chloé376 Posté(e) le 11 janvier 2004 Signaler Posté(e) le 11 janvier 2004 coucou j'ai une biographie à traduire en allemand et j'ai des problèmes pour traduire la dernière page!pourriez- vous m'aider?(avant mercredi le 13/01/03) merci beaucoup d'avance. voici le texte à traduire: Ardent pacifiste, il fut profondément marqué, ulcéré par cette guerre;non seulement, sur le coup; elle lui inspira de violentes protestations("Jérémie", 1916), et même plus tard, comme dans "Ivresse de la Métamorphose", qui ne fut écrit que bien après, vers 1930(pour la première partie) et 1938(pour la seconde, qui elle surtout incriminait la guerre), mais c'est cette guerre qui fut à l'origine de ce souci constant de n'être pas dupe des valeurs morales factices d'une société en décadence, qu'on retrouvera dans toutes ses nouvelles.Il explique d'ailleurs tout cela avec ferveur dans "Le Monde d'Hier".Zweig fut toute sa vie un personnage socialement assez bizarre, souvent tenté par le nihilism.Vers 1915, il se maria avec Friederike von Winternitz.IL quitta Vienne en 1919 et vint s'installer à Salzbourg, d'où il écrivit beaucoup de ses nouvelles les plus célèbres, telle "Vingt- quatre heures de la vie d'une femme", "Amok", La Confusion des Sentiments", "La Peur",...En moins de dix ans, Zweig, qui naguère n'avaitt considéré le travail "que comme un simple rayon de la vie, comme quelque chose de secondaire", publiait une dizaine de nouvelles, la nouvelle allemande a souvent l'importance d'un de nos romans autant d'essais écrits en une langue puissante sur Dostoievski, Tolstoi, Nietzche, Freud dont il était l'intime Stendhal, etc...qui témoignent de la plus vaste des cultures.Puis suivit la série de ses écrits biographiques, où il acquit d"emblée une certaine autorité avec son "Fouché".Mais hélas!Hitler et ses nazis s'étaient emparés du pouvoir en Allemagne, et les violences contre les réfractaires s'y multipliaient.Bientôt l'Autriche, déjà à demi nazifiée, serait envahie.Dès 1933, à Munich é dans d'autres villes, les livres du "juif" Zweig étaient brûlés en autodafé.Zweig voyait avec désespoir revenir les mêmes forces brutales et destructrices que de la première guerre mondiale, sous la forme, pire encore, du nazisme.Je salue tous mes amis.Puissent-ils voir encore l'aurore après la longue nuit!Moi, je suis trop impatient, je pars avant...Le lendemain, Stefan Zweig n'était plus.Pour se soustraire à la vie, il avait ingéré des médicaments, suicide sans brutalité qui répondait parfaitement à sa nature.Sa femme l'avait suivi dans la mort.
Eve2203 Posté(e) le 13 janvier 2004 Signaler Posté(e) le 13 janvier 2004 j'ai le même sujet que toi mais je n'y arrive pas non plus! Biiiizzzz ;-)
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