fritelle Posté(e) le 27 février 2004 Signaler Share Posté(e) le 27 février 2004 Bonjour a tous, j'aimerai recevoir une aide sur un devoir de français.Ma prof nous demande de faire un exposé sur les lettres persanes de Montesquieux,mais elle ne ns a pas donné d'autres indication,c'est pquoi je suis un peu perdue. -faut-il utiliser toutes les lettres étudiées? -sous quelle forme dois-je le présenter? -faut-il que je fasse allusion a d'autres oeuvres ou auteurs? bref j'ai vraiment besoin que quelqu'un me mette sur la voie,merci par avance. fritelle Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 27 février 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 27 février 2004 Je commencerais par lire ce que l'encyclopedie en ligne ou celle du CDI t'en dis. Ensuite peut-re tu auras une meilleur idee de ce que tu veux en faire. je ne sais pas ce qu'on attend de toi pour un exposer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fritelle Posté(e) le 27 février 2004 Auteur Signaler Share Posté(e) le 27 février 2004 J'ai en effet cherché sur l'encyclopédie ainsi que sur le net mais je ne vois pas encore quelle démarche prendre pr réaliser cet exposé.... je pense le faire sur feuilles simples et j'ai déja rédigé un plan,voilà merci de ton intervention sansid3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 28 février 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 28 février 2004 a mon avis, l'essentiel c'est que tu comprennes pourquoi on vous le fait lire juste quelques idees: on est en droit de reconnaitre dans les etonnements et deboires de rica et d'ubsbek le reflet de ceux que connait a paris le gentilhomme-vigneron. l'auteur lui-meme semble s'etre plu a suggerer cette interpretation, en faisant ecrire par usbek, qui est son double sublime comme Rica est sa version rieuse, cette confession... Je parus à la cour dès ma plus tendre jeunesse..., mon coeur ne s'y corrompit point: ...Mais quand je vis que ma sincérité m'avait fait des ennemis; je m'étais attiré la jalousie des ministres sans avoir la faveur du prince ...je résolus de la quitter. Je feignis un grand attachement pour les sciences; et, à force de feindre, il me vint réellement. Je ne me mêlai plus d'aucunes affaires, et je me retirai dans une maison de campagne. jean lacouture dans son livre sur montesquieu. Peut-etre un point de vu interessant pour ta bio de montestquieu? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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