clochette21 Posté(e) le 3 décembre 2006 Signaler Share Posté(e) le 3 décembre 2006 Voila pour dans 2 semaines j'ai un commentaire a faire sur les 24 premiers vers du poeme de victor hugo intitulé Le crapaud. Je n'y arrive pas, si vous pouvez m'aider ! Merci d'avance Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut Totochita Posté(e) le 3 décembre 2006 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 3 décembre 2006 Salut Je suis d'accord pour t'aider, ms il faudrait alors que tu me donnes les 24 premiers vers de ton poème et puis surtout que tu commences a me dire tes idées... Sur le fond et sur la forme du poème, ce qu'a voulu dire l'auteur, etc... Il me faut donc une ebauche de brouillon au moins, et puis si jamais il y a quelque chose qui te pose probleme, ben le dire ici afin que je puisse essayer de t'aider.. Voila, bonne chance et puis a bientot. Julie Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clochette21 Posté(e) le 4 décembre 2006 Auteur Signaler Share Posté(e) le 4 décembre 2006 Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? Le couchant rayonnait dans les nuages roses ; C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ; Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie, Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ; Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. (Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ? Hélas ! le bas-empire est couvert d'Augustules, Les Césars de forfaits, les crapauds de pustules, Comme le pré de fleurs et le ciel de soleils !) Les feuilles s'empourpraient dans les arbres vermeils ; L'eau miroitait, mêlée à l'herbe, dans l'ornière ; Le soir se déployait ainsi qu'une bannière ; L'oiseau baissait la voix dans le jour affaibli ; Tout s'apaisait, dans l'air, sur l'onde ; et, plein d'oubli, Le crapaud, sans effroi, sans honte, sans colère, Doux, regardait la grande auréole solaire ; Peut-être le maudit se sentait-il béni, Pas de bête qui n'ait un reflet d'infini ; Pas de prunelle abjecte et vile que ne touche L'éclair d'en haut, parfois tendre et parfois farouche ; Pas de monstre chétif, louche, impur, chassieux, Qui n'ait l'immensité des astres dans les yeux. Voila je suis completement pomé de chez pomé ! Si tu pouvais me donner quelques idées pour que ça puisse m'avancer, et surtout que ça puisse m'aider à rentrer dans le truc parce que la... Merci !! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut Totochita Posté(e) le 4 décembre 2006 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 4 décembre 2006 Completement paumee ? Une excuse pour que l'on te fasse tout ? Parce que j'ai du mal a croire que tu ne peux rien dire sur ce texte. La forme : combien de vers, le rythme, le nombre de syllabes, les rimes, etc... Tu dois pouvoir trouver ca toute seule dans tes cours et tes connaissances. Ensuite, je pense que le poeme n'est pas tellement dur pour ne rien comprendre a ce qu'il dit. Quelles sont les idees principales du poeme ? Que dit l'auteur ? Utilise t-il des metaphores ? comparaisons ? etc.. ? Si tu ne sais pas par ou commencer, alors cherches une methode de commentaire compose sur Internet. Mais pour le premier brouillon, tu n'as pas besoin de structurer reellement.. Tu dois d'abord tout mettre en vrac, ecrire les idees qui ressortent, ce que tu comprends, etc.. Ainsi que l'etude de la forme du poeme. Viens me voir quand tu auras au moins fait ca... Parce que le travail preliminaire, ca ne te sert a rien si je le fais moi.. Et en plus, j'ai pas le temps de le faire donc a bientot Julie Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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