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Diissertation


jojoe

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Posté(e)

Bonjour,

je dois répondre à cette question: "la poésie est-elle vouée à l'expression des sentiments"

J'ai opté pour un plan énumératif mais je ne suis pas sur de mon plan:

dans un première partie, j'explique que le poéte exprime des sentiments (lettre d'amour, évocation d'un paysage)

puis que la poésie a d'autre fontions poésie engagée

et enfin qu'elle n'a pas de fontion.

Seulement pour la dernière parti je ne trouve aucune illustration, j'hésite donc à la remplacer pour dire qu'elle a pour fontion d'être un jeu sur les mots.

Qu'en pensez vous? et pourriez vous m'aider svp

  • E-Bahut
Posté(e)

et si tu faisais

la poesie est vouee a l'expression des sentiments

Mais la poesie est aussi vouee a l'expression des idees -poesie engagee

et peut-etre une synthese meme lorsqu'elle est engagee, la poesie nous persuade par les sentiments? eluard, desnos

Posté(e)

je vous remercie énormément pour le plan , c sur maintenant ca va aller mieux!

Cependant, pour la première parti il me manque juste un exemple de poème ou l'auteur expprime ses craintes, ses angoisses ou de la peur, j'ai cherché mais je trouve vraiment pas, je desespère :(

C'est assez urgent (meme très très urgent) ms si vous ne pouvez pas me répondre tout de suite je vous remercie tout de meme beaucoup c'est vraiment simpa ce que vous faite! :)

  • E-Bahut
Posté(e)

Un truc que j'ai trouvé sur Encarta : Le Canzoniere de Pétrarque

Pétrarque (1304-1374), poète et humaniste italien, auteur d’une importante œuvre érudite en latin et d’une œuvre poétique en langue vulgaire qui a marqué la Renaissance.
  • E-Bahut
Posté(e)

dans Baudelaire, tu devrais trouver des tas de poemes sur l'angoisse

http://www.chez.com/damienbe/sufleurs.htm#r92

les aveugles

http://www.chez.com/damienbe/sufleurs.htm#r92

les sept vieillards

  • E-Bahut
Posté(e)

L'horloge de Beaudelaire, dans Les Fleurs du mal.

L'angoisse du temps, l'ennemi de Beaudelaire !!!

HORLOGE ! dieu sinistre, effrayant, impassible,

Dont le doigt nous menace et nous dit : "Souviens-toi !

Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi

Se planteront bientôt comme dans une cible ;

Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon

Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse ;

Chaque instant te dévore un morceau du délice

A chaque homme accordé pour tout sa saison.

Trois mille six cents fois par heure, la Seconde

Chuchote : Souviens-toi ! - Rapide, avec sa voix

D'insecte, Maintenant dit : Je suis Autrefois,

Et j'ai pompé ta vie avec ma trompe immonde !

Remember ! Souviens-toi ! prodigue ! Esto memor !

(Mon gosier de métal parle toutes les langues.)

Les minutes, mortel folâtre, son des gangues

Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or !

Souviens-toi que le temps est un joueur avide

Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c'est la loi,

Le jour décroît ; la nuit augmente ; souviens-toi !

Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide.

Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard,

Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge,

Où le Repentir même (oh ! la dernière auberge !),

Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard !"

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