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Dissertation


tutine24

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  • E-Bahut

soumis a quoi?

Schopenhauer, nous servons la volonte de la vie, volonte aveugle, inconsciente...

Schopenhauer, qui s'est affranchi du principe de raison, l'a découverte au-dedans de lui-même, et c'est la volonté. Et il entend par là la volonté intuitivement sentie en nous, force pure, sans individualité. Toute action d'un corps n'est qu'une objectivation de cette volonté universelle. Le monde lui-même ne se compose que des manifestations de cette volonté inconsciente et aveugle, s'élevant par degrés de la matière inorganique à la raison humaine, en passant par l'irritabilité des plantes et la sensibilité des animaux, puisque la vie est une lutte pour l'existence où l'on est sûr d'être vaincu, c'est-à-dire de mourir. L'intelligence n'est qu'un agent de la volonté chargé de pourvoir à la vie de l'individu.

http://fr.encyclopedia.yahoo.com/articles/ni/ni_887_p0.html

Freud, soumis aux desirs inconscients?

Le concept freudien d'une force motrice, de nature sexuelle et présente dès l'enfance, a été et reste à l'origine des plus grandes résistances à la psychanalyse.

Il montre avec encore plus de précision dans Malaise dans la civilisation (1930) que la religion véhicule des besoins archaïques inconscients. La société et la culture ont pour fonction la répression des pulsions et portent en elles un potentiel de malaise et de conflits entre les besoins de l'homme et les contraintes de la vie collective; ce malaise est intériorisé dans le psychisme lui-même entre les pulsions de vie (Éros) et les pulsions de destruction (Thanatos).

Freud a ainsi apporté une nouvelle vision de l'homme et des lois qui régissent sa pensée et son rapport au monde. Il rejoint, comme il l'avait lui-même formulé, Darwin et Copernic, c'est-à-dire ceux qui passent pour avoir humilié l'homme en lui indiquant la modestie de sa place dans l'Univers – blessure narcissique qui entraîne de multiples résistances.

http://fr.encyclopedia.yahoo.com/articles/sy/sy_1046_p1.html

Nietsche, volonte de puissance...

Tout ce qui existe est, en son fond, volonté de puissance, laquelle est l'essence du monde, de la vie, de l'être, le «fait le plus élémentaire». Loin de souscrire à l'affirmation de Schopenhauer qu'il existe un vouloir universel constituant l'en-soi des choses, Nietzsche réaffirme qu'il n'y a pas de substantialité de la volonté, ni derrière les phénomènes ni même derrière le moi. La volonté, comme la conscience et la pensée, est l'écho lointain d'un combat déjà disputé en profondeur, au niveau nocturne des pulsions. Vouloir, c'est sentir le triomphe d'une force qui s'est frayé un chemin à notre insu, et l'illusion suprême consiste à prendre ce sentiment pour une causalité libre.

Dans sa signification la plus large, la volonté de puissance régit le monde organique (pulsions, instincts, besoins), le monde psychologique et moral (désirs, motivations, idéaux), et même le monde inorganique, dans la mesure où «la vie n'est qu'un cas particulier de la volonté de puissance».

http://fr.encyclopedia.yahoo.com/articles/....html#ni_831.68

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  • E-Bahut

alors de quoi vas tu parler? qu'est ce que tu as trouve?

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