petite Pucca Posté(e) le 13 décembre 2004 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2004 bonjour, je suis en 1ère S et voici les textes que je dois étudier. -de l'esclavage des nègres ( montesqieu, esprit des lois) -le nègre de Surinam ( voltaire, candide extrait du chapitre 19) -article ( de jaucourt "traite des Nègres") voici les questions: n°1:etudier le système d'énonciation dans le texte de montesqieu n°2:comparer les 3 stratégies argumentatives n°3:etudier les registres du texte de voltaire
E-Bahut Vanderbick Posté(e) le 13 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 13 décembre 2004 Euh... j'ai un problème avec ton fichier joint, le texte y est illisible! Sinon, pourrais-tu avancer ce que tu as déjà trouver pour que l'on puisse voir ce qui est faux ou ce qui te manque ?
petite Pucca Posté(e) le 14 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 14 décembre 2004 le nègre de surinam
petite Pucca Posté(e) le 14 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 14 décembre 2004 de l'esclavage des nègres je vous vous mettre mes réponses aux questions un peu plus loin
petite Pucca Posté(e) le 15 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 15 décembre 2004 Question 1 : Le système d’énonciation choisi par Montesquieu dans cette extrait de l’esprit des lois n'est pas classique. Il ne s'adresse pas directement au lecteur et n'utilise pas la deuxième personne. Dans sa première phrase , il nous fait comprend que c’est un esclavagiste qui parle, désigné par les pronoms « je » et « nous » « si j’avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce que je dirais ». Celui-ci s’adresse à un destinataire , à savoir le lecteur car il utilise le pronom inclusif « on » qui vise à impliquer le destinataire dans ce texte a visé argumentative. Le locuteur n’est pas sur quand il parle de la manière les peuples d’Europe on pris en esclavage les noirs pour cultiver leurs terres « ils ont dû […] ». Par contre nous pouvons voir qu’il est persuadé, qu’il ne peut y avoir aucun doute sur le point de vue que les noirs ne puissent être des hommes « il est impossible […], ce qui nous montre que le locuteur est bien encore une fois un esclavagiste déterminé. Cet extrait contient un grand nombre de valeurs de jugements. « ils ont le nez si écrasé qu’il est presque impossible de les plaindre. » « mis une âme, surtout bonne, dans un corps tout noir ». Le locuteur porte un jugement dévalorisant sur les noirs, ses jugements sont physique moraux et religieux. s'il vous plait aider moi c super important
petite Pucca Posté(e) le 15 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 15 décembre 2004 au fait c surtout la deuxième question ou j'ai du mal ... la prmière ça va et la dernière aussi je l'ai faite .
petite Pucca Posté(e) le 15 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 15 décembre 2004 question 2: Montesquieu, dans son premier paragraphe présente la situation de communication. Montesquieu présente celle-ci sous forme d’hypothèse : « Si j’avais à soutenir […] » (Si +imparfait+conditionnel) ce qui entretient une ambiguïté puisque cette tournure peut exprimer à la fois le potentiel et l’irréel. Dans la logique de ce qui est annoncé, il développe en neuf parties, les arguments. · 2 arguments historiques et économiques situant le problème au niveau du travail · 2 arguments d'ordre racial (l.7-10) · 2 arguments fondés sur un raisonnement par analogie liés à la sagesse des nations (l.11-17) · 1 argument sociologique (l.18-20) · 2 arguments religieux et politiques faisant culminer la thèse des esclavagistes et l'indignation de Montesquieu On voit donc que la stratégie utilisée consiste à démonter de l'intérieur chaque argument des esclavagistes en montrant son ineptie. Reste qu'en parallèle, Montesquieu maîtrise aussi parfaitement tous les outils rhétoriques, et ceci rend son texte plus efficace.
petite Pucca Posté(e) le 15 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 15 décembre 2004 Jaucourt "la traite des nègres" pour la deuxième question
petite Pucca Posté(e) le 21 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 21 décembre 2004 Jaucourt "la traite des nègres" pour la deuxième question <{POST_SNAPBACK}>
E-Bahut Vanderbick Posté(e) le 21 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 21 décembre 2004 En ce qui concerne le développement des arguments pour la question 2, je pense que ta réponse est correcte. Le fait est que, je ne comprends pas pourquoi ni dans quel but tu introduis le texte de Jaucourt. Je te pries de bien vouloir m'éclairer....
petite Pucca Posté(e) le 22 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 22 décembre 2004 Et bien pour commencé merci de me répondre !!! et pour répondre a ta question , dans la question n°2 il faut étudier les 3 stratégies argumentatives des trois textes .
petite Pucca Posté(e) le 22 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 22 décembre 2004 déja merci de bien vouloir me répondre ! :P il faut utiliser le texte de jaucourt dans la question n°2 ou il faut étudier la stratégie argumentatives dans les trois textes.
E-Bahut Vanderbick Posté(e) le 22 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 22 décembre 2004 Alors, étudions donc la stratégie argumentative de Jaucourt (si j'ai bien compris, c'est cela ce que tu demandes... ) Tout d'abord, le fait que cet article soit publié dans l'Encyclopédie est à souligner. Le lecteur peut d'emblée s'attendre à un écrit un tant soit peu objectif. Or, l'auteur utilise l'adjectif "malheureux" pour qualifier les esclaves, ce qui est loin d'être considéré comme objectif. De plus, la phrase qui suit explicite clairement la position de Jaucourt allant à l'encontre du commerce d'esclaves. Il fait appel à un argument où il accuse les Européens de violer des lois qu'ils ont eux-mêmes longuement défendues et se sont soumis à leur régence, et qui ne sont autres que "la religion, la morale, les loix naturelles et tous les droits de la nature humaine" Par ailleurs, l'auteur use d'une phrase apposée emplie d'ironie qui vient mettre en relief ce premier argument. Ainsi, ce sont bien les européens (et parmi eux cet anglais), se prétendant être "moderne et plein de lumière et d'humanité", qui violent les rudiments même de l'humanité. S'ensuit un paragraphe où Jaucourt démontre l'absence de légitimité dans tout commerce tochant de près ou de loin l'esclavagisme. D'autre part, Jaucourt considère l'esclavagisme tel un crime, qui de ce fait ne peut en aucun cas être justifié, qui plus est par "un prinicpe de morale". De même, c'est un crime du fait qu'on ne peut disposer du sort d'un être humain, et le faire c'est le considérer comme un bien, ce qui n'est en aucun cas le cas. De surcroît, la liberté des hommes ne peut être un "objet de commerce", et si un homme la considère comme telle, c'est qu'il est non seulement en tort, mais ans l'illégalité. Je te prie de bien vouloir m'excuser, je finirai ce travail dans peu de temps... A bientôt.
petite Pucca Posté(e) le 27 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 27 décembre 2004 merci beaucoup ton aide m'est précieuse et tu as déja fais beaucoup si tu ne peux pas finir c'est pas grave grand merci a toi ! bonne fête et bonne année
E-Bahut Vanderbick Posté(e) le 27 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 27 décembre 2004 Merci beaucoup... Donc, je continue... L'auteur affirme que la liberté de l'homme est une chose qu'il porte toujours en ui, et dont personne ne dipsose, même pas la personne elle-même. De ce fait, il accuse les juges européens d'injustice du fait qu'ils n'affranchissent pas les esclaves qui sont des humains comme eux. Par ailleurs, Jaucourt remet en cause les lois faisant des hommes esclaves lorsqu'ils ne sont plus sur leur territoire, en s'indignant quant à l'absurdité de ces lois qui branlent les droits de l'humanité et violent les "lois éternelles de l'équité". De même, l'auteur dénonce l'esclavagisme comme un dépuoillment de l'espèce humaine servant uniquement la vanité et l'avarice. Et la suppresssion de l'esclavage ne risque en aucun cas de détruire les colonies, mais bien au contraire, à long terme elle aura beaucoup d'avantages. D'autre part, l'auteur juge que la traite des nègres fut un obstacle au peuplement rapide et au fleurissement industriel de l'Amérique, car en opprimant ces populations, leurs talents, arts et industries furent d'emblée supprimés. Voilà!
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