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Dissertation : Le Conte Philosophique


vanessbens

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Bonjour,

Pouvez-vous m'aider à mettre en place ma dissertation, svp ?

Je dois la rendre très bientôt et c'est la première fois que j'en fais une donc je ne sais pas trop comment m'y prendre...J'ai déjà les étapes préliminaires (plan, explication des termes du sujet...) mais je ne sais pas comment faire pour utiliser tout ça, je n'ai pas vraiment d'idées...

Je poste le sujet ci-dessous.

Merci d'avance.

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Voilà le sujet :

"Tous les genres sont bons, sauf le genre ennuyeux", affirme Voltaire. Dans une lettre (Lettre à Moultou, 5 janvier 1763), il ajoute : "Il faut être très court et un peu salé, sans quoi les ministres et Mme de Pompadour, les commis et les femmes de chambre font des papillotes du livre". Pensez-vous que la littérature d'idées doive se conformer à ces exigences et doive emprunter les voies de la légèreté, voire de la futilité pour vulgariser ses thèses ?

Explication des termes :

Littérature d'idées

Littérature qui décide d'utiliser des moyens d'écriture pour lutter contre l'esclavage, la censure, dénoncer le pouvoir absolu

Vulgariser ses thèses

Ouvrir au + grand nombre

Genre ennuyeux

Différent de plaisant, diverstissant

Court et un peu salé

Ecrits brefs, spirituels, situations scabreuses, épicées

Plan :

A/ EN EFFET, "LES VOIES DE LA LEGERETE, VOIRE DE LA FUTILITE" PERMETTENT A L'ECRIVAIN DE "VULGARISER SES THESES" SANS ENNUYER SON LECTEUR

a. dans le cadre d'une littérature d'idées, souci de rester plaisante, d'éviter d'être indigeste sur un sujet grave

b. volonté de plaire mais aussi de rester accessible, double souci pédagogique, de plaire et d'instruire/de convaincre

c. prendre en compte son public

B/ SI CE CHOIX A DES AVANTAGES, IL A AUSSI SES LIMITES

a. les avantages : une littérature plaisante, qui établit un rapport de complicité entre l'auteur et le lecteur, qui élargit le lectorat par des formes légères...

b. mais l'ironie, la légèreté de ces formes peuvent choquer le lecteur. Il peut aussi ne pas saisir l'humour

c. c'est une arme limitée, qui se prive des outils de l'émotion, de la persuasion. Elle n'invite pas au premier abord à la réflexion

C/ EN FAIT, FUIR L'ENNUI, N'EXCLUT PAS QUE L'ECRIVAIN S'ENGAGE AVEC PASSION ET MEME PERSONNELLEMENT

a. la persuasion est une arme qui, par d'autres voies, implique à son tour, le lecteur dans ses combats

b. quelque soit le thème, quelles que soient les thèses de l'auteur, se limiter à la frivolité exclut de la lecture ceux qui n'y sont pas sensibles

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  • E-Bahut

A/ EN EFFET, "LES VOIES DE LA LEGERETE, VOIRE DE LA FUTILITE" PERMETTENT A L'ECRIVAIN DE "VULGARISER SES THESES" SANS ENNUYER SON LECTEUR

a. L'ecrivain doit eviter d'utiliser un style lourd ou difficile a comprendre qui rebutterait le lecteur

ici prend n'importe quel extrait de philosophe, cela donne quelque chose du genre

En aucun cas, on ne saurait imaginer que la société veuille habiliter le pouvoir législatif à détruire l'objet même que chacun se proposait de sauvegarder quand il s'est joint à elle et que le peuple avait en vue quand il s'est donné des législateurs de son choix ; chaque fois que les législateurs tentent de saisir et de détruire les biens du peuple, ou de le réduire à l'esclavage d'un pouvoir arbitraire, ils entrent en guerre contre lui ;
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  • E-Bahut

mon premier Quote est un exemple d'essai philosophique que je trouve illisible et indigeste. Je l'ai pris au hasard sur le net, je crois que ca sort de Locke, un philosophe englais. Peut-etre ton manuel a des exemples d'essais, et tu peux y trouver une phrase bien abstraite et indigerable?

Le deuxieme sort de l'article guerre dans le dictionnaire philosophique

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Vous pouvez me dire si mon introduction est bien, svp :

Avec des œuvres comme Zadig, Candide et L’Ingénu, Voltaire met en effet sa verve ironique de conteur au service des prises de position philosophiques, religieuses ou politiques qu’il défend. On peut se demander, cependant dans quelle mesure ces œuvres d’un abord facile, visant un large public, peuvent contribuer à véhiculer des idées sérieuses, au même titre qu’un essai, et une critique profonde de la société. Où s'arrête le sérieux pour céder la place au frivole, et réciproquement ?

Merci,

Vanessa.

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  • E-Bahut

Une intro doit avoir une amorce (OK) la presentation de la question (OK) et l'annonce du plan.

est-ce que les dernieres lignes sont l'annonces de ton plan?

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Euh plus ou moins, sachant que le point est :

A/ EN EFFET, "LES VOIES DE LA LEGERETE, VOIRE DE LA FUTILITE" PERMETTENT A L'ECRIVAIN DE "VULGARISER SES THESES" SANS ENNUYER SON LECTEUR

B/ SI CE CHOIX A DES AVANTAGES, IL A AUSSI SES LIMITES

C/ EN FAIT, FUIR L'ENNUI, N'EXCLUT PAS QUE L'ECRIVAIN S'ENGAGE AVEC PASSION ET MEME PERSONNELLEMENT

Je sais pas comment formuler mon intro autrement <_<

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  • E-Bahut

ton sujet

Pensez-vous que la littérature d'idées doive se conformer à ces exigences et doive emprunter les voies de la légèreté, voire de la futilité pour vulgariser ses thèses
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  • E-Bahut
EN FAIT, FUIR L'ENNUI, N'EXCLUT PAS QUE L'ECRIVAIN S'ENGAGE AVEC PASSION ET MEME PERSONNELLEMENT

a. la persuasion est une arme qui, par d'autres voies, implique à son tour, le lecteur dans ses combats

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