skamille Posté(e) le 20 avril 2004 Signaler Share Posté(e) le 20 avril 2004 BOnjour à tous ! Alors voilà j'ai un sujet type BAC français à faire pendant les vacances, j'ai trois sujets au choix mais pour l'instant aucun ne me tente vraiment ... alors j'aimerai avoir quelques avis quelques idées pour le commentaire par exemple : "vous commenterez le poème de Victor Hugo de " Alors, Brigand" vers 17 à "pourquoi pas?" vers 37 il s'agit d'un extrait des Comptemplations "reponse à un acte d'accusation" la dissertation : "pensez vous que la poésie doive "parler comme la nature" ou etre essentiellement raffinement, recherche "style figuré" et "jeu de mots" ? Sachant que nous n'avons pas encore étudier aucune oeuvre ni aucun texte poétique ... Merci pour votre aide ! à bientot ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut experiment Posté(e) le 20 avril 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 20 avril 2004 Bonjour Quel sujet t'inspire le plus ? Quel est celui pour lequel tu as trouvé le plus de renseignements ? Si tu choisis le commentaire de texte, poste ton texte ici, nous pourrons mieux t'aider. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
skamille Posté(e) le 22 avril 2004 Auteur Signaler Share Posté(e) le 22 avril 2004 voilà j'ai trouvé le texte sur internet alors si quelqu'un avait une idée de plan où l'avait fait en cours ... Alors, brigand, je vins ; je m'écriai : Pourquoi Ceux-ci toujours devant, ceux-là toujours derrière ? Et sur l'Académie, aïeule et douairière, Cachant sous ses jupons les tropes effarés, Et sur les bataillons d'alexandrins carrés, Je fis souffler un vent révolutionnaire. Je mis un bonnet rouge au vieux dictionnaire. Plus de mot sénateur ! plus de mot roturier ! Je fis une tempête au fond de l'encrier, Et je mêlai, parmi les ombres débordées, Au peuple noir des mots l'essaim blanc des idées ; Et je dis : Pas de mot où l'idée au vol pur Ne puisse se poser, tout humide d'azur ! Discours affreux ! – Syllepse, hypallage, litote, Frémirent ; je montai sur la borne Aristote, Et déclarai les mots égaux, libres, majeurs. Tous les envahisseurs et tous les ravageurs, Tous ces tigres, les Huns, les Scythes et les Daces, N'étaient que des toutous auprès de mes audaces ; Je bondis hors du cercle et brisai le compas. Je nommai le cochon par son nom ; pourquoi pas ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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