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GGérard

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  1. Merci beaucoup désormais j'appréhende mieux et plus sereinement ce texte!
  2. Bonjour, Je suis en terminal et j'ai un devoir en philosophie cependant j'ai énormément de mal avec ce texte et je ne le comprends pas, c'est pour cela que j'essaye étape par étape. Malgré cela je n'y parviens toujours pas. Ce qui m'amène ici. Je sais que le texte provient du Philèbe et que ce livre parle de plaisir. Mais lorsque je lit ce texte je ne vois pas le rapport avec le plaisir. J'ai cru comprendre que le texte parler de l'apprentissage ou du travail. Pouvez vous m'aidez à prendre mon envol? "Socrate : Si d'ailleurs l'un de ces hommes d'opinion se flatte d'étudier la nature, c'est, tu le sais, les choses du monde où nous sommes, la façon dont elles sont nées, les actions qu'elles subissent et celles qu'elles exercent, c'est là ce qu'il passe sa vie à étudier. Affirmerons-nous cela ? Qu'en dis-tu ? Protarque : Oui. Socrate : Ce n'est donc pas à ce qui est toujours, mais à ce qui devient, deviendra et devint, qu'un tel homme parmi nous applique son labeur ? Protarque : C'est très vrai. Socrate : Et, de telles choses, saurions-nous affirmer qu'aucune puisse devenir sûre au sens de la plus exacte vérité, puisqu'aucune d'elles jamais ne fut ni ne sera ni n'est actuellement dans le même état ? Protarque : Comment l'affirmer ? Socrate : Sur des choses qui n'ont aucune espèce de fermeté comment pourrions-nous donc acquérir quoi que ce soit de ferme ? Protarque : D'aucune façon, je pense. Socrate : Aussi n'y a-il ni intellect ni science qui possède, à leur sujet, la vérité la plus exacte. Protarque : Non, apparemment. Socrate : Alors qu'il ne soit plus du tout question de toi, de moi, de Gorgias, de Philèbe, et, sur la foi de notre raisonnement, proclamons plutôt ceci. Protarque : Quoi ? Socrate : Qu'ailleurs se trouvent, à notre avis, la fermeté, la pureté, la vérité et, comme nous disons, l'intégrité, à savoir en ces réalités qui demeurent toujours dans le même état, de la même manière, sans aucun mélange, ou bien en celles qui sont leur sont le plus possible apparentées ; quant à toutes autres choses, il faut les déclarer secondaires et inférieurs. Protarque : Tu dis la pure vérité."
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