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Dissertation De Philosophie


Djeust

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bonjour,

j'ai une dissertation a rendre vendredi;

Citation:faut il s'abstenir de penser pour être heureux?

THESE:Penser au sens de la réflexion peut compromettre le bohneur.

dans une première partie je vais montrer que penser (réflexion) peut peut compromettre le bonheur: penser au futur provoque de l'angoisse de la peur; penser au passé de la nostalgie et des regrets.

ANTITHESE:Penser au sens large c'est a dire tout état de consience est étroitement lié au bohneur.

dans une seconde partie je vais montrer que le bonheur est lié a la pensée, premièrement l'homme est conscient donc il pense c'est a dire que l'homme ne peut pas s'empêcher de penser deuxièmement pour être heureux il faut être conscient qu'on est heureux donc il faut penser car si on ne pense pas, le bonheur que l'on ressent n'est que plaisir non durable équivalent aux plaisirs que ressentent les animaux. Par conséquent ne pas penser revient a animaliser un homme qui réagira selon ses instincts selon ses pulsions et non selon sa conscience et par conséquent non plus selon sa pensée.

SYNTHESE

je ne vois pas ce qu'il faut rédiger dans cette partie...

pouvez vous m'aider a rédiger une introduction?ainsi que m'aider a étoffer mes partie en les enrichissant avec des références philosophiques ainsi que des annecdotes ou bien me donner d'autres arguments...

merci de votre aide.

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  • E-Bahut

Oki, j'ai bien lu ton sujet, ms la j'ai pas le temps de m'y pencher plus... Donc des que je rentre je passerais essayer de t'aider.

Pour ton intro, tu devrais consulter les conseils pour les dissertations, c'est souvent pas mal.

Et puis pour la synthese, tu n'es pas oblige de la faire, deux parties c suffisant en philo. Il suffit de bien faire la conclusion.

Essaie de montrer toutes les idees que tu peux developper ds tes deux parties, je passerais donc plus tard pour voir ce que tu as fait et te donner mon avis.

Bon courage

Julie

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merci beaucoup de m'aider!

voici une ébauche d'introduction:

Le célèbre « cogito ergo sum » de Descartes issu de la mise en doute qui la précédé à permis d'exposer une certitude « la conscience de soi ». Avoir conscience de soi c'est avoir conscience de son mal-être et par conséquent avoir conscience de son bonheur. Ainsi il paraît évident que l'homme ne peut s'empêcher de penser au sens large c'est a dire être conscient selon Descartes, pour être heureux. Cependant penser de manière réfléche au sens strict selon Hegel peut mettre un frein a l'obtention du bonheur. on peut alors s'interroger sur le sens que l'on attache au bonheur : est-ce un simple plaisir éphémère ou un plaisir durable ? Ainsi on vient à s'interroger sur la relation entre la pensée et le bonheur ; la pensée empêche-t-elle le bonheur ? Pour cela nous verrons dans une première partie en quoi la pensée au sens strict met un frein à la quête du bonheur, puis dans une deuxième partie nous nous interrogerons sur le lien entre la pensée et le bonheur, enfin nous verrons dans une troisième partie…..

je trouves que mon introduction est désordonée, je ne vais pas a l'essentiel et j'ai peur d'avoir trop dévelppé mes arguments...

pouvez vous me corriger merci encore.

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j'ai également un problème au niveau de mon plan:

je trouves que ma première partie est un peut courte par rapport a la seconde(pas assez d'arguments)...est ce une erreur de plan?

je rappelle mon plan:

1)En quoi la pensé au sens strict met un frein à la quête du bonheur.

penser au passé = nostalgie regrets

penser au futur = peur angoisse

2)le lien entre la pensée et le bonheur: pas de bonheur sans pensée.

il n'y a de véritable bonheur que pour une conscience donc que pour les hommes (Polin)

celui qui ne penses pas ne ressent que le plaisir(animaux enfants)

on parle de bonheur enfantin insouciant=bonheur des animaux=plaisir(parler des cyrénaïques)

l'animal, l'enfant même ne sont pas a proprement parler "heureux" puisqu'ils ignorent leur accord avec le monde et sont incapables de réfléchir.

quand l'homme ne penses pas il est semblable a une bête qui agit selon ses instincts.

merci encore

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  • E-Bahut

Salut

Elle est un peu complexe et fais p-e trop recherche ton introduction. Le but de l'intro est d'amener le sujet, de l'expliquer, definir les termes du sujet.

Ensuite, je souhaitais tout de meme revenir sur un point important que tu mentionnes. Tu dis que les enfants ne ressentent pas de reel bonheur. Or, au contraire, ils sont tellement innocents, ils ne pensent pas aux moins ou aux plus, aux problemes que telle ou telle chose pourrait engendrer par la suite. Les enfants vivent justement p-e encore plus intensement que nous le bonheur et le plaisir, car ils ne pensent pas forcement aux consequences. C'est donc un bonheur immediat, instantane que rien ne vient gacher. Souvent, a force de penser, nous en tant qu'adulte et personne reflechie, on se gache notre propre plaisir, ou le bonheur que l'on aurait pu tirer d'une chose en pensant.

Je ne sais pas si tu arrives a comprendre ce que j'essaie de te dire. Parfois, les personnes ignorantes sont plus heureuses dans leur ignorance que nous qui pensons, savons penser et parfois meme pensons trop.

Ah tiens! Je viens de trouver ton sujet dans un de mes annabacs, enfin, un sujet qui lui ressemble bcp. Donc je vais te mettre ici ce qu'ils en disent, et j'espere que ca pourra t'aider.

Faut-il s'abstenir de penser pour être heureux?

Reformulation: S'abstenir de penser afin d'etre heureux c'est presupposer que, n'etant pas heureux, il faut s'empecher de s'en rendre compte. Notre condition est-elle si miserable qu'il faille s'en tenir eloigne ?

Problematique : Soit je tends a me nier comme esprit et je realise mon bonheur, soit je m'affirme comme esprit mais le bonheur n'est plus pour moi: pourquoi penser ferait-il obstacle a mon bonheur ? Et peut-on etre heureux si l'on se nie soi-meme en tant qu'etre pensant ? L'acte meme de penser est il vraiment contraire a la joie ?

Proposition de plan :

1) Se divertir pour echapper a l'angoisse

-La pensee est difficile et peut sembler angoissante. L'homme prefere alors se divertir pour ne pas penser a sa miserable condition ni au neant qui l'environne. "Otez aux hommes leur divertissement, vous les verrez se secher d'ennui; ils sentent alors leur neant sans le connaitre" ( Pascal, Pensees).

-Mais rien n'oblige a partager cette conception dualiste finalement pessimiste de l'homme, car ce neant qui nous etreint pourrait bien n'etre qu'un produit de l'imagination.

2) Le bonheur est dans l'attention a la presence

- Si nous passons notre vie a esperer autre chose que ce qui est ou peut etre, le bonheur ne restera qu'une quete ou un projet. La vie presente - la seule que nous ayons - ne doit pas etre devalorisee au profit de l'attente craintive d'un apres ou d'un au-dela, d'autant plus esperes ou redoutes qu'ils sont imagines: "Toi, pourtant qui n'est pas de demain tu ajournes la joie; la vie perit par le delai, et chacun de nous meurt affaire" ( Epicure, Sentences Vaticanes, XIV ).

- S'ouvrir aux choses sans desirer les consommer ni se les approprier, mais etre attentif a leur simple presence, c'est decouvrir dans le present une source infinie de satisfaction. Les stoïciens pensaient ainsi que l'âme heureuse est celle qui s'identifie le mieux a l'univers. S'abstenir de penser cette identite, c'est manquer de bonheur.

3) "la joie de la pensee" ( devise d'Einstein)

- Non seulement la pensee peut travailler a se defaire de ce qui nous detourne du bonheur ( Epicure ), mais l'acte meme de penser fait partie de la vraie joie. Certes, ce n'est pas parce qu'une idee me rend heureux que je dois la penser, mais parce qu'elle se presente comme vraie. Cependant, soumettre la pensee a la norme du vrai est bien la condition du contentement interieur : "je n'approuve point qu'on tâche à se tromper, en se repaissant [se rassasiant] de fausses imaginations; car tout le plaisir qui en revient, ne peut toucher que la superficie de l'âme, laquelle sent cependant une amertume intérieure en s'apercevant [que les biens possédés] sont faux" (Descartes, Lettre a Elisabeth, 6 octobre 1645 ).

- L'accomplissement de l'homme s'exprime par l'excellence de sa fonction propre, qui est la vie pensante : " Le simple fait de vivre est, de toute evidence, une chose que l'homme partage en commun avec les vegetaux; or ce que nous recherchons, c'est ce qui est propre à l'homme[...]. Reste donc une certaine vie de la partie rationelle de l'âme" ( Aristote, Éthique à Nicomaque I, 6). Si l'intelligence meditative a pour vertu de voir la verite, il ne saurait y avoir de bonheur veritable dans l'impossible refus de penser.

Voila ce que dit mon livre, Livre & Clic de Hatier. Je te conseillerais d'abord de ne pas faire de recopiage, et puis surtout de le lire et de prendre les idees que tu n'avais pas pense deja a developper. Ne reprends surtout pas ce plan la, avec toutes ces citations, et tout.. Car ca se voit que c'est un travail de pro. Les profs ne sont pas idiots non plus.

Reviens donc me voir quand tu auras mis tout ca au clair

Bonne chance

Julie

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bonjour,

j'ai repris entièrement mon introduction je voulai au début prendre le cogito ergo sum pour une accroche mais étant donné que c'est un des arguments de mon antihhèse je ne sais pas si je peux me le permettre...

Ensuite je définit le bohneur et la pensée

puis je reformule l'énnocé:

"Il s'agit de savoir s’il faut « s’empêcher » de penser pour se protéger des effets nuisibles qui pourraient compromettre le bonheur. Il est évident que les personnes ignorantes sont souvent plus heureuses dans leur ignorance que les personnes qui pensent de manière réfléchie et se font sans cesse du souci. Pourtant « s’empêcher » de penser est une pensée on peut alors se demander si l’homme est capable de s’interdire de penser."

merci encore

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  • E-Bahut

Oui et non. Je ne pense pas que la deuxieme partie de ton plan soit correcte, il serait mieux je pense de faire quelque chose comme, or la pensee est inherente a l'homme, alors pourrait-on etre heureux si l'on s'empechait de penser ? Enfin je pense que tu as saisi tout de meme l'idee principale.

Pour le cogito ergo sum, je te conseillerais de le laisser dans ton antithese et de prendre une pensee plus commune pour ton intro.

Bonne chance

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  • E-Bahut

Salut

et bien je parlais la deuxieme partie de ton plan. Mais c'est la fin de ton intro aussi puisque tu y annonces le plan.

Pourtant « s’empêcher » de penser est une pensée on peut alors se demander si l’homme est capable de s’interdire de penser."

Comme je te l'ai dit, je pense que quelque chose comme, la pensee etant inherente a l'homme, alors pourrait on trouver le bonheur si l'on s'empechait de penser ?

Enfin, c'est mon opinion personnelle et elle n'engage que moi. Je ne dis pas que j'ai raison. A toi de voir avec les arguments dont tu disposes.

Julie

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Bonjour,

je re-tentes une introduction!

"Faut il s'abstenir de penser pour être heureux?", il s'agit de savoir si il faut "s'empécher" de penser pour ne pas se rendre compte de son malheur. A cette question il peut paraître évident de répondre que les ignorants sont souvent plus heureux dans leur ignorance que les personnes qui pensent de manière réfléchie et se font sans cesse du soucis. Cepandant la pensée au sens large c'est a dire tout état de conscience est inhérente à l'homme. or avoir conscience de soi c'est avoir consciensce de son mal-être, ainsi on peut se demander si la pensée empêche réellement le bonheur.

C'est pour cela que nous verrons dans un premiers temps en quoi la pensé au sens strict met un frein à la quête du bonheur puis dans un second temps nous verrons quel est le lien entre le bohneur et la pensée.

merci de me corriger!

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bonjour,

en voila une autre qui est peut être mieux...

"De nombreux théoriciens soutiennent que l'homme voue sa vie à la quête du bonheur. En d'aurtres termes, l'homme cherche à se tenir à l'écart de son mal-être.

Ainsi s'abstenir de penser afin d'être heureux suppose qu'il faut "s'empécher" de penser pour ne pas se rendre compte de son malheur.

Mais l'homme peut il s'abstenir de penser?

En effet la pensée au sens large du terme c'est a dire tout état de conscience est inhérente à l'homme. Par opposition, la pensée au sens strict c'est a dire toute activitée réfléchie de l'esprit n'est pas universelle.

Ainsi, dans la quête du bonheur, la pensée est elle réellement un frein?

Pour cela nous verrons pourquoi la pensée ferait elle obstacle au bonheur puis nous nous demanderons si nous pouvons être heureux sans pensée."

merci

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penser... :blush:

j'ai rédigé ma thèse mais elle est plus courte que l'introduction...

"Le bonheur est un but difficile a atteindre, il paraît évident que s'abstenir de penser peut permetre de le rendre plus accessible. En effet un ignorant est souvent plus heureux dans son ignorance qu'une personne qui réfléchit et se fait sans cesse du soucis.

Le rêve de beaucoup de personne est donc de pouvoir vivre sans réfléchir afin de pouvoir vivre au jour le jour sans penser au futur qui est source d'angoisses et de peur ainsi que d'oublier le passé qui est a l'origine de souvenirs douloureux de regrets et de nostalgie."

merci beaucoup de me venir en aide

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j'ai un peu modifié mon intro: j'ai inséré une nuance sur le bonheur.

De nombreux théoriciens soutiennent que l'homme voue sa vie à la quête du bonheur. En d'autres termes, l'homme cherche à se tenir à l'écart de son mal-être.

Ainsi s'abstenir de penser afin d'être heureux suppose qu'il faut "s'empêcher" de penser pour ne pas se rendre compte de son malheur.

Mais l'homme peut il s'abstenir de penser?

En effet la pensée au sens large du terme c'est à dire tout état de conscience est inhérente à l'homme.

Par opposition, la pensée au sens strict c'est à dire toute activité réfléchie de l'esprit n'est pas sollicitée par tout le monde.

On vient ensuite à se demander quelle pensée conduit à quel bonheur.

En effet, on doit différencier le bonheur dans le sens de bien-être et le bonheur dans le sens de satisfaction de l'esprit.

Ainsi, dans la quête du bonheur, la pensée est elle réellement un frein?

Pour cela nous verrons pourquoi la pensée ferait obstacle au bonheur puis nous nous demanderons si nous pouvons être heureux sans pensée."

merci totochita

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  • E-Bahut

Approfondis ta these. Donne plus d'exemple, reformule tes idees. Definis ce qu'est le bonheur en commencant ta these.

Pourquoi dis tu qu'il parait evident que de s'abstenir de penser peut permettre de le rendre plus accessible ? Il faudrait que tu expliques pourquoi un ignorant peut etre plus heureux qu'un homme qui reflechit. C'est justement ici que tu pourrais placer l'exemple et l'argument de l'enfant, en disant que ce dernier peut parfois sembler atteindre plus facilement le bonheur qu'un adulte, car il profite de l'instant present, du cadeau qu'on lui a fait, du plaisir de faire telle ou telle activite. Il ne commence pas a douter en disant qu'avec cet argent la depense il aurait pu faire autre chose, s'acheter autre chose, qui aurait ete plus benefique a sa quete du bonheur. Il ne se pose pas 36 mille questions. Il profite.

Et des exemples comme ca, tu peux en trouver.. Essaie de prendre une feuille ( ou ton clavier si tu preferes ) et d'ecrire tout ce qui peut faire, tout ce que tu peux dire sur penser peut empecher d'arriver au bonheur. Pour quelles raisons ?

Commence a ecrire, laisse toi emporter par l'inspiration et puis ensuite tu te reliras et tu verras si c'est coherent, et ce que tu dois expliquer.

Bon courage

Julie

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j'ai un peu modifié mon intro: j'ai inséré une nuance sur le bonheur.

De nombreux théoriciens soutiennent que l'homme voue sa vie à la quête du bonheur. En d'autres termes, l'homme cherche à se tenir à l'écart de son mal-être.

Ainsi s'abstenir de penser afin d'être heureux suppose qu'il faut "s'empêcher" de penser pour ne pas se rendre compte de son malheur.

Mais l'homme peut il s'abstenir de penser?

En effet la pensée au sens large du terme c'est à dire tout état de conscience est inhérente à l'homme.

Par opposition, la pensée au sens strict c'est à dire toute activité réfléchie de l'esprit n'est pas sollicitée par tout le monde.

On vient ensuite à se demander quelle pensée conduit à quel bonheur.

En effet, on doit différencier le bonheur dans le sens de bien-être et le bonheur dans le sens de satisfaction de l'esprit.

Ainsi, dans la quête du bonheur, la pensée est elle réellement un frein?

Pour cela nous verrons pourquoi la pensée ferait obstacle au bonheur puis nous nous demanderons si nous pouvons être heureux sans pensée."

merci totochita

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  • E-Bahut

Salut

Je pense que ta nuance "On vient ensuite à se demander quelle pensée conduit à quel bonheur.

En effet, on doit différencier le bonheur dans le sens de bien-être et le bonheur dans le sens de satisfaction de l'esprit." n'est pas vraiment a sa place ici. Bien sur que dans tes parties, l'une ou l'autre, tu peux en parler, faire la difference, ou pourquoi pas, le placer dans ta conclusion.

Ensuite, tes deux parties sont identiques il me semble : Pour cela nous verrons pourquoi la pensée ferait obstacle au bonheur puis nous nous demanderons si nous pouvons être heureux sans pensée."

Disons que c'est regarder la question ds un sens et puis ds lautre. Parce que si tu expliques pourquoi la pensee ferait obstacle au bonheur, tu vas forcement parler d'etre heureux sans penser. Il faudrait que tu soulignes aussi l'usage du "faut-il". La question est " est ce que le fait de penser est une condition au bonheur"? C'est different que si tu avais "peut-on". Est ce que penser rend malheureux ?

Faut il s'abstenir de penser pour etre heureux ?

Tu peux aussi parler du fait que les hommes sont les seuls etres a pouvoir penser, et que du fait que l'on pense, on sait tous que l'on vit, et donc que l'un jour on va mourir.

Bref, la je me perds un petit peu moi meme, j'ai beaucoup trop d'idees qui cogitent alors je vais essayer de me demeler un peu les idees avant d'en dire davantage. Continue a venir me dire ce que tu fais, ce que tu comprends, etc... La prochaine fois, en plus de ton intro, redis moi tes parties et les arguments que tu comptes y mettre

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  • E-Bahut

Bah si justement, ya pleins de choses que l'on peut faire et qui va nous satisfaire l'esprit. Ainsi, pour un fan de lecture et de philo par exemple, debattre pendant des heures sur un sujet est pour lui une vraie satisfaction de l'esprit et on pourrait meme dire que cela le rend heureux. Maintenant, il faut evidemment que tu definisses le sens du bonheur dont ut veux parler, puisqu'il existe p-e pas un Bonheur, mais des bonheurs.

Et encore une fois, il faut definir le mot penser. Car un enfant ne pense pas qu'il est heureux, il ne reflechit pas. Il l'est. Tout simplement. Il le ressent dans tout son corps, dans tout son etre. On ne reflechit pas pour savoir si l'on est heureux. On le ressent, on le vit.

Maintenant c'est sur que l'on ne peut s'abstenir de penser, car penser est une chose propre a l'homme, et donc a nous meme. Ce serait comme de se renier soi meme que de vouloir s'abstenir de penser. Et puis s'abstenir de penser, cela voudrait aussi dire que l'onpeut commander et diriger ce que l'on pense, quand penser, a quoi, etc... Or justement, je connais peu de personnes qui en sont capables. Combien de fois n'a t'on pas penser que l'on aimerait bien penser a quelque chose d'autre, ou simplement cesser de penser completement,afin de ne plus accabler notre esprit par un souvenir ou quelque chose qui nous contrarie ?

P-e que je m'en vais trop loin du sujet, ou que je veux pousser l'analyse un peu trop loin. Disons que ce sont les idees qui me viennent a l'esprit sur le moment.

Mais a partir du moment ou ton raisonnement se suit, c'est a dire que tu ne sautes pas d'une idee a l'autre qui ne sont sans rapport, a partir du moment que ton argumentation suit un fil directeur et que ca se tient, alors ta dissertation sera bonne.

Penses a prendre des exemples, qques citations de philosophes... Ou de prendre comme argument des pensees ou des idees de philosophe que tu devras ensuite toi meme argumenter et expliquer ds ta dissertation.

Oublie deux secondes ton introduction. Tente de mettre en place ton premier et deuxieme paragraphe, et fais une ebauche de ta conclusion.

Bonne chance, j'espere que je ne t'embrouille pas trop. Suis ton idee, ne m'ecoute pas.

Prends juste des exemples ou des idees que j'ai dit qui pourraient s'inserer dans ton texte. Avoir trop d'info ce n'est pas bon non plus.

A+

Julie

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non vous ne m'embrouillez pas au contraire, vous m'aidez beaucoup!

voici une ébauche de mes deux premières parties:

I) La pensée : un obstacle au bonheur ?

Le bonheur est un but difficile a atteindre, il paraît évident que s'abstenir de penser peut permettre de le rendre plus accessible. Ainsi, un ignorant est souvent plus heureux dans son ignorance qu'une personne qui réfléchit et se fait sans cesse du souci car l’ignorant vit au jour le jour, selon Horace, il « cueille le jour sans se soucier du lendemain » « carpe diem » comme le rêveraient beaucoup de personnes. De plus une personne qui réfléchit, pense au futur ce qui génère de l’angoisse et de la peur ou bien au passé qui est à l’ origine de souvenirs douloureux de regrets et de nostalgie. Par exemple l’enfant paraît atteindre plus facilement le bonheur qu'un adulte, il jouit d’un bonheur insouciant car il profite de l'instant présent, du cadeau qu'on lui a fait, du plaisir de faire telle ou telle activité, ainsi il vit plus intensément que l’adulte le bonheur et le plaisir qui souvent a force de penser se gâche son propre plaisir, ou le bonheur qu’il aurait pu tirer d'une chose en pensant.

Transition :

Mais on peut se demander quels bonheurs la pensée permet-elle d’acquérir. En effet, on doit différencier le bonheur dans le sens de bien-être soit le plaisir et le bonheur dans le sens de satisfaction de l'esprit soit le vrai bonheur.

II) La pensée indissociable du bonheur

Il est vrai que, la conscience étant inhérente a l’homme, le bonheur ne peut être accessible que pour les êtres ayant une conscience, de plus, il faut avoir conscience d’être heureux pour l’être. Et donc il faut penser de manière réfléchie qu’on est heureux pour ressentir le bonheur. En effet selon Polin, « il n’y a de véritable bonheur que pour une conscience(…) et donc pour l’homme ».

En revanche les animaux dépourvus de toute conscience ne peuvent ressentir que le plaisir car ils ignorent leur accord avec le monde et sont par conséquent incapables de réfléchir.

On peut en déduire que lorsque l'homme ne penses pas il est semblable a une bête qui agit selon ses instincts.

merci vraiment beucoup

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  • E-Bahut

Salut

Je trouve qu'il manque quelques petits trucs a ta dissert. D'abord, il te faudrait une mini phrase de conclusion de ta premiere partie, ou alors l'inclure dans ta transition ( bon, ca ne se voit plus trop si c'est la fin ou la transition une fois redige)

du genre, mais peut-on alors dire qu'il faut s'abstenir de penser pour etre heureux ?

Attends une idee. Le fait que les enfants puissent etre heureux sans reflechir, et que parfois le bonheur peut arriver en pensant, ne signifie t'il pas qu'il y ai plusieurs sortes de bonheur? Pourrait on arriver a etre heureux si on ne pensait pas ? Par exemple, pour un homme ou devrais-je dire un adolescent pour qui son reve est de conduire des avions, il est oblige de reflechir au moyen d'acceder a realiser son reve, et donc d'arriver au bonheur. Comment ? Et bien il doit prevoir son avenir, decider quel voie il va suivre a l'ecole, et a la fac, quels etudes lui sont donc necessaires pour y arriver.

retournons a ta redac'. Lorsque tu dis qu'un adulte peut gacher son bonheur en pensant, tu devrais donner un exemple, illustrer tes propos d'un exemple concret. Ou du moins, mieux cibler ce que tu veux dire, afin de montrer que tu n'as pas simplement dit cela pour le dire, mais que tu as reellement une idee derriere la tete, que tu sais bien ou tu vas, que ce ne sont pas que des bavardages.

donc comme je te disais, je n'aime pas trop ta transaction. Je trouve qu'elle n'est pas dans la continuite de ton premier paragraphe, mais p-e cela peut il s'arranger si tu fais une petite conclusion comme je t'ai dit plus haut.

Le debut de ta deuxieme partie n'est pas mal, par contre la fin quand tu parles des animaux n'est pas tres coherente. Les animaux ne pensent pas donc ils ne peuvent etre heureux, ms peuvent ressentir du plaisir ? Si on ressent du plaisir, ne sommes nous pas heureux ? A aucun moment non plus tu ne dis qu'il peut exister differentes sortes de bonheur. Le Bonheur total et permanent, du moins qui perdure pendant un certain temps, et les bonheurs, les petits plaisirs de la vie qui sont instantanes ms ephemeres.

Par exemple, un drogué reflechit il ? Non, il ne reflechit pas, enfin on ne peut pas dire qu'il reflechit avec coherence, il ne cherche qu'a satisfaire son plaisir ( en reprenant une nouvelle dose de drogue par exemple ) ms lorsqu'il se drogue, il ressent du plaisir, son besoin est comble, pour l'instant du moins, et on pourrait presque dire qu'il est heureux. Mais ce n'est pas un bonheur qui dure, ce n'est pas non plus une situation qui peut s'eterniser... Je ne sais pas si tu saisis. Par contre, quelqu'un qui tombe amoureux, ou qui decroche un travail qui lui plait, dans ce qu'il aime, il connaitra un bonheur plus intense, qui durera plus longtemps, qui va lui permettre de se sentir bien dans sa vie et qui va toucher plusieurs aspects de sa vie. Si il a decrocher le boulot de ses reves, il va se sentir heureux, bien dans sa peau, fier de lui. Cela va ameliorer sa relation avec les autres, etc.. Tu saisis ?

Je pense que tu n'insistes pas assez sur la notion de Bonheur. Tu n'as traite qu'une partie de ton sujet, la pensee. Or, c'est aussi du bonheur dont on te parle ici.

J'espere que j'aurais reussi a te montrer ce que j'ai voulu dire. A toi d'arranger, d'approfondir, de chercher d'autres exemples.

Bon courage

Julie

P.S: ne me dis pas "vous" parce que je ne suis pas prof, et je n'ai que 20 ans! :P je me sens deja vieille snif...

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bonjour!

voici ma dissertation!mais je ne sais as si je dois faire une troisième partie (ma synthèse) ou si je peux faire dirèctement une conclusion...

pour la concusion je ne sais pas trop comment faire...

"De nombreux théoriciens soutiennent que l'homme voue sa vie à la quête du bonheur. En d'autres termes, l'homme cherche à se tenir à l'écart de son mal-être.

Ainsi s'abstenir de penser afin d'être heureux suppose qu'il faut "s'empêcher" de penser pour ne pas se rendre compte de son malheur.

Mais l'homme peut il s'abstenir de penser?

En effet la pensée au sens large du terme c'est à dire tout état de conscience est inhérente à l'homme.

Par opposition, la pensée au sens strict c'est à dire toute activité réfléchie de l'esprit n'est pas sollicitée par tout le monde.

Ainsi, dans la quête du bonheur, la pensée est elle réellement un frein?

Pour cela nous verrons pourquoi la pensée ferait obstacle au bonheur puis nous nous demanderons si quel est le lien entre la pensée et le bonheur.

Le bonheur est un but difficile a atteindre, il paraît évident que s'abstenir de penser peut permettre de le rendre plus accessible. Ainsi, un ignorant est souvent plus heureux dans son ignorance qu'une personne qui réfléchit et se fait sans cesse du souci car l’ignorant vit au jour le jour, sans se soucier de l’avenir. Par exemple l’enfant qui est ignorant de part sa jeunesse et son insouciance, paraît atteindre plus facilement le bonheur que l’adulte, il jouit d’un bonheur insouciant car il profite de l’instant présent du cadeau qu'on lui a fait, du plaisir de faire telle ou telle activité ainsi il vit plus intensément que l’adulte le bonheur et le plaisir qui souvent a force de penser se gâche son propre plaisir, ou le bonheur qu’il aurait pu tirer d'une chose en pensant comme par exemple angoisser pour son avenir professionnel au lieu de profiter de ses vacances.

Ainsi, selon Horace, l’ignorant « cueille le jour sans se soucier du lendemain » « carpe diem ». Cette vision du bonheur est enviée par beaucoup de personnes qui, pour échapper à l’angoisse de la vie se consacrent pleinement aux divertissements ce qui leur permet d’oublier ou plutôt de ne pas penser à leur condition misérable. Ils montrent ainsi le refus de réfléchir. Il est vrai en effet qu’une personne qui réfléchit pense au futur ce qui génère de l’angoisse et de la peur ou bien au passé qui ressasse de souvenirs douloureux des regrets et de nostalgie.

Mais penser au passé peut également être à l’ origine de souvenirs heureux et agréables donc peuvent être source de bonheur. On vient alors à se demander s’il existe un lien entre le bonheur et la pensée. Tout dépend bien entendu de quel sens on attache au bonheur. Il est en effet important de distinguer le bonheur dans le sens de bien-être c'est-à-dire le plaisir et le bonheur dans le sens de satisfaction de l'esprit soit c'est-à-dire le bonheur véritable.

Ainsi, étant donné que conscience est inhérente a l’homme, le bonheur véritable ne peut être accessible que pour les êtres ayant une conscience car il faut avoir conscience d’être heureux pour l’être. En effet selon Polin, « il n’y a de véritable bonheur que pour une conscience(…) et donc pour l’homme ». Par conséquent pour obtenir le bonheur il faut le chercher et donc réfléchir a sa propre existence, a ses objectifs et aux moyens d’accéder au bonheur véritable.

On peut en déduire que l’ignorant ne peut atteindre le bonheur, en effet il se contente d’une succession se plaisirs éphémères. Par exemple, un drogué ne réfléchit pas, il satisfait ses besoins en se droguant et ressent du plaisir physique qui ne persévère pas c’est donc un plaisir éphémère.

On peut alors dire que le drogué ou d’une manière générale l’ignorant, agit selon ses instincts comme le ferait un animal. En effet, les animaux dépourvus de toute conscience ne peuvent pas ressentir le bonheur car ils ignorent leur accord avec le monde et sont incapables de réfléchir. Ils ne ressentent donc que le plaisir procuré par l’assouvissement de leurs instincts.

Par opposition une personne qui réfléchit peut accéder a un bonheur véritable et durable mais aussi accéder au plaisir, l’un n’empêche pas l’autre. Par exemple une personne qui réussit sa vie va se sentir fière d’elle et bien dans sa peau. Elle accède donc à un bonheur durable."

merci

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bonjour!

voici ma dissertation!mais je ne sais as si je dois faire une troisième partie (ma synthèse) ou si je peux faire dirèctement une conclusion...

pour la concusion je ne sais pas trop comment faire...

"De nombreux théoriciens soutiennent que l'homme voue sa vie à la quête du bonheur. En d'autres termes, l'homme cherche à se tenir à l'écart de son mal-être.

Ainsi s'abstenir de penser afin d'être heureux suppose qu'il faut "s'empêcher" de penser pour ne pas se rendre compte de son malheur.

Mais l'homme peut il s'abstenir de penser?

En effet la pensée au sens large du terme c'est à dire tout état de conscience est inhérente à l'homme.

Par opposition, la pensée au sens strict c'est à dire toute activité réfléchie de l'esprit n'est pas sollicitée par tout le monde.

Ainsi, dans la quête du bonheur, la pensée est elle réellement un frein?

Pour cela nous verrons pourquoi la pensée ferait obstacle au bonheur puis nous nous demanderons si quel est le lien entre la pensée et le bonheur.

Le bonheur est un but difficile a atteindre, il paraît évident que s'abstenir de penser peut permettre de le rendre plus accessible. Ainsi, un ignorant est souvent plus heureux dans son ignorance qu'une personne qui réfléchit et se fait sans cesse du souci car l’ignorant vit au jour le jour, sans se soucier de l’avenir. Par exemple l’enfant qui est ignorant de part sa jeunesse et son insouciance, paraît atteindre plus facilement le bonheur que l’adulte, il jouit d’un bonheur insouciant car il profite de l’instant présent du cadeau qu'on lui a fait, du plaisir de faire telle ou telle activité ainsi il vit plus intensément que l’adulte le bonheur et le plaisir qui souvent a force de penser se gâche son propre plaisir, ou le bonheur qu’il aurait pu tirer d'une chose en pensant comme par exemple angoisser pour son avenir professionnel au lieu de profiter de ses vacances.

Ainsi, selon Horace, l’ignorant « cueille le jour sans se soucier du lendemain » « carpe diem ». Cette vision du bonheur est enviée par beaucoup de personnes qui, pour échapper à l’angoisse de la vie se consacrent pleinement aux divertissements ce qui leur permet d’oublier ou plutôt de ne pas penser à leur condition misérable. Ils montrent ainsi le refus de réfléchir. Il est vrai en effet qu’une personne qui réfléchit pense au futur ce qui génère de l’angoisse et de la peur ou bien au passé qui ressasse de souvenirs douloureux des regrets et de nostalgie.

Mais penser au passé peut également être à l’ origine de souvenirs heureux et agréables donc peuvent être source de bonheur. On vient alors à se demander s’il existe un lien entre le bonheur et la pensée. Tout dépend bien entendu de quel sens on attache au bonheur. Il est en effet important de distinguer le bonheur dans le sens de bien-être c'est-à-dire le plaisir et le bonheur dans le sens de satisfaction de l'esprit soit c'est-à-dire le bonheur véritable.

Ainsi, étant donné que conscience est inhérente a l’homme, le bonheur véritable ne peut être accessible que pour les êtres ayant une conscience car il faut avoir conscience d’être heureux pour l’être. En effet selon Polin, « il n’y a de véritable bonheur que pour une conscience(…) et donc pour l’homme ». Par conséquent pour obtenir le bonheur il faut le chercher et donc réfléchir a sa propre existence, a ses objectifs et aux moyens d’accéder au bonheur véritable.

On peut en déduire que l’ignorant ne peut atteindre le bonheur, en effet il se contente d’une succession se plaisirs éphémères. Par exemple, un drogué ne réfléchit pas, il satisfait ses besoins en se droguant et ressent du plaisir physique qui ne persévère pas c’est donc un plaisir éphémère.

On peut alors dire que le drogué ou d’une manière générale l’ignorant, agit selon ses instincts comme le ferait un animal. En effet, les animaux dépourvus de toute conscience ne peuvent pas ressentir le bonheur car ils ignorent leur accord avec le monde et sont incapables de réfléchir. Ils ne ressentent donc que le plaisir procuré par l’assouvissement de leurs instincts.

Par opposition une personne qui réfléchit peut accéder a un bonheur véritable et durable mais aussi accéder au plaisir, l’un n’empêche pas l’autre. Par exemple une personne qui réussit sa vie va se sentir fière d’elle et bien dans sa peau. Elle accède donc à un bonheur durable."

merci

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  • E-Bahut

Deux ou trois petits trucs.

Deja, je la trouve un petit peu courte, c'est a dire qu'il manque de matiere. Ensuite, evite de parler "d'ignorant", parle plutot de quelqu'un qui ne pense pas, qui ne reflechit pas.

Tu peux aussi parler des impulsifs contre les penseurs. Les impulsifs agissent sur un coup de tete ou un coup de coeur, ils ne prennent pas le temps d'analyser leur action et ses consequences. Il peut ainsi jouir d'un bonheur instantanee, mais qui peut avoir des consequences nefastes par la suite. Tandis qu'un "penseur", quelqu'un qui reflechit, lui, va prendre le temps d'analyser la portee de son action, les consequences, de peser le pour et le contre. Il peut ainsi se priver d'un bonheur immediat, mais p-e s'eviter des problemes par la suite.

Ne dis pas non plus bonheur veritable. Un bonheur veritable c'est quoi ? Ca ne veut rien dire. Du moins pas en philo. TU ne developpes pas assez certains exemples, comme qd tu dis une eprsonne qui reussit sa vie va se sentir bien ds sa peau. Deja, c'est pas forcement vrai, ensuite, reussir sa vie ca veut dire quoi ? Et puis, il n'y a qu'a la fin de ta vie que tu peux dire si tu l'as reussi ou pas. Alors dit quelqu'un qui arrive a atteindre les buts qu'il s'est lui meme fixe, les objectifs, etc...

Tu dois dire ce que tu penses, puis donner un exemple, et aller jusqu'au bout de ta pensee. C'est comme quand tu expliques quelque chose a quelqu'un. Ce n'est d'ailleurs rien d'autre.

Essaie de trouver par toi meme des idees, j'ai l'impression que tu as repris et colle tant bien que mal ce que je t'ai dit. Mais tes parties semblent plutot vides.

La j'ai pas le temps de me pencher plus sur ta dissert, je verrais si je ne suis pas trop fatiguee en rentrant ce soir si je peux modifier ou rajouter quelques trucs. Mais n'attends rien de moi, et fais d'abord ce que tu as a faire.

Bon courage

Julie

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