E-Bahut experiment Posté(e) le 16 mars 2005 E-Bahut Signaler Posté(e) le 16 mars 2005 Bonjour, pour vendredi je dois faire le plan détaillé de cette question, et j'avoue avoir quelques difficultés. L'encyclopédie (1765) affirme que les moralistes du XVIIème siècle sont attachés à faire des portraits finement touchés sans se préoccuper vraiment de la morale. Expliquer et commenter cette remarque en l'illustrant par ce que vous savez de La Bruyère et des autes moralistes du XVIIème. Je pensais faire: I) Le portrait des Grands et des Petits (Satire) - Exemple d'un Grand - Exemple d'un Petit II) La Bruyère, moraliste III) Autres moralistes Ce plan ne me parait pas du tout pertinent, je ne suis déjà pas sûre de bien comprendre la question, quand on dit "finement touchés" on entend par là bien écrit ? Merci
E-Bahut clems Posté(e) le 17 mars 2005 E-Bahut Signaler Posté(e) le 17 mars 2005 juste des idées, ce n'est pas un sujet que je maîtrise... - a priori, il y a un paradoxe entre l'appellation de "moraliste" et le fait de ne pas se soucier de la morale : pourquoi les a-t-on nommés ainsi s'ils ne s'en préoccupaient pas? - un portrait "finement touché" : cela comporte autant la finesse du style que la pointe satirique = les Caractères de La Bruyère, comme ceux de La Rochefoucauld, ou encore de Montesquieu, de Lafontaine, Mme de Sévigné, ont en commun le fait qu'ils sont des archétypes... en gros, pour faire le portrait d'un individu de manière caricatural (parce qu'un portrait est par définition caricatural, par le fait même qu'on prèlève des éléments de la personnalité d'un individu pour le faire ressortir), il faut le voir, le juger, extraire des aspects critiques, voire satiriques, voire moraux. - question : est-il besoin de dire explicitement que l'on condamne tel ou tel comprtement pour tenir un discours moralisateur? le fait même de montrer (le principe de "monstration" donc) ne suffit-il pas à mettre l'accent sur un point précis? bon, en gros, je ferais un plan plus thématique et plus comparatiste (avec peut-être plus d'exemples chez La Bruyère). par exemple : I partie générique et définitoire = - qu'est-ce qu'un moraliste? - le moraliste selon l'Encyclopédie II particularités du style = - finesse du style - la prosopographie : l'art du portrait physique - l'éthopée : le portrait moral / la peinture de caractère le portrait III la finesse au service de la morale = la façon dont la forme sert le fond et peut finir par la composer - est-il possible de dépeindre un caractèe de façon objective, sans avoir recours à une norme, et donc à une morale? voilà, j'espère que ça te donnera des pistes...
E-Bahut experiment Posté(e) le 3 avril 2005 Auteur E-Bahut Signaler Posté(e) le 3 avril 2005 Bonjour, je viens donner la correction de ma prof. En fait, c'était assez simple comme plan. I) Bien-fondé du constat II) Les limites du constat III) La spécificité des moralistes du XVIIème siècle Voilà, si quelqu'un souhaite plus de renseignements, qu'il n'hésite pas.
saturne999 Posté(e) le 29 septembre 2005 Signaler Posté(e) le 29 septembre 2005 Bonjour, je viens donner la correction de ma prof. En fait, c'était assez simple comme plan. I) Bien-fondé du constat II) Les limites du constat III) La spécificité des moralistes du XVIIème siècle Voilà, si quelqu'un souhaite plus de renseignements, qu'il n'hésite pas. <{POST_SNAPBACK}>
Angie42350 Posté(e) le 6 mars 2006 Signaler Posté(e) le 6 mars 2006 Bonjour, je viens donner la correction de ma prof. En fait, c'était assez simple comme plan. I) Bien-fondé du constat II) Les limites du constat III) La spécificité des moralistes du XVIIème siècle Voilà, si quelqu'un souhaite plus de renseignements, qu'il n'hésite pas. <{POST_SNAPBACK}>
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