Aller au contenu

Etude D'un Livre


RienqueMoie

Messages recommandés

Bonjour à tous, j'ai eu ce devoir sur le Horla de Maupassant, j'ai essayé de le faire mais je crois que mes idées ne sont pas vraiment dans l'ordre, j'aimerais savoir si ce n'est pas du hors sujet et si j'ai bien argumenté. Merci de votre aide.

1)Rattacher le Horla à son contexte . Quels sont les liens entre le Horla et la vie de Maupassant : peut-on réduire le Horla à sa vie ?

Le Horla se rattache à un contexte historique et social:

Historique car à la moitié du 19ème siècle, les scientifiques ne cessent de découvrir de nouvelles choses qu ‘ils ne peuvent expliquer et répandent des hypothèses : « l’être humain n ‘est pas seul »

Social car le développement médical y a été beaucoup pour l’essor; »une fascination pour l’inconnu et l’inexplicable » à cette époque là.

Après une vie de plaisir intenses, Maupassant contracte la syphilis, maladie héréditaire qui peut provoquer des hallucinations.

Oui, on peut réduire le Horla à la vie de Maupassant car celui-ci à été marqué par la même expérience(ce que laisse prétendre sa biographie) par les hallucinations dû à sa maladie. Il meurt après de longs mois de délires et d’isolement tel son personnage cela ressemble à l’histoire raconté dans livre.

2) Expliquez en quoi le Horla( version1886/87) est un caractéristique du registre fantastique : se référer sur certains passages.

Le narrateur cherche à faire participé le lecteur au doute qui anime les personne qui sont mis en scène. Il exprime l’effroi devant l’intrusion de l’inexplicable, de l’être invisible, le Horla. On remarque que la peur progresse à la succession de signes étranges.

Les verbes de sentiments sont beaucoup utilisés pour nous montrer la progression de la peur. Plusieurs procédés sont utilisés pour exprimer les émotions tels les phrases interrogatives, exclamatives et les phrases brèves. Pour maintenir le réel dans l’histoire, les lecteurs peuvent prétendre que cela peut-être le fruit d’une hallucination ou bien d’un rêve. On voit que les événements sont racontés à la première personne du singulier(vers.1887)sous forme d’un journal intime. Ainsi l’expérience, les inquiétudes et les doutes du narrateur sont partagé avec le lecteur. Ce récit qui est à la première personne, nous révèle un témoignage du narrateur où le lecteur est amené à s’interroger :ce témoignage est-il vrai ou bien juste le délire du narrateur ? Pour renforcer le doute, le narrateur utilise ces procédés : « Je crus…; peut-être, sans doute, il me semblait » mais on ignore si ils sont réels ou imaginaires.

Le narrateur, témoin d’un événement surnaturel, un phénomène innommable et extraordinaire qu’il n’arrive pas à trop expliquer. On voit qu’il utilise des comparaisons et des métaphores « comme à travers une nappe d’eau; me semblait que cette eau glissait; comme la fin d’une éclipse(vers.1886-l.246) »( je ne vraiment personne à qui m'adresser ou bien qui pourrait m'aider)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...
spam filtering
spam filtering