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luciemdv67

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  1. « Le sentiment d’un tribunal intérieur en l’homme devant lesquels ses pensées s’accuse où se disculper l’une l’autre et la conscience. Tout homme à une conscience et se trouve observé, menacé et surtout tenue en respect par un juge intérieur, et cette puissance qui veille en lui sur les lois n’est pas quelque chose qui se forge lui-même arbitrairement, mais elle est inhérentes à son maître. Sa conscience le suit comme son ombre lorsqu’il pense lui échapper. Il peut bien c’est tout redire où s’en dormir par des plaisirs ou des distractions, mais il ne s’aurait évité de revenir à lui ou de se réveiller de temps entends dès lors qu’il en perçoit la boiterie. Il peut arriver à l’homme de tomber dans l’extrême abjection où il ne se soucie plus de cette voix, mais il ne peut pas pour pourtant éviter de l’entendre. Cette disposition intellectuelle originaire et (puisqu’elle est représentation du devoir) morale, qu’on appelle conscience à en elle-même ceci de particulier que, bien qu’en cette sienne affaire l’homme n’ait affaire qu’à lui-même, il se voit pourtant contraint par sa raison de l’amener comme sur l’ordre d’une autre personne. Car l’affaire consiste ici à conduire une cause judiciaire devant un tribunal. Mais concevoir comme ne faisant qu’une seule et même personne avec le juge celui qui est accusé par sa conscience est une manière absurde de se représenter une cour de justice car, s’il en était ainsi, l’accusateur perdrait toujours. C’est pourquoi, pour ne pas être en contradiction avec elle-même, la conscience de l’homme, en tous ses devoirs, doit concevoir un autre (qui est l’homme en général ) qu’elle même comme juge de ses actions. Maintenant cet autre peut-être une personne réelle ou une personne purement idéale que la raison se donne à elle-même » Emmanule Kant Doctrine de la vertu 1798 J’aurais besoin d’aide pour ce devoir : Faire l’introduction, ainsi que les parties et la conclusion. Merci beaucoup de m’aider
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