Commentaire De Texte De Philo, Il Y A Les Question

[K@i-K@i]

Bonjour a tous...

J'ai un ami qui a ça a faire et il voudrais que je l'aide... mais moi et la philo, donc je poste ici dans l'espoir de voir quelquechose de bien pour lui...

La conscience et le monde sont données du même coup : extérieur par essence à la conscience, le monde est, par essence, relatif a elle. C’est que Husserl voit dans la conscience un fait irréductible qu’aucune image physique ne peut rendre. Sauf peut être l’image rapide et obscure de l’éclatement. Connaître c’est s’éclater « vers », s’arracher a la moite intimité gastrique pour filer, là bas, par delà soi, vers ce qui n’est pas soi, là bas, près de l’arbre et cependant hors de lui, car il m’échappe et me repousse et je ne peux pas plus me perdre en lui qu’il ne peut se diluer en moi – hors de lui, hors de moi. Est – ce que vous ne reconnaissez pas dans cette description vos exigences et vos pressentiments ? vous saviez bien que l’arbre n’était pas vous, que vous ne pouviez pas le faire entrer dans vos estomacs sombres et que le connaissance ne pouvait pas, sans malhonnêteté, se comparer a la possession.

Du même coup, la conscience s’est purifiée, elle est claire comme un grand vent, il n’y plus rien en elle, sauf un mouvement pour se fuir, un glissement hors de soi ; si, par impossible, vous entriez « dans » une conscience, vous seriez saisi par un tourbillon et rejeté au dehors, près de l’arbre en pleine poussière, car la conscience n’est pas de dedans ; elle n’est rien que le dehors d’elle même et c’est cette fuite absolue, ce refus d’être substance qui la constitue comme la conscience. Imaginez a présent une suite liée d’éclatements qui nous arrachent a nous même, qui ne laissent même pas a un « nous même », le loisir de se former derrière eux, mais qui nous jettent au contraire au delà d’eux, dans la poussière sèche du monde, sur la terre rude, parmi les choses ; imaginez que nous sommes ainsi rejetés, délaissé par notre nature même dans un monde indifférents, hostile et rétif ; vous aurez ainsi le sens profond de la découverte que Husserl exprime dans cette fameuse phrase : « toute conscience est conscience de quelque chose ».

Que la conscience essaie de se reprendre , de coïncider enfin avec elle même, tout au chaud, volet clos, elle s’anéantit. Cette nécessité pour la conscience d’exister comme conscience d’autre chose que soi, Husserl la nomme intentionnalité.

1/ Sartre veut montrer que la conscience n’est pas un chose parmi les autres choses. Pourquoi ? quel auteur important critique-t-il à travers cette idée ?

2/ l’auteur cherche a donner à la conscience toute son originalité. Repérez le dans les images et les mots utilisés. Pourquoi utilise-t-il des guillemets ?

3/pourquoi l’image de l’éclatement est-elle la plus adéquate pour faire comprendre ce qu’est la conscience ?

4/expliquez : « la conscience n’a as de « dedans » » ; « elle n’est rien que le dehors d’elle même ».

5/pourquoi la conscience doit elle sans cesse être « conscience d’autre chose que soi » ? quelles sont les conséquences pour la condition humaine ?

[NicolasRenaudin]

Salut,

Moi j'ai aussi un "ami" en manque d'affection en ce momment donc si vous êtes Brune, blonde ou rousse à petite ou forte, mais ferme, poitrine n'hésitez pas à m'envoyer un petit mot !

Lol :P

*Hum... Bon faudrait que je rajoute autre chose pour ne pas risquer de me faire censurer et faire semblant que ce message avait un interêt quelconque en dépis des apparences...*

Ouaip ce que je voulais dire en fait c'est que tu devrais mettre le début de ce que pense ton ami. Comme ça ceux qui s'y connaissent en philo auront le début de sa reflexion et pourront lui donner les voies pour approfondir ses propres axes de réflexions !

Sinon il risque de se retrouver à donner un avis qui sera pas le siens...

*MOIHAHAHAHA Je suis diaboliquement malin !!! *

Voili voiloù,

J'ai senti que la philo avait besoin de ma contribution et j'ai entendu l'appel à l'aide déséspéré de Max (bon j'amplifie peut être un chouia ) et ça n'a fait ni une ni deux !