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Commentaire Sur Senghor


kk1cp

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Bonjour, je suis nouveau sur ce forum et je voudrais tout simplement qu'on m'aide a faire le commentaire de ce texte de Senghor, à l'aide de ces 3 axes: - Paysages contrasté

-Figure géminine ambigue et mal etre du poete. (à mettre dans l'ordre)

Merci beaucoup!!

Il a plu toute la nuit .

J'ai pensé à toi sous la fulgurance sulfureuse des ténèbres .

La mer bavait sur les brisants des tuiles vertes , la mer meuglante

Sous la tonnerre et la tornade , nous gémissons sous l'Angle de la mort

D'une longue plainte si douce

Me voici dans le gouffre de palais sonore

Dans les moiteurs , les migraines , comme Dyilôr jadis

Ma mère ceignait mes angoisses de feuilles de manioc , les saignait .

A Joal comme autrefois , il y a cette souffrance à respirer , qui colle visqueuse à la passion

Cette fièvre aux entrailles le soir , à l'heure des primordiales .

Je rêve aux rêves de jeunesse .

Mon ami l'Etranger disait la fraicheur des prés en Septembre

Et les roses de Tinchebray qui s'irisent dans la candeur du matin

Je rêvais d'une jeune fille au cœur odorant .

Et quand elle se fâchait , on délirait , ses yeux jetaient des éclairs

Je souffre , comme toi n'est-ce pas ? comme la nuit d'hivernage .

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Bonjour, je suis nouveau sur ce forum et je voudrais tout simplement qu'on m'aide a faire le commentaire de ce texte de Senghor, à l'aide de ces 3 axes: - Paysages contrasté

-Figure géminine ambigue et mal etre du poete. (à mettre dans l'ordre)

Merci beaucoup!!

Il a plu toute la nuit .

J'ai pensé à toi sous la fulgurance sulfureuse des ténèbres .

La mer bavait sur les brisants des tuiles vertes , la mer meuglante

Sous la tonnerre et la tornade , nous gémissons sous l'Angle de la mort

D'une longue plainte si douce

Me voici dans le gouffre de palais sonore

Dans les moiteurs , les migraines , comme Dyilôr jadis

Ma mère ceignait mes angoisses de feuilles de manioc , les saignait .

A Joal comme autrefois , il y a cette souffrance à respirer , qui colle visqueuse à la passion

Cette fièvre aux entrailles le soir , à l'heure des primordiales .

Je rêve aux rêves de jeunesse .

Mon ami l'Etranger disait la fraicheur des prés en Septembre

Et les roses de Tinchebray qui s'irisent dans la candeur du matin

Je rêvais d'une jeune fille au cœur odorant .

Et quand elle se fâchait , on délirait , ses yeux jetaient des éclairs

Je souffre , comme toi n'est-ce pas ? comme la nuit d'hivernage .

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