E-Bahut emma13 Posté(e) le 9 janvier 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 9 janvier 2004 salut tlm ! j'ai une dissertation a rendre pour le jeudi 15 ( janvier biensur). le sujet est: les règles du théatre classique doivent elles etre considérées comme un frein à la création ou comme une garantie de qualité de cette dernière ? J'ai fait mon plan en m'aidant des aides précieuses de sansdid (que je remercie bcp ): 1 frein a la création car: a) le théatre ne peut pas tout représenter car les 3 unités ( lieu, tps et action) sont des limites B) les caractères évoluent dans le temps, ce qui constitue un probleme car la durée de l'action doit tenir en 1 journée 2 garantie de qualité car: a)unité intellectuelle: les 3 unités ( en particulier celle d'action ) créent une situation simple, claire et logique qui favorise la concentration su spectateur et sa compréhension. B) du fait du peu d'importance de lieu et du temps, elle échappe au particulier et cherche à atteindre l'universel ( ce qui est vrai en tt tps et tt lieu) bon maintenant, il me reste à trouver les REFERENCES LITTERAIRES et là, je suis un peu perdue car en seconde, nos connaissances littéraires sont svt maigres ! pour ce qu'est de l'unité intellectuelle et universalité, je pensais me référer à Andromaque, Bérenice ou Phèdre de Racine mais je ne sais pas quelle piece correspond le mieu à ces 2 idees. Pour les limites et les caracteres qui evoluent dans le tps, je n'ai aucune idée de references litteraires donc si vou auriez une idee, ce serait avec plaisir! On peut peut etre se référer à Athalie, Bajazet, Britannicus de Racine ou Suréna, Cinna, Le cid de Corneille mais là non plus je ne sais pas quoi choisir. Donc si vous pourriez m'aiclairer un peu, ça serait super ! Merci d'avance Roxane Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 9 janvier 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 9 janvier 2004 Oui je trouve que Berenice correspond assez bien a l'unite de la piece. Tout est dans l'amour de Berenice, et son acceptation de ne pas pouvoir epouser celui qu'elle aime. La simplicite du recit en fait sa force non? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut emma13 Posté(e) le 10 janvier 2004 Auteur E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 10 janvier 2004 oui, c'est vrai bérénice correspond bien à l'unité intellectuelle. et comme pièce qui cherche à atteindre le vrai en tt tps et tt lieu, tu metterais quoi ? et pour dire les 3 unités sont des limites ? que les caractères évoluent peu dans le temps ? on peut aussi peut etre parler de l'école des femmes, du Tartuffe, le misanthrope amphitryon, les femmes savantes... Mais vu que je n'ai lu que quelque extrait de ces oeuvre, je ne sais vraiment pas quoi choisir ! est ce que tu peux me donner une référence litteraire ou plusieurs si tu en trouve pour chacunes de mes idées ? Merci beaucoup et si tu connais d'autre piece écrite au 17 eme siecle auquelles je n'auraient pas pensées et qui correspond bien à ma dissertation, dit le moi. a+ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 10 janvier 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 10 janvier 2004 Pour trouver des exemples de gens qui ont rejete les limites classiques, va voir les romantiques, ou les modernes, theatre de l'absurde etc. fait une recherche sur google sur les trois unites, tu trouveras des exemples. Il faut que tu apprennes a trouver ce qu'il te faut toi-meme quelques pistes trouves en faisant une recherche sur google +"règle des trois unités" en faisant une recherche toi-meme, tu trouveras des choses que tu peux louper si tu nous fais faire ce travail par exemple Le langage y occupe une place majeure. Les interdits que fait peser la règle des trois unités obligent à tout dire, puisqu'il est difficile de montrer. D'Aubignac, dans la Pratique du théâtre, établit une équivalence absolue entre action et discours: «Au théâtre, parler c'est agir, [car] les discours ne sont au théâtre que les accessoires de l'action, quoique toute la tragédie, dans la représentation, ne consiste qu'en discours [...] et si [le poète] fait paraître quelques actions sur son théâtre, c'est pour en tirer occasion de faire quelque agréable discours; tout ce qu'il invente, c'est afin de le faire dire; il suppose beaucoup de choses afin qu'elles servent de matière à d'agréables narrations.» Ce rôle du langage, véhicule de toutes les significations, constitue une des difficultés maîtresses auxquelles se heurte l'acteur. Jorge Lavelli, lors de sa mise en scène de Polyeucte, en 1986, déclarait que «la particularité du théâtre français consiste peut-être en ce que tout y est dit. Chaque sentiment, chaque réaction de chaque personnage sont écrits et expliqués. Cette absence de flou, cette extrême précision modifient l'approche, par le metteur en scène et les acteurs, des états d'esprit des personnages, de leur comportement et des situations dans lesquelles ils se trouvent». Le décor, dans une telle dramaturgie, est inutile: dans Phèdre, une seule allusion au palais de Thésée suffit à le rendre présent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut emma13 Posté(e) le 11 janvier 2004 Auteur E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 11 janvier 2004 merci et excuse moi de t'en avoir un peu trop demandé mais je suis vraiment déboredé en ce moment. à la prochaine ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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