révéler. L'inconscient peut donc me faire agir de manière involontaire et m'amener à m'évader dans ce que je ne suis pas habituellement, ce que je n'ai pas l'habitude de montrer de moi, comme dans mes rêves. C'est alors en ce sens, moi qui me connais le mieux.

3. l'unicité de ce que je suis

Je suis par origine unique de par mon code génétique et personne ne peut prendre ma place. De la même façon que ma vie est unique et personne ne peut connaître exactement ce qui la dessine. Qui peut dire qu'il ressent ce que je ressens dans ma vie ? On peut la deviner par intuition ou encore l'imaginer mais celui qui n'a pas vécu mon histoire ne peut comprendre mon état d'esprit actuel.

4. les fausses mémoires, l'oubli de certains épisodes, malhonnêteté

Les autres peuvent comprendre ce que je suis en me regardant, à ce que je laisse entrevoir de moi. Dans la question proposé, "suis-je" expose la possibilité qu'il y aille plusieurs personnes qui puissent me connaître aussi bien voire mieux que moi mais il est important de préciser que je peux mentir sur mon compte, mentir aux autres; le rapport de confiance, donc de connaissance entre moi et l'autre est alors faussé.

5. l'inconnu

Mais les autres peuvent aussi me mettre face à l'inconnu et éveiller en moi des défauts ou qualités qui m'étaient méconnus. Ils peuvent alors trouver en moi ce que je n'étais pas apte à voir car la distance leur confère une objectivité essentielle à la connaissance.

Transition

Il existe cependant une qualité de connaissance. Tout dépend du degré et de la façon dont je me connais et l'autre me connait.

III/ Quel est le meilleur point de vue ?

1. quand distance rime avec objectivité

On peut dire dans certains cas, qu'un autre peut me connaître aussi bien que moi du fait qu'il ait un regard extérieur de ce que je suis car il y a tout de même un souci d'objectivité dans notre description de nous-même. Le tableau peut être noircit ou éclarcit injustement.

Il est alors nécessaire de prendre une distance face à ce que nous sommes pour étudier toutes les données possibiles et imaginables dont on peut tenir compte. L'autre est exterieur à nous-même et possède alors directement cette distance à nous; il a donc une objectivité naturelle par rapport à ce que l'on est.

2. se mentir à soi-même

Il y a une difference entre "penser être" et "être". On peut montrer aux autres ce que l'on désire être mais que l'on n'est pas, et finir par se faire croire à soi-même que l'on est comme celà en ne se connaissant donc plus réellement. Il se crée donc un engrenage où l'on se perd soi-même, où je perds mon identité.

3. lorsque l'autre ment sur nous par préjugés

Cependant, l'autre peut avoir des préjugés sur nous, et nous connaitre de manière faussée, par jalousie ou incompréhension de ce que nous sommes.

4. entre curiosité et évidence

Cela dit, les autres sont plus curieux que moi sur mon compte.

Comme je connais mes pensées et mes actions, je pense pouvoir prédire mon futur, alors je ne trouve pas nécessaire de m'y atteler, ça constitue pour moi une évidence. Alors, cette connaissance apparemment complète du passé m'empêche de me poser des questions sur moi et d'être curieuse.

Conclusion

Il apparait que je connais mon identité, que je sais ce que je suis étant donné que le sujet est "moi-même", je suis la mieux placé pour en parler. Celà dit, les autres peuvent me montrer ce que je n'ai pas l'habitude d'apercevoir de moi, éveiller en moi quelque chose de nouveau dans cette connaissance et donc acquérir une certaine connaissance de moi qui ne m'est pas familière.

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  • E-Bahut

en y reflechissant, je trouvais que ton idee de temps etait importante:

est-ce que se connaitre est connaitre le passe, auquel cas on a l'avantage sur les autres

ou est ce que se connaitre est connaitre ses actions futures, auquel cas les autres ont l'avantage.

Voici un article qui est interessant je pense. Si nos actions sont le resultat de la situation dans laquelle nous nous trouvons, les autres sont aussi bien placees que toi pour les predire.

People Are Inconsistent You can judge or measure the degree to which someone is shy, conscientious, or dominant, but even minimal experience will reveal that whatever you conclude the truth to be, there will be numerous exceptions. The individual may be shy with strangers but warm, open, and friendly with family members. The individual may be conscientious at work but sloppy and disorganized at home. The individual may be dominant with people of the same sex but deferential to people of the opposite sex, or vice versa. This kind of inconsistency is seen all the time. Casual observation, therefore, is sufficient to confirm that personality traits are not the only factors that control an individual’s behavior; situations are important, as well.

If situations are so important, then what role does personality play? Some people might answer, not much. Perhaps the behavior of individuals is so inconsistent and apt to change according to the given situation that there is no use characterizing them in terms of broad or global personality traits. If correct, this answer would imply not only that the personality assessments that many professional psychologists do are a colossal waste of time, but also that much of the everyday thinking and talking about people is fundamentally wrong. You should consider the possibility, therefore, that traits do not exist, that people change who they are according to the situation they are in, and that everybody is basically the same.

What I am proposing,  is that people differ from each other in the degree to which they have developed a consistent personality for themselves (Baumeister & Tice, 1988; Bem & Allen, 1974; Snyder & Monson, 1975). This might be related to age and life experience—older people and those with greater and broader experience may have more consistent personalities. If I am right about this, then the degree to which you find the idea that personality does not exist to be reasonable might depend on whether you have developed a consistent personality yourself!

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