Propositions subordonnées

[erenjaeger]

Bonjour,

J'ai besoin d'aide pour un exercice sur les propositions subordonnées. 

J'aimerai que quelqu'un corrige mes erreurs et m'aide à trouver la réponse aux questions que je n'ai pas trouvé.

Merci d'avance.

 

Voici ce que j'ai fait : 

a) Le roi et les reines se souvinrent (principale) qu'ils ne s'étaient jamais vus (conjonctive, complète le verbe souvinrent), et trouvèrent quelque chose de singulier de les voir danser ensemble sans se connaître (infinitive ?). Ils les appelèrent (principale) quand ils eurent fini sans leur donner le loisir de parler à personne (circonstancielle, complément circonstanciel de temps) et leur demandèrent s'ils n'avaient pas bien envie de savoir qui ils étaient (interrogative indirecte), et s'ils ne s'en doutaient point. (interrogative indirecte)

b) Cette absence à laquelle ma douleur (principale), toute ingénieuse qu'elle est, ne peut donner un nom assez funeste, me privera pour toujours de regarder ces yeux dans lesquels je voyais tant d'amour, et qui me faisaient connaître des mouvements (relative complète 'ces yeux') qui comblaient de joie, (relative complète 'ces yeux') qui me tenaient lieu de toutes choses (relative complète 'ces yeux'), et qui enfin me suffisaient ? (relative complète 'ces yeux')

c) Savez-vous (principale) à qui vous avez affaire ? (relative)

d) Ce langage à comprendre est assez difficile,

     Madame(principale), et vous parliez tantôt d'un autre style (circonstancielle de temps ?)

e) Le gardien du troupeau chante tout doucement (principale)

    Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent (conjonctive, complète chante) 

    Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l'automne (je ne sais pas)

f) Mme de Clèves acheva de danser (principale) et, pendant qu'elle cherchait des yeux quelqu'un qu'elle avait dessein de prendre, le roi lui cria de prendre celui qui arrivait. (je ne sais pas)