damsdj69 Posté(e) le 2 janvier 2004 Signaler Posté(e) le 2 janvier 2004 Voici le sujet! " Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance [...]. Je voudrai surtout que, sous la voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelques vérités fines qui échapent aux vulgaire." Sans vous limitez aux genres du conte, discuter cette opinion de voltaire a l'aide d'exemples precis!
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 2 janvier 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 2 janvier 2004 dabord tu dois expliquer ta citation: Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance [...]
damsdj69 Posté(e) le 2 janvier 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 2 janvier 2004 je doit donner des exemples precis lesquels? Désolé mais je suis vraiment nul en francais
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 2 janvier 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 2 janvier 2004 trouver des exemples precis montre que tu sais de quoi tu parles. et cela permet au lecteur de mieux suivre ta pensee. Par exemple pour la vraisemblance. Est ce que ce texte te semble vraisemblable. Est-ce un portrait vraisemblable, realiste de la guerre. Est-ce semblable aux recits de la guerre de 14 ou de d'autres guerres dont tu as pu entendre parler plus recemment. Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d'hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Enfin, tandis que les deux rois faisaient chanter des Te Deum chacun dans son camp, il prit le parti d'aller raisonner ailleurs des effets et des causes. Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants, et gagna d'abord un village voisin; il était en cendres: c'était un village arabe que les Bulgares avaient brûlé, selon les lois du droit public. Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes; là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros rendaient les derniers soupirs; d'autres, à demi brûlées, criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues sur la terre à côté de bras et de jambes coupés.
damsdj69 Posté(e) le 2 janvier 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 2 janvier 2004 ta pris exemple sur quel texte! moi je doit seulement discuter sur cette opinion de voltaire. Le prof nous as seulement donner cette opinion et nous devons en daire une disserte avec des exemples! Qu'en pensez vous?
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 2 janvier 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 2 janvier 2004 moi je doit seulement discuter cette opinion de voltaire
damsdj69 Posté(e) le 2 janvier 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 2 janvier 2004 Merci de tes conseils meme si j'ai pas trop compris! je vais me debrouiller seul! a+
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