pipin Posté(e) le 31 décembre 2003 Signaler Posté(e) le 31 décembre 2003 bonjours , je suis tombée par hazard sur ce site en esseyant de trouver des info sur internet pour ma dissert et je me suis di "pk pa"!"on pourrai peu etre m'aider ici"!!! bref voilà donc j'ai une dissertation pour la rentrée et je suis completement largué j'ai deja commencé mon plan mais je me suis rendu compte que j'etais hors sujet! "a la lumiere de votre lecture des quatres textes proposés ,vous direz comment le choix de la deliberation dans les textes litteraires illustre se propos de Camus :"il n'y a pas de vie sans dialogue"(extrais d'une conference de 1977) vous pourrez ,en autres elements ,vous appuyer sur le role joué par les conditions de production et de reception des oeuvres et le lien qu'elles supposent entre auteur et lecteur." bon c'est le sujet ,mais le probleme c'est que je ne peux pas vous ecrire les texte ,alors voici se ke g trouvé dessus: 1 cyrano de bergerac : "histoire comique des etats et empires du soleil"(1662) lextrait semble etre au discourt direct,le narrateur cherche a persuader une assemblée "messieurs" et les lecteurs !il prend par a son discour en disant "nous" et en utilisant les Q rhétoriques! 2 alain rene lesage "gil blas de santillane (1715 1735)chap 4 c'est un discour narratif ac des paroles rapportées o discour direct 3 alfred de musset "lorenzaccio (1834) c'est un monologue lyrique (utilisation exclamation ,Q rhetorique) 4 paul valéry "poésie,chanson a part" (1926) ce poeme original est constitué d'une serie de Q et reponses telles que "que fais tu?de tout que vaux tu?ne sais, presage,essais, ........" voilà c'est tout ce que je peu donner comme indic !je crois que ce n'est pas suffisant mais peu etre pourrez vous m'aider ,mm un peu !car j'ai surtout du mal avec le sujet "le choix de la deliberation ds les textes litteraires qui illustre "il ny a pas de vie ss dialogue" je ne comprend pas bien! bref merci d'avance pipin
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 31 décembre 2003 E-Bahut Signaler Posté(e) le 31 décembre 2003 le choix de la deliberation dans les textes litteraires
pipin Posté(e) le 31 décembre 2003 Auteur Signaler Posté(e) le 31 décembre 2003 pffffffffff j'ai un peu de mal a comprendre votre raisonnement !mais bon je suis d'accord que le peu d'information que je vous expose ne vous permet pas de prendre parfaite connaissance du sujet je suis t'ou a fait d'accord pour y reflechir peu etre pourrions nous trouvez une solution
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 31 décembre 2003 E-Bahut Signaler Posté(e) le 31 décembre 2003 la deliberation dans ton texte correspond t il a une realite. Y a til un vrai choix.
pipin Posté(e) le 1 janvier 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 1 janvier 2004 oui je comprend deja mieux!merci car les propos de Sartre m'etais un peu obscure ! alors tte la dissertation se baserai sur la deliberation qui n'est qu'une acceptation de l'action qui a ete faite pour mieu faire comprendre le resultat au lecteur...? je vais me renseigner sur les autre textes car je n'ai que les extrait mais il serai judicieux que je trouve l'integral de ceux ci ! j'avais aussi penser a la pyramide des besoins ou pyramide de Maslow car le dialogue est un besoin secondaire qui rentre ds le 3eme besoin d'appartenance et le 4eme de recherche de statut sociall et ainsi ss le dialogue on ne peu acceder au besoin tersiaire qui est le dernier,celui de laccomplissement ,de l'epanouissement personnel.ainsi celà illustre le propos de Cmus "il n'y a pas de vie sans dialogue "mais je ne trouve pas par contre que ca se ramene au textes litteraires alors est ce bon de le mettre? c'est assez brouillon voici ce ke g trouvé sur google: www.levity.com/alchemy/cyrano.html( cyrano de bergerac texte un) www.scd.univ-paris3.fr/Bibliogr/Lesage/GilBlas.htm(texte 2) french-education.com/lotus/frpoem09.htm(texte 3) je ne vous fait pas parvenir le 3eme texte de musset car vous m'avez lair deja bien renseigné...
pipin Posté(e) le 1 janvier 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 1 janvier 2004 « Je pense, messieurs, qu'on n'a jamais révoqué en doute que toutes les créatures sont produites par notre commune mère, pour vivre en société. Or, si je prouve que l'homme semble n'être né que pour la rompre, ne prouverai-je pas qu'allant contre la fin de sa création, il mérite que la nature se repente de son ouvrage? « La première et la plus fondamentale loi pour la manutention d'une république, c'est l'égalité; mais l'homme ne la saurait endurer éternellement: il se rue sur nous pour nous manger; il se fait accroire que nous n'avons été faits que pour lui; il prend, pour argument de sa supériorité prétendue, la barbarie avec laquelle il nous massacre, et le peu de résistance qu'il trouve à forcer notre faiblesse, et ne veut pas cependant avouer à ses maîtres, les aigles, les condors, et les griffons, par qui les plus robustes d'entre eux sont surmontés. « Mais pourquoi cette grandeur et disposition de membres marquerait- elle diversité d'espèce, puisque entre eux-mêmes il se rencontre des nains et des géants? « Encore est-ce un droit imaginaire que cet empire dont ils se flattent; ils sont au contraire si enclins à la servitude, que de peur de manquer à servir, ils se vendent les uns aux autres leur liberté. C'est ainsi que les jeunes sont esclaves des vieux, les pauvres des riches, les paysans des gentilshommes, les princes des monarques, et les monarques mêmes des lois qu'ils ont établies. Mais avec tout cela ces pauvres serfs ont si peur de manquer de maîtres, que comme s'ils appréhendaient que la liberté ne leur vînt de quelque endroit non attendu, ils se forgent des dieux de toutes parts, dans l'eau, dans l'air, dans le feu, sous la terre; ils en feront plutôt de bois, qu'ils n'en aient, et je crois même qu'ils se chatouillent des fausses espérances de l'immortalité, moins par l'horreur dont le non-être les effraye, que par la crainte qu'ils ont de n'avoir pas qui leur commande après la mort. Voilà le bel effet de cette fantastique monarchie et de cet empire si naturel de l'homme sur les animaux et sur nous-mêmes, car son insolence a été jusque-là. « Cependant en conséquence de cette principauté ridicule, il s'attribue tout joliment sur nous le droit de vie et de mort; il nous dresse des embuscades, il nous enchaîne, il nous jette en prison, il nous égorge, il nous mange, et, de la puissance de tuer ceux qui sont demeurés libres il fait un prix à la noblesse. Il pense que le soleil s'est allumé pour l'éclairer à nous faire la guerre; que nature nous a permis d'étendre nos promenades dans le ciel afin seulement que de notre vol il puisse tirer de malheureux ou favorables auspices et quand Dieu mit des entrailles dedans notre corps, qu'il n'eut intention que de faire un grand livre où l'homme pût apprendre la science des choses futures. « Hé bien, ne voilà pas un orgueil tout à fait insupportable? Celui qui l'a conçu pouvait-il mériter un moindre châtiment que de naître homme? Ce n'est pas toutefois sur quoi je vous presse de condamner celui-ci. La pauvre bête n'ayant pas comme nous l'usage de raison, j'excuse ses erreurs quant à celles que produit son défaut d'entendement; mais pour celles qui ne sont filles que de la volonté, j'en demande justice : par exemple, de ce qu'il nous tue, sans être attaqué par nous; de ce qu'il nous mange, pouvant repaître sa faim de nourriture plus convenable, et ce que j'estime beaucoup plus lâche, de ce qu'il débauche le bon naturel de quelques-uns des nôtres, comme des laniers, des faucons et des vautours, pour les instruire au massacre des leurs, à faire gorge chaude de leur semblable, ou nous livrer entre ses mains. « Cette seule considération est si pressante, que je demande à la cour qu'il soit exterminé de la mort triste. » voici l'xtrait dont je m'appuis pour le texte 1
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 1 janvier 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 1 janvier 2004 Les idees de sartre n'ont peut-etre rien a voir avec ton sujet. Reflechir au sujet ne veux pas dire qu'on trouve les bonnes pistes tout de suite. Et lorsque j'offre de l'aide je n'ai pas forcement la reponse! Et ici il faut trouver des idees en support de ton sujet. Il te faut illustrer, et non pas discuter. le choix de la deliberation dans les textes litteraires
pipin Posté(e) le 2 janvier 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 2 janvier 2004 merci beaucoup !!!en fait ca m'aide bien !hier j'ai enfin trouvé un plan et aujourd'hui je commence la redaction au brouillon j'insère tte ses bonnes idées dans mes parties et ca a l'air de bien s'enbriquer ! bref je vais m'y remettre tout de suite encore merci
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.