Dissert Lettre A Hetzel

[quentin35]

Bonjour a tous jai une dissert a faire pour lundi jai un doc annex lettre a hetzel .

Le sujet est Comment montrer que les ecrivain on le pouvoir plus que d'autre de reveiller le peuple.

mon plan est le suivant mais je croi uqe jme suis cassé la tete un peu, en avez vous un plus simple a me proposer?

I- les ecrivain possedent le pvr de rendre leur pensées leur combat accessible.

a) moyens de la fiction au service de l'argumentation (apologue...)

b ) moyen de la poesie au service d'une these (Hugo, la Fontaine...)

c) Les different registes litteraire pr reveiller le peuple (pathetique...)

II- Certain ecrivain estiment avoir le devoir de reveiller les consciences d'etre contre les convention sociales et litteraire

a) Role politique (hugo)

b ) Les ecrivain s'atteque au prejugé et a la morale de son epoque (philo des lumiere)

III- mais le lecteur doi exercer sa capacité de reflexion sur les textes car l'ecrivain n'est pas infaible.

a) ecrivain victimes de prejugés a leur epoque comme tous les hommes (rousseau)

b ) lecteur doit exercer son esprit creitique sa faculté de jugé. certain ecrivains mettenet en garde contre la seduction parfois trop puissante de l'art du discours du langage (la ferme des animaux, les animaux malade de la peste)

Je vous remercie. je crois que jai peut etre extraopolé...

Merci a tous et a bientoto

Quentin

[sansid3]

Lettre à Hetzel

Dans cet extrait d’une lettre à son éditeur Hetzel, Victor Hugo précise le rôle que doit jouer, dans les Châtiments, l’écriture poétique.

« Ce livre-ci sera violent. Ma poésie est honnête mais pas modérée.

J’ajoute que ce n’est pas avec de petits coups qu’on agit sur les masses. J’effaroucherai le bourgeois peut-être, qu’est-ce que cela me fait si je réveille le peuple ? Enfin n’oubliez pas ceci : je veux avoir un jour le droit d’arrêter les représailles, de me mettre en travers des vengeances, d’empêcher, s’il se peut, le sang de couler, et de sauver toutes les têtes, même celle de Louis Bonaparte. Or, ce serait un pauvre titre que des rimes modérées. Dès à présent, comme homme politique, je veux semer dans les cœurs, au milieu de mes paroles indignées, l’idée d’un châtiment autre que le carnage. Ayez mon but présent à l’esprit : clémence implacable. »