alice81 Posté(e) le 17 janvier 2004 Signaler Posté(e) le 17 janvier 2004 je viens de voir ken plus des deux sujets de dissertations qui me sont presentés, il y a aussi un commentaire sur un texte de KANT le texte est le suivant "Tout homme a une conscience et se trouve observé, menacé, de manière générale tenu en respect (respect lié à la crainte) par un juge intérieur et cette puissance qui veille en lui sur les lois n'est pas quelque chose de forgé (arbitrairement) par lui-même, mais elle est inhérente à son être. Elle le suit comme son ombre quand il pense lui échapper. Il peut sans doute par des plaisirs ou des distractions s'étourdir ou s'endormir, mais il ne saurait éviter parfois de revenir à soi ou de se réveiller, dès lors qu'il en perçoit la voix terrible. Il est bien possible à l'homme de tomber dans la plus extrême abjection où il ne se soucis plus de cette voix, mais il ne peut jamais éviter de l'entendre." Questions: 1- Dégagez l'idée principale du texte et les étapes de son argumentation. 2- Expliquez: a. "cette puissance qui veille en lui sur les lois n'est pas quelque chose de forgé (arbitrairement) par lui-même" b. "Il peut sans doute par des plaisirs ou des distractions s'étourdir ou s'endormir." 3- Est-il possible de s'affranchir de toute conscience morale? Si vous pouviez m'aider, me donner quelques idées, car la philo et moi ca fait 4, et je pense que je m'en sortirai mieux avec un commentaire qu'avec une dissertion!!! merci d'avance alice81
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 17 janvier 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 17 janvier 2004 Rousseau a parle d'une conscience morale, un instinct innee, mais elle est difficile a entendre, et en fin de compte, la plupart des hommes ne l'ecoute pas. Donc c'est un autre point de vu Freud a develope l'idee d'un sur-moi, internalisation des valeurs de la societe qui exerce une critique permanente des points de depart?
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