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Traduction De Textes


hermycrepes

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Voilà j'ai passé le bac donc je souhaite partager avec vous les traductions de texte que j'ai fait pour que cela serve pour d'autres personnes : Vous trouverez la traduction de :

- Como cansa descansar

- Cruzar el estrecho de Gibraltar

- La Babel Hispana

- las tarjetas de cliente

- Mi csa y mi corazon

- Nueva York

- Que escandalo

- SEPARADOS POR EL AGUA

- Toda Cuba En una Guagua

Como Cansa Descansar

Il y a encore quelques Espagnols candides et optimistes qui mettent les vacances à profit pour des plages partent avec leur famille pour un lieu placide et tranquille loin des plages regorgant de monde.

- Qu'est-ce qui passe avec toi!,père. hey, quel mauvais blague est-ce cela ? Il n'y a pas de Dieu ici.

  • Déjà il vous l'avait annoncé : une maisonnette dans une pleine montagne, à vingt kilomètres village le plus proche. À votre droite, une rivière cristalline pour se baigner, à la main gauche, un bois vierge, plein d'arbre et d'oiseaux. Vous pouvez nager, pêcher, faire de alpinisme, courir par 10 le pré et respirer l'air pur. N'est-ce pas ce que vous vouliez ?

  • Hey, cela est trop grand. Mais: qu'est-ce que nous allons faire ici seul tout le jour ? C'est champ - champ, comme dans les films. moi la vérité, c'est qu'ils me donnent une peur, papa.

  • Maridito: pour laver les vêtements ? Que je ai vu aucune machine à laver automatique dans la maison.

  • Ici chacun lave ses vêtements sales dans la rivière et les mets à sécher au soleil et maintenant vous pouvez vous perdre par là et vous fondre avec la nature.

Trois ou quatre jours après la famille est invalide et dans un état de precoma; la dame- qui ne peut pas marcher avec un bas talon de chaussure s'est fait un entorce en allant à la rivière avec sandales de haut talon. Le quinceañera a pris une ortie à la main en pensant que c'était une plante de canabis; le plus grand fils s'est jeté à la rivière sans savoir s'il elle était profonde ou non : le père dit nageur de piscine emporté par le courant, et s'échoue violemment dans des ronces, la grand-mère a voulu donner à manger dans sa main à une oie qui lui a presque gober la mains. Mais ce n'est rien comme les nuits merveilleuses de sommeil.

  • Je porte six mois sans ferme l'oeil. Quand se n'est pas les moustiques, c'est l'une chouette qui se met à côté de ma fenêtre pour me raconté sa vie.

  • Je meurs d'une peur avec tant de silence. J'ai à me gaver de "valiums".

En vue de tout cela, la famille décide de terminer les vacances dans un appartement de Benidorm, où tous recommencent à être heureux en se baignant sur une plage pleine de detritus, des boncs de bière, en mangeant des aliments dans un mauvais état dans une buvette aux prix du Maxim's de Paris, et en dormant placidement bercés par les chants du fraca des motos en fuite libre, la musique pour danser et les ivrognes impénitents.

Cruzar el estrecho de Gibraltar

Le profil obscur de la côte devenait de plus en plus net. José regarda autour de lui. Dans le zodiac se blottissaient vingt-sept personnes, des Marocains pour la plupart, mais il y avait également neuf Subsahariens, et parmi eux, deux femmes. La peur se reflétait sur tous leurs visages. Ils savaient qu'ils seraient nombreux à être attrapés par la Garde Civile et qu'on rapatrierait au moins les Marocains. Plus tard, bien sûr, ils réessaieraient, jusqu'à ce qu'à un moment ou à un autre ils ne parviennent à passer sans être vus.

Pour leur part, on avait fait la leçon aux Subsahariens pour ne pas dire d'où ils étaient. Ainsi on ne pourrait pas les rapatrier. D'après ce que l'on racontait, la Garde Civile avait l'habitude de les mettre en quarantaine un certain temps, et dans la plupart des cas, on leur donnait un avis d'expulsion, mais sans pouvoir le mettre à éxécution. Après, on les laissait en liberté pour qu'ils puissent déambuler dans le pays, même si, bien entendu, ils n'avaient pas la possibilité d'obtenir un travail parce qu'il leur manquait un permis de séjour.

L'autre type d'émigrants qui ne passaient pas par le Maroc c'étaient les Sud-américains, dont il aurait pu faire partie. Généralement, ces émigrants voyageaient en avion, ils entraient comme touristes avec un billet aller-retour, sans en arriver à utiliser ce dernier. Leur situation, bien sûr, était irrégulière et ils pouvaient passer des années avant de réussir à faire régulariser leurs papiers.

Quelqu'un lui avait garanti que les Cubains bénéficiaient d'un régime particulier, en tant que réfugiés politiques, à cause de la dictature communiste de Fidel Castro. Dans la plupart des cas, on leur octroyait un permis de séjour temporaire.

C'était une bonne nouvelle pour lui, si c'était vrai...

On distinguait déjà la plage. C'était une interminable côte de sable.

Il palpa sa poche. Il avait acheté un petit guide de poche du sud de l'Espagne, de sorte qu'il saurait à tout moment où il était.

De toutes façons, il avait mémorisé le parcours, les villages et les villes qu'il trouverait sur son chemin : Tarifa, Algesiras, Marbella, Malaga...

D'un coup sec, le zodiac s'échoua sur le sable. Rapidement, les vint-sept occupants sautèrent à terre et ils escaladèrent les monticules voisins en débandade. Ils devaient se cacher de la Garde Civile. Ils ne tarderaient pas à venir les chercher, au moins, s'ils les avaient localisés sur le radar.

Quand le jour se leva, cela faisait sept heures qu'il marchait et il était épuisé. Il chercha un endroit abrité et il s'allongea pour se reposer. Il ouvrit son sac et il en sortit du pain, du fromage et des dattes. Il but de l'eau d'une bouteille en plastique.

Au bout d'un court instant, le bruit d'un moteur le réveilla. Depuis sa cachette il vit que c'étaient trois jeeps de la Garde Civile. Elles étaient toutes pleines d'émigrants. José en reconnut plusieurs qui avaient voyagé avec lui : des Marocains et d'autres Subsahariens. Il pensa que lui aussi aurait pu être parmi eux. Que leur ferait-on ? Rapatrierait-on les Marocains, comme on le lui avait assuré ? Et les autres ? Les laisserait-on en liberté pour qu'ils cherchent à gagner leur vie ? Et lui ? Que ferait-on de lui s'il se présentait à la Garde Civile, ou s'il sollicitait un permis de travail et de séjour ?

La Babel Hispana

Bienvenus à Paterson. À coté de New York, dans le cœur des États-Unis blancs, protestataires et anglo-saxons, le meilleur référant de la nouvelle Amérique du Nord. Ici, 53 % des habitants sont latins. Des mots, des sons et des odeurs jusqu'à présent inconnus.

Récemment licencié en droit dans son pays, Arturo Mantilla est arrivé à Paterson il y a 30 ans avec cette idée : "Je pars un an, je fais de l'argent et je repars à nouveau". Mais il a passé beaucoup de plus de temps sans que le fait de laver des plats ou le fait de travailler dans fabrique de papier hygiénique lui permettaient d'économiser un centime.

"un jour, avec mon petit cheque de 140 dollars par 40 heures de travail, je me suis dit que je ne pouvais pas suivre comme ça. Il me donnait une envie de revenir en Équateur et commencer de zéro, mais aussi je perdrais les opportunités des États-Unis" il s'éveille. Donc il a commencé à vendre des parfums dans les rues. Il allait à New York, les achetait bon marché et les vendait à Paterson au style ambulant.

S'est ouvert un petite boutique de parfums et de vêtements dans un local loué, et tout de suite, un grand magasin de Jeans sur le trottoir de la 21 Avenue qu'il continue d'occuper.

"Je suis arrivé à avoir 25 employés au magasin, mais il fut six ou sept ans qu'à commencé à ouvrir les Centres Commerciaux dans les environs de Paterson, et mes clients sont partis pour acheter là les Jeans qui en plus les voulaient d'une marque, Calvin Klein, Gap et cela". L'autre se serait désespéré, mais pas Arturo.

Qu'est-ce qu'ils(elles) ne vendaient pas aux centres commerciaux typiquement américains ? des vêtements de Quinceanera, par exemple, que toutes les adolescentes de l'Amérique latine désirent posséder.

Dans Paterson, Arturo ne se sent pas Equatorien, sinon un Espagnol, "et ce que je dis à notre communauté consiste en ce qu'il fait une persévérance dépourvue et je travaille". Avec cela on peut gagner de l'argent ils sonnent ici en dollars, et envoyer certains aux familles qui sont restées là bas.

Pour cela cela, aussi des 21 Avenue, Telecom qu'il(elle) annonce dans sa façade : "Nous Remettons son argent avec rapidité et sûreté, le même jour, à :." Il(elle) l'annonce, un espace(pause) est, en castillan, la langue de la grande majorité des appels placées dans market, main et 21 avenue

Las tarjetas de cliente

Il y a quelques années, les supermarchés ont commencé à t'offrir des cartes de plactiques qui sont établies avec ton nom .À quoi sert-elles ?", demandaient les clients tandis qu'ils remplissaient leurs quadis "Vous pouvez avoir des rabais et des bons avec des cadeaux..." Maintenant n'y a-t-il pas de chaîne qui na pas la siennes et leurs caissière qui avant d'encaisser ne répète pas le chanson "avez-vous la carte de fidéliter ?".Il supposait que c'était une méthode pour fidéliser le client en lui promettant que quand il achètera plus ce sera que mieux que dans d'autre magasin Concurents. Mais j'ai lu à la page Web d'une organisation de consommateurs qui dit que l'affaires est bien plus interessante qu'il n'y paraît.

Les cartes permettent que ton historique d'achats puisse être suivi à la trace dans n'importe quel moment. Grace aux cartes ils peuvent savoir quels produits tu achètes et de quelles marques. Et à quelle heure et quand tu dépense.

Il y a quelques jours dans "seatrtle Post-Intelligencer", Jane Hadley expliqua les usages qu'ils peuvent faire des cartes. Il peut arriver qu'un jour tu tombes dans le parking d'un super parce que le pavé est dans un mauvais état, tu porte plainte, et le magasin montre ton historique d'achat mensuel de whisky comme la preuve de ce que tu es un ivrogne qui n'a pas le droit d'accuser personne de sa chute.Ou que ta compagnie d'assurances médicales se refuse à couvrir tes frais de coeur s'il découvre, grâce à ton historique d'achats, "que tu remplis ton quadis de pommes de terre frites et de desserts gras". Avec ses grossière cartes de clientes , aussitôt qu'ils te sont offrets, arriver à cela, coupe la dans deux et jete la aux ordures.

Mi casa y mi corazon

Ma maison et mon coeur

Si je sors un jour de la vie

ma maison n'aura pas de clefs :

ouverte toujours aux hommes, au soleil et à l'air.

Qui entrent la nuit et le jour.

Et la pluie bleue. L'après-midi.

Le pain rouge de l'aurore.

Le champ : ses mâts verts.

Que l'amitié n'arrête pas

ses pas sur le seuilsde ma porte

L'hirondelle, le vol.

L'amour, ses lèvres. Personne.

La maison et un coeur

jamais fermés : qui passent les oiseaux, les amis,

le soleil et l'air.

Nueva York

- New York? lui avait-il demandé

-Oui New York

-Et pourquoi aussi loin?

-Parce que c'est là-bas me dit Reina

Ce fut son idée. En général, toutes les idées étaient d'elle. Moi aussi j'en avais parfois mais il n'y avait que celles de Reina qui marchaient. Et celle-là était déjà en marche. Quand elle me le dit c'était déjà une décision. Elle me demanda si j'étais d'accord.

Nous partons tous les deux dit-elle.

Je parle aussi des opportunités, des douleurs, de gagner bien sa vie, de vivre mieux, de sortir de ce pauvre merdier.

Ici nous n'avons rien fait, nous ne faisons rien et nous n'allons rien faire. Je parle d'avoir enfin un endroir pour les deux, de prospérer et même d'avoir des enfants.

Elle le dit avec des yeux si brillants et si sincères que je le crus.

[...]

L'idée était de toi - lui dis-je avec rage.

Je sais me dit-elle - vous, vous n'avez jamais d'idée

Je lui rétorquai que sa petite pièce n'avait rien à voir avec l'endroit qu'elle me fit miroiter, celui qu'elle me décrivit lorsque nous imaginions la vie que nous mènerions. C'est elle qui me racontait tout comme si elle était déjà venue avant et avait préparé l'arrivée :

C'est un appartement blanc avec vue sur la rivière et la statue de la liberté, dans un grand immeuble avec une petite terrasse qui a un petit jardin et deux chaises pour s'assoir et regarder la nuit tomber sur New York.

Elle me parla d'un chien que nous aurions et que nous sortirions promener après le travail et qui surveillerait l'appartement pendant notre absence.

Elle me parla d'une cuisine très propre, pleine d'appareils électro-ménager, et d'une salle de bains blanche avec une baignoire blanche et grande dans laquelle nous entrerions toutes les nuits pour faire l'amour.

Mais la vrai chambre était un cachot qu'on nous avait laissé en échange des quelques billets qu'il nous restait, et que nous primes parceque nous n'avions pas d'autres choix. Nous ne trouvames pas Gloria , sa cousine, celle qui nous envoya les photos, celle qui lui"endommagea" le cerveau, celle qui lui dit: vient cousine , vient par ici, il y a de l'argent et du travail pour tous. Elle lui envoya la photo de son appartement, et c'est vrai il était beaucoup mieux, et une autre photo à côté d'une voiture dont je doute aujourd'hui qu'elle fut sienne, et une autre photo avec un chien, dans la neige à côté d'un bonhomme de neige qui avait deux branches en guise de bras , une carotte pour le nez et deux trucs noirs pour les yeux, tous riaient sur la photo, mais étranges et éloignés comme des petits bonshommes au pôle nord.

Que escandalo

Les médias ne savent pas parler de la faim et de la distribution d'aliments dans le monde et des choses les moins amusantes et attrayantes. Cela se sait déjà, tout doit être de nos jours amusant et Distrayant, parce que si non, cela n'attirai pas l'attention chez le lecteur, le spectateur ou un auditeur. Cette chose nous envahit partout et la faim que subit des milliers de personnes dans le monde produit un énorme rejet.

À voir quelle marque de produits alimentaires ou de voitures ou de produits de cosmétique et amaigrissant vont sponsoriser ses informations terribles pleines d'enfants maigres et d'hommes maigres avec le regard perdu dans le désespoir, immobiles dans un paysage presque lunaire. Naturellement, ces fantômes humains ont l'habitude d'être Noirs, jaunes ou un Indien et il console beaucoup cela. Ce qui ne cesse pas d'être logique dans une société dont le plus grand problème collectif est l'excès de cholestérol chez les enfants et les adultes, l'obésité, le bulimia et le diabète. Le deuxième problème de notre société ce sont les excédents agricoles et, le troisième, l'invasion de produits toxiques qui interviennent aux processus de transformation d'aliments, depuis l'usage d'areosole pour des animaux jusqu'aux engrais, conservantes, des édulcorants, des colorants et autres.Sans parler des millions de tonnes de cochonneries non degradable qu'il utilise dans l'industrie de l'alimentation pour leurs paquets.Tout au plus, quand un peu réelle un scandale arrive dans le monde et il nous attrape durant de petits secondes à travers des médias ou a la premières pages des journaux ou a la radio et la télévisés, en provoquant sistématiquement une angoisse ou une anxiété, le remède est facile : aller au frigo pour prendre quelque chose à manger avec délectation. La chose qu'elle produit à son tour angoisse plus parce que les excursions au frigo sont super défendues chez notre dernier modèle de régime pour maigrir.Le hasard fait qu'un reportage sur la faim dans le monde s'illustre avec les jeunes mères qui semblent avoir mille ans, dont les poitrines des enfants cadavériques essaient de tirer une goutte de vie, est suivi par le problème terrible qu'a suscité dans l'Occident le possible de l'usage de la silicone pour remplir les poitrines des femmes occidentales. Couronné tout cela avec l'annonces de produits alimentaires hautement sophistiqués, comme les flocons de céréales qui portent tant des minerais et les vitamines qui devraient avoir besoin d'une ordonnance médicale,

SEPARADOS POR EL AGUA

Après être sorti de La HaBana

J'ai eu peur de la laisser et j'ai pensé

que Pourvu que je revienne te voir

je ne suis pas marin et je me jette à l'eau

je ne suis pas un poisson mais je nage bien

Je m'ai fait un bateau et avec lui je prends le large

En Coupant les vagues je fais des blessures dans la mer

Moyennement ivre je regarde l'eau, elle me rappelle tes yeux qui sont restés sur la plage

Tout le bleu qui m'accompagne

Elles sont tes élèves(pupilles) sont tes larmes

je disparais sur l'horizon

au centre du ciel et de la mer

Divisés par l'eau

Séparés par l'eau

Limités par l'eau

et après tout : toujours l'eau!

Tout le bleu qui m'accompagne

elles sont tes élèves sont tes larmes

Quand je l'ai est vu, j'ai senti que tu me regardais,

que tu me caressais, que tu étais là

Avec tant de sel j'ai perdu la coquille, j'ai pu

Sentir la présence de dieu

De toute manière tu me regardais et j'ai pris racine l'homme va se sauve l'homme qui a a coupé l'eau

Tout le bleu qui m'accompagne elles sont tes élèves

elles sont tes larmes .

Toda Cuba En una Guagua

Les parents avaient fui au nord. Dans ce temps, la révolution et lui étaient des nouveau-nés. Un quart de siècle après, Nelson Valdés a voyagé de Los Angeles à La Habana, pour connaître son pays.

Chaque midi, Nelson prenait l'omnibus, la guagua 68, à la porte de l'hôtel, et partait pour lire des livres sur la Cuba. En lisant José Martí il passait l'après-midi dans la bibliothèque, jusqu'à ce que tomba la nuit.

Ce midi là , la Guagua 68 a donné un coup de frein à l'entré d'un rue. Il y a eu des cris de protestation, par les secousses terribles, jusqu'à ce que les passagers ont vu le motif du coup de frein : une femme très belle, avait croisé la rue.

Excuser moi, les amis - dit le conducteur de la Guagua, et il s'est baissé. Alors tous les passagers ont applaudi et lui ont laisser une chance.

Le conducteur marchait en se balançant, sans situation pénible, et les passagers l'ont vu se diriger vers la femmes qui léchai une glace très séduisante qui était dans le coin, appuyé au mur. Depuis la Guagua 68, les passagers suivaient le fait d'aller et de venir de cette langue qui embrassait la glace tandis que le conducteur parlait et parlait sans réponse, jusqu'à ce qu'elle elle ri, et elle lui a offert un regard. Le conducteur a levé le pouce et tous les passagers lui ont dédiée lui faire une ovation.

Mais quand le conducteur est entré dans le glacier, il a produit certaine inquiétude générale. Et quand au moment ou il englouti une glace à chaque main, la panique s'est répandue dans les masses.

Ils klaxon ère. Quelqu'un a pris appui sur le klaxonne avec âme et vie, et la corne a sonné comme alarme de vols ou de sirène d'incendies; mais le conducteur, un sourd, comme si rien, il(elle) suivait collé(donné) la très délicieuse femmes.

. Sans dire de mot, il s'est assis dans le siège du conducteur et a mis le moteur en marche. La Guagua 68 a continué son parcours, en descendant à ses arrêts habituels, jusqu'à ce que la femme est arrivée à son propre arrêt et elle s'est baissée. Un autre passager a occupé les lieu, durant un bon tronçon, d'arrêt en arrêt, et après les autre, et autre, et ainsi a suivi.

Nelson Valdés fut le dernier passagers a descendre. Il avait oublié la bibliothèque.

Voilà j'espere que ça va servir a des futurs terminals

;)

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