sam17 Posté(e) le 12 mars 2005 Signaler Posté(e) le 12 mars 2005 bonsoir! alors voilà j'ai besoin de votre aide sur ce sujet de dissertation "L'art est il un luxe?" et je vous promet que je n'ai pas eu de cours sur l'art! merci beaucoup!
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 13 mars 2005 E-Bahut Signaler Posté(e) le 13 mars 2005 qu'as tu trouve sur luxe? quelle est la definition?
sam17 Posté(e) le 13 mars 2005 Auteur Signaler Posté(e) le 13 mars 2005 qu'as tu trouve sur luxe? quelle est la definition? <{POST_SNAPBACK}>
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 13 mars 2005 E-Bahut Signaler Posté(e) le 13 mars 2005 L’art : · sens général : désigne aussi bien la technique, le savoir-faire, que la création artistique, la recherche du beau. Au sens large, l’art désigne un ensemble de connaissances et de savoir-faire nécessaires à la maîtrise d’une pratique donnée (art médical, poétique, etc.). Art est ici synonyme de technique (« arts et métiers »). · Sens restreint : synonyme de beaux-arts (arts plastiques – architecture, sculpture, peinture ; arts musicaux ou rythmiques – musique, danse, posésie). Dans cette acception, l’art signifie l’ensemble des activités visant à la création d’oeuvres esthétiques. L’art se distingue des autres productions artificielles par le fait qu’il est désintéressé, libre de toute fonction utilitaire, et qu’il n’a pas d’autre but que lui-même.
sam17 Posté(e) le 13 mars 2005 Auteur Signaler Posté(e) le 13 mars 2005 l'art semble un example parfait du superflu puisqu'il est libre de toute fonction utilitaire. http://etudes.americaines.free.fr/TRANSATL.../CR/girard.html Mais voila que certains philosophes font du superflu, de l'art aussi pourquoi pas une condition vitale! voila, si l'inutile a de la valeur, et meme une valeur vitale, cela ne peut etre un luxe! est-ce que tu penses que cela peut te demarrer dans ta reflexion? <{POST_SNAPBACK}>
E-Bahut experiment Posté(e) le 14 mars 2005 E-Bahut Signaler Posté(e) le 14 mars 2005 Bonjour, si tu n'as aucun cours sur l'Art, lis celui-ci, cela devrait t'aider à comprendre et à éviter certaines erreurs. L'Art et le beau I. AUTOUR DU MOT: Science et technique Alors que la science s'efforce de produire un savoir théorique justifié, alors que la technique s'épuise à présenter des procédés de travail ou de production réductibles au savoir faire que développe un apprentissage, l'art a pour fonction de créer le beau: la seule fin de l'art est l'œuvre, la beauté de l'œuvre. Si l'on confond la science, la technique et l'art c'est parce que les mathématiques sont belles, la technique n'est plus, de nos jours que l'application de la science, l'artiste utilise nécessairement des techniques dans la production de l'œuvre. Mais si on considère l'objet de ces disciplines, pour les mathématique l'objet en général, pour la technique la réalisation de modèles performants, pour l'art la réalisation du beau, il faut nécessairement les distinguer. D'ailleurs cette distinction apparaît en pleine lumière au niveau même de la réflexion comme "retour sur": épistémologie pour la science, philosophie morale pour la technique, esthétique pour l'art. Avec José Bonhomme Sculpteur catalan II. LA NOTION Si l'art a pour fonction de créer une oeuvre et sa beauté, l'esthétique, discipline qui réfléchit sur l'art, ne peut éviter la question: qu'est-ce que le beau? Cela revient à demander: y-a-t-il un critère, un instrument de reconnaissance du beau? L'esthétique se comporte en discipline philosophique chaque fois qu'elle cherche ainsi la vérité, en s'efforçant d'ajuster un discours à son objet et de trouver un concept qui permettrait, en déterminant une intuition sensible, de porter un jugement de connaissance sur un objet. Mais cette tentative de réduction du beau au vrai se révèle vite une impasse du point de vue de la beauté naturelle, ce qui n'étonne pas puisque l'homme n'a pas créé la nature, comme du point de vue de la beauté artistique ce qui est plus étonnant puisque l'artiste semble bien le créateur de l'œuvre belle. -La beauté naturelle Si on admet qu'un critère (ou un concept) est universel dans son domaine d'application tous les critères de beauté naturelle (forêt, montagne, rocher, mer fleuve...) proposés se révèlent, tous, particuliers: or un instrument de mesure qui ne mesurerait qu'une fois sur deux devrait être abandonné: ainsi la puissance, la grandeur, la petitesse, l'harmonie elle-même ne sauraient avoir rang de critère universel car la puissance peut effrayer (on est loin de la satisfaction esthétique) la grandeur décourage et éloigne parfois, la petitesse ne retient pas toujours le regard et jusqu'à l'harmonie d'un paysage qui peut lasser par sa fadeur. Même l'accord de la nature et de nos sentiments loin de nous satisfaire peut nous désoler et nous amener à clore les volets sur ce coucher de soleil, qui évoque la cruauté d'un deuil. Ce ne serait d'ailleurs qu'un critère subjectif. Quant à ceux qui veulent faire de l'adaptation d'un corps à sa fonction un critère de beauté du corps biologique, ils confondent la beauté et l'utilité, l'art et la technique, soumettant le beau à bien des variations culturelles en fonction de l'égoïsme humain: on passera des formes généreuses et fécondes propres à la reproduction à la forme unisexe où le semblable aime le semblable. -La beauté artistique Se demander si l'art imite la nature, c'est se donner la réponse dans la question, puisque l'art est une production et que la nature est donnée dans l'intentionnalité d'une conscience ek-statique. Si quelque chose de l'œuvre est souvent emprunté à la nature, le beau est dans l'écart que l'œuvre instaure entre une nature donnée et un monde où l'esprit est chez lui: de la forêt aux piliers des cathédrales, du trèfle des champs au trilobé gothique, du corps humain à celui de l'athlète, du corps de femme à l'origine du monde de Courbet, il y a cette distance dans laquelle jaillit le beau comme une surprise. - L'art et le beau. Le jaillissement du Beau dans l'ici et le maintenant d'une oeuvre fait d'elle un lieu, le lieu d'une manifestation comme surprise, comme ce qui ne pouvait être prévu par aucune règle de composition, ce qui ne relève pas d'un concept, ou, si l'on préfère, d'une sorte d'art poétique. Cela pose un problème: comment le beau peut-il se manifester dans une oeuvre dans être pour cela inclus dans la définition, le concept dont elle devrait relever? Par exemple: Soit une belle table de ferme: je peux tourner et retourner le concept de table, examiner tous ses prédicats, je ne tirerai jamais du concept de table la beauté d'une table: c'est que le concept est général alors que la belle table existe devant moi de manière originale. Si on m'en propose une autre à la place, il n'est pas certain que j'accepte l'échange. Même si la belle table relève du concept table, c'est effectivement une table que je peux utiliser, sa beauté ne peut être déduite de son concept: cette table me paraît exister comme une réalité entièrement neuve: le beau serait-il dans l'écart entre l'essence ou concept et l'existence? Pourtant devant l'œuvre belle je porte un jugement: c'est beau. Ce que signifie ce jugement peut nous éclairer sur la relation entre l'art et le beau. Cette relation est elle essentielle, tient-elle à une caractéristique propre à l'un et à l'autre? Dire c'est beau c'est reconnaître une présence dans une oeuvre: le jugement affirme, semble-t-il quelque chose de l'œuvre: dans toute affirmation, il y a une relation à l'idée de vérité. En ce sens "Le Beau est le lieu des idées" (Plotin). Le jugement esthétique se présente comme un jugement de connaissance qui déterminerait une intuition sensible par un concept, il se présente comme universel, devant être partagé par tous, et nécessaire, ne pouvant pas de pas être. Pourtant ce n'es pas un jugement de connaissance qui rattacherait une intuition sensible à un concept: ce jugement est sans concept: d'où peut-il donc tenir ce rapport à la vérité qu'il affirme puisqu'il ne peut se prouver en rattachant l'intuition sensible à un concept? Serait-ce une opinion qui traduirait besoin ou désir en connaissance? Le jugement de goût n'est pas une opinion car il exclut le besoin et le désir: en effet besoin et désir se préoccupent avant tout de l'existence de l'objet, de sa position dans la réalité de l'ici et du maintenant, alors que cette existence importe peu dans une représentation: j'admire la peinture d'un sous-bois de chêne et peu m'importe que je ne puisse pas en obtenir du bois pour me chauffer. Un nu représenté exclut le désir et sa satisfaction. Peu m'importe le modèle représenté, que La Joconde ait été une femme ou le reflet de Vinci A la racine du jugement c'est beau il n'y a rien de ce qui produit l'opinion: l'opinion est devenir alors que le jugement esthétique s'affirme comme permanence. Cette permanence n'est pas celle du concept dont la règle est immuable, elle ne peut de ce fait avoir pour origine un élément de l'objet déduit de la définition, ni l'ensemble des éléments qui ne sont que les prédications du concept. Cela nous oriente vers l'originalité, la particularité de la représentation, en quelque sorte la manière de voir et laisse intact le problème: d'où vient l'universalité du jugement esthétique? Il faut donc chercher l'origine du jugement c'est beau dans l'amateur. Le sujet qui porte le jugement s'appuie sur une satisfaction: son admiration est d'ailleurs confirmée par l'admiration d'autres amateurs dans l'espace géographique (voir ceux qui admirent la Joconde au Louvre) comme dans le temps (Homère toujours admiré). Autant dire que la valeur d'une oeuvre d'art s'éprouve et ne se prouve pas. Le jugement c'est beau est un jugement esthétique (en rapport avec ce que je vois, ce qu' j'entends), fondé sur un sentiment de satisfaction qui prétend à l'universel, qui me détache de moi-même pour m'attacher à l'humanité comme ensemble des êtres raisonnables sensiblement affectés capables de liberté. La prétention à l'universalité du jugement: c'est beau est-elle justifiable? La subjectivité peut-elle dépasser la particularité pour accéder à la vérité? Ce qui s'éprouve peut-il prétendre à l'universalité? Est-il possible de résoudre la contradiction entre un jugement de goût posé par un sujet et un jugement universel, qui doit être partagé par tous? Ce que le jugement c'est beau exprime c'est essentiellement une satisfaction de voir, d'entendre, de comprendre ... Cette satisfaction n'est liée ni au plaisir comme satisfaction d'un besoin ni à la satisfaction de connaître, ni à celle du devoir accompli. Quelle est donc l'origine de la satisfaction qui fait prononcer le jugement c'est beau? Y aurait-il une sorte de sens commun en chaque homme? Qu'est-ce qui peut satisfaire pleinement un homme sinon la possibilité d'exercer librement ses possibilités? Comme être raisonnable sensiblement affecté, l'homme se manifeste comme entendement, imagination et sensibilité. Or la satisfaction du devoir exige le sacrifice des appétits, la satisfaction de la connaissance exige la détermination du sensible par le concept et la satisfaction des appétits exige le renoncement au devoir, comme si chaque satisfaction exigeait un sacrifice, chacun ne pouvant s'obtenir qu'au prix d'un sacrifice, d'un renoncement, d'une absence: Dans le plaisir l'homme perd la conscience, dans la connaissance conceptuelle il perd l'existence et dans le devoir il sacrifie sa générosité restreinte. Seule la contemplation esthétique permet le libre jeu de l'entendement et de la sensibilité sans que l'un sacrifie l'autre. Personne pour amener l'amateur à se juger: tu es nul, tu as fait une erreur, une faute. Et le poète Paul Valéry d'affirmer: "Mes vers ont le sens qu'on leur prête". Les facultés perceptives et intellectuelles jouent librement et ce jeu s'apparaît à lui-même comme pouvoir de penser au sens large, de mieux percevoir, d'imaginer, d'interpréter, d'expliquer, de comprendre dans l'unité d'un être raisonnable sensiblement affecté qui en appelle à autrui comme à son semblable en affirmant c'est beau. C'est l'existence et l'humanité qui sont exaltées: la satisfaction éprouvée est en effet épreuve de la plénitude de sa propre existence comme liberté et exigence d'une communauté avec ses semblables. L'universalité du jugement esthétique apparaît donc comme la conséquence de la liberté, de l'existence. La satisfaction est comparable à celle d'un jeu où l'on se passerait une balle: telle interprétation que l'amateur découvre l'amène à mieux voir et telle image qu'il perçoit suscite une interprétation et ce jeu anime la contemplation, tant qu'elle dure. C'est dire que l'art et le beau sont liés par l'activité créatrice d'une subjectivité qui prend conscience de sa liberté créatrice et s'affirme comme esprit (interprétation) et corps (image) réconciliés. - Le beau et la représentation. Quand on dit qu'une oeuvre est représentation, ce peut être au sens de reflet d'un modèle naturel donné ou résultat d'une activité originale, d'un style d'une manière de voir. Dans le premier cas la représentation est une simple image, le redoublement d'une apparence: le sensible est présenté une seconde fois (vu, puis reproduit). La représentation devient alors le résultat d'une double déformation, d'un double aveuglement: l'image comme forme sensible d'une chose et la représentation, la peinture de cette chose. La représentation serait alors l'apparence d'une apparence sans que rien ne puisse indiquer en elle le coefficient de déformation qu'elle porte en soi si le modèle ne peut jamais être atteint. Kant écarte cette première acception qui fait de l'œuvre une mauvaise peinture en affirmant que l'art n'est pas la représentation d'une belle chose. Il écarte le problème de la participation au Beau et centre la recherche sur l'origine de la représentation: dire que le beau est la belle représentation d'une chose c'est donner à l'art la caractéristique essentielle d'être une activité créatrice ayant pour fin une "belle représentation". Si l'art est la belle représentation d'une chose il vise la production du beau qui ne peut relever que de l'artiste, d'un style, d'un génie: cela revient à faire varier l'essence même de la représentation: c'est bien moins un effort de reproduction qu'un effort de production, de création. L'art devient de ce fait inséparable de l'œuvre belle. La représentation peut bien désigner alors la figuration consciente de l'extériorité ou de l'intériorité, mais dans les deux cas sa vérité est celle de la subjectivité créatrice. Le beau est donc, selon la remarque de Kandinsky, ce qui est beau intérieurement. C'est dire que l'art exprime ce qui s'éprouve soi même hors de toute distance, immédiatement: la belle représentation ne serait donc plus la peinture du visible mais, si l'on peut dire, l'expression de l'invisible, de l'intériorité, de ce qui ne pourra jamais être vu. C'est dire que la subjectivité de l'artiste constitue le "lieu" où se manifeste et s'accomplit la vérité de l'art. Le contenu et la forme de l'oeuvre relève de la subjectivité affranchie du devoir de représenter une nature matérielle morte qui lui préexisterait et lui dicterait le contenu et la forme faisant ainsi disparaître le beau. Le beau n'accompagnerait la représentation que grâce à la "manière", au style de l'artiste. La représentation est belle quand elle devient expression: le beau c'est une forme déterminée par un contenu invisible. C'est reconnaître l'artiste comme capable d'une activité dans laquelle la liberté s'oriente vers la vérité d'un monde nouveau dans lequel il représente sa quête de l'infini, dans lequel il mire son intériorité. Le beau n'est donc pas le lieu de la règle mais le lieu des idées, d'une finalité sans fin, irrécupérable par les dogmatismes, comme si l'œuvre belle n'avait d'autre fin qu'elle même, symbole de l'harmonie que seule la liberté partagée peut tisser dans l'humanité. Autant dire que l'artiste est le créateur par qui apparaît un monde des possibilités qu'il porte en lui, celui de la vie, de ce qui s'éprouve soi-même et donne forme à la vie en produisant une oeuvre vivante. Il ne copie pas la nature (à quoi bon?), il n'abdique rien parce que le soi ne peut se séparer de soi: il donne la vie en enfantant la beauté, la vie de l'œuvre qui se recueille en elle-même dans sa plénitude comme si l'artiste donnait à voir l'invisible. Si l'artiste n'imite pas la nature, il crée un monde où la vie s'éprouve dans la jubilation partagée du créateur et de l'amateur de. Voilà pourquoi l'artiste élargit notre capacité d'admiration, il nous fait comprendre la nature en peuplant ce "cadavre de Dieu", en rassemblant les vivants. Sans concept, la beauté ne se prouve pas: la beauté n'a de but qu'elle-même et, comme la Vie, comme l'existence, elle est gratuite, c'est un don. Parce qu'elle n'a de but qu'elle même comme la vie elle est immortelle: "comme un rêve de pierre"? Certaines parties devraient t'être bénéfiques, y compris pour d'autres sujets. Bon courage
sam17 Posté(e) le 20 mars 2005 Auteur Signaler Posté(e) le 20 mars 2005 merci je vais commencer tout d'abord par ça et on verra si j'ai encore besoin de vous!!merci beaucoup
sam17 Posté(e) le 11 avril 2005 Auteur Signaler Posté(e) le 11 avril 2005 bonjour! alors voilà j'ai trouvé pas mal d'idées sur ce sujet dont voici les idées principales: -talent=faculté inné=privilège -il faut être libre d'esprit =>liberté -sorte d'évasion=libération dans expression de la détresse et de leur espoir (chants d'esclave...) -il faut une culture et du temps pour comprendre l'art=luxe -c'est un jeu=invention,improvisation,plaisir -permet l'immortalité à travers une oeuvre d'esprit or l'art est une oeuvre d'esprit -art=miroir de l'esprit -point de vue intérieur=celui de l'artiste -point de vue extérieur=celui du spectateur, de l'amateur voici mes différentes problématiques mais j'en suis pas sûre! Qu'est ce que l'art?à quoi sert il?a quel moment est il le plus efficace? a qui profite -t-il? quelles sont les fonctions de l'art?Quand peut on parler de luxe? mais je trouve vraiment pas de plan correct! pouvez vous m'aider? merci beaucoup
E-Bahut greenland Posté(e) le 12 avril 2005 E-Bahut Signaler Posté(e) le 12 avril 2005 slt ! juste une petite idée sur ton devoir ... tu pourrais parler de "l'art brut" , l'art vennant d'artiste n'ayant aucune culture , un art or norme , influencé par rien. un exemple d'art brut : l'oeuvre du facteur cheval , "le palais des halles". Un homme boulanger , puis facteur qui ne savais ni lire ni écrire , qui n'avait aucune notion d'architecture ou de sculpture et qui a bati un immense palais . Cela lui pris 30 ans de sa vie ... au début des année 1900. Cet exmple pourrait illustrer le fait que l'art n'est pas un luxe, mais accessible a tous , meme aux "incultes ou idiots" . voila bon courrage !! greenland
sam17 Posté(e) le 13 avril 2005 Auteur Signaler Posté(e) le 13 avril 2005 ce n'est pas trop les idées ki me manque mais une problématique! merci
E-Bahut greenland Posté(e) le 13 avril 2005 E-Bahut Signaler Posté(e) le 13 avril 2005 he bien , la question "l'art est-il un luxe" me semble une bonne problématique , non ? par la suite en définissant bien les termes , comme tu l'as déja fais , les choses devraient te paraitre plus claires ...? Qu'est ce qui te pose problème dans la problématique ? greenland
sam17 Posté(e) le 14 avril 2005 Auteur Signaler Posté(e) le 14 avril 2005 c'est bizar de mettre juste comme problématique l'art est il une luxe? parce que moi j'ai l'habitude de faire ma problématique en plusieurs questions et en général ça plait bien au prof et mon plan sera une thése antithèse donc je sais pas trop, en générale, c'est le seul truc que j'arrive à faire mais là je n'y arrive vraiment pas!!!
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 15 avril 2005 E-Bahut Signaler Posté(e) le 15 avril 2005 -talent=faculté inné=privilège -il faut être libre d'esprit =>liberté -sorte d'évasion=libération dans expression de la détresse et de leur espoir (chants d'esclave...) -il faut une culture et du temps pour comprendre l'art=luxe -c'est un jeu=invention,improvisation,plaisir -permet l'immortalité à travers une oeuvre d'esprit or l'art est une oeuvre d'esprit -art=miroir de l'esprit -point de vue intérieur=celui de l'artiste -point de vue extérieur=celui du spectateur, de l'amateur voici mes différentes problématiques mais j'en suis pas sûre! Qu'est ce que l'art?à quoi sert il?a quel moment est il le plus efficace? a qui profite -t-il? quelles sont les fonctions de l'art?Quand peut on parler de luxe?
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