sophie p Posté(e) le 5 décembre 2004 Signaler Posté(e) le 5 décembre 2004 BONJOUR ,je dois répondre à cette problématique .. en quoi le culte du corps peut il devenir obsessionnel ? Toutes les réponse seraient les biens venues.merci d 'avance
E-Bahut clems Posté(e) le 5 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 5 décembre 2004 le culte du corps dans la littérature?
sophie p Posté(e) le 6 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 6 décembre 2004 non dans le cadre des tpe.dans la vie quotidienne
dodix Posté(e) le 6 décembre 2004 Signaler Posté(e) le 6 décembre 2004 BONJOUR ,je dois répondre à cette problématique .. en quoi le culte du corps peut il devenir obsessionnel ? Toutes les réponse seraient les biens venues.merci d 'avance <{POST_SNAPBACK}>
E-Bahut Mirrotev Posté(e) le 6 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 6 décembre 2004 Les TPE doivent recouper au moins deux matières. Si tu choisis le français je crois qu'il y a quelque chose d'original et de tout à fait en adéquation à creuser. Je m'explique. Dans Hygiène de l'assassin d'Amélie Nothomb, Pretextat Tach est une espèce de stéréotype de l'écrivain graisseux qui se fiche éperduement de ce à quoi il ressemble puisque les seules interactions qu'il a avec l'extérieur sont ses écrits. En fin de vie, il finit par accepter la visite de quelques intervieweurs Je pense que cette figure mérite d'être analysée et exploitée. Plus généralement, dans toute l'oeuvre d'Amélie Nothomb, on ressent bien son attachement à l'apparence physique. Dans Biographie de la faim (son dernier bouquin) par exemple, elle raconte (entre autres) son rapport à l'anorexie, anorexie qui est ineluctablement liée à une certaine forme du culte du corps.
sophie p Posté(e) le 8 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 8 décembre 2004 MERCI POUR VOS Réponses mes mon thème n 'est pas localisé dans le littéraire mais plutot dans la vie quotidienne.
E-Bahut Mirrotev Posté(e) le 10 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 10 décembre 2004 MERCI POUR VOS Réponses mes mon thème n 'est pas localisé dans le littéraire mais plutot dans la vie quotidienne. <{POST_SNAPBACK}>
E-Bahut emma13 Posté(e) le 11 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 11 décembre 2004 le site www.centretpe.com contient plein de tpe, peut etre en trouveras tu un qui se rapporte à ton thème. Il y aussi le site www.philagora.net ou tu peux trouver un forum pour les tpe, l'endroit sera plus approprié qu'ici pour demander de l'aide.
E-Bahut Vanderbick Posté(e) le 11 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 11 décembre 2004 Voici quelques faits en ce sui concerne la France : Avec 14 millions de Français en surpoids, dans une société stressée et individualiste, qui a le culte de la performance et de la minceur, se sentir bien dans son corps va aujourd'hui au-delà de la simple préoccupation esthétique. A l'approche de l'été, les envies de mincir et de bien-être se font encore plus pressantes... Etre bien dans son corps, bien dans sa tête. L'homme moderne se doit de répondre à des injonctions contradictoires, toujours plus exigeantes : consommez mais éliminez, être hyper productif mais rester calme, adhérer au culte du "nomadisme" tout en restant sédentaire... Conséquence de ce diktat de l'apparence et de la performance, tout ce qui peut aider à faire maigrir, embellir, détendre, relaxer se vend comme des petits pains. Les régimes en tous genres se superposent aux cures thermales classiques ou ayurvédiques, au massage thaï ou au yoga, aux produits allégés ou enrichis en vitamines... Chacun peut trouver désormais son bonheur dans le supermarché de la course au bien-être... Mais le porte-monnaie ne suit pas toujours. Ainsi, le mangeur moderne, soumis au "consommez/soyez mince" a de quoi "craquer". Depuis peu, le discours médical est venu alimenter la pression sociale autour de la minceur, jusqu'à fortement s'en imprégner, affirme le professeur Arnaud Basdevant, chef du service Nutrition à l'Hôtel-Dieu de Paris. Etre gros est physiquement laid, moralement condamnable et en plus, très dangereux pour la santé... D'où, une accusation du "gros" devenu véritable "délinquant nutritionnel". Résultat de cet état d'esprit moderne : près de la moitié des femmes (et 75 % des 18-24 ans) considèrent qu'"être mince est une obligation pour être dans la norme", selon une étude intitulée "Corps de femmes sous influence", lancée par l'Observatoire Cidil des habitudes alimentaires en 2003. Une femme sur deux est habituée aux régimes très tôt (48 % des 18-24 ans en ont déjà fait au moins quatre), dans une logique de contrôle de soi, de surveillance et de domination du corps au quotidien. Pour l'anthropologue Annie Hubert, chercheur au CNRS, ce "culte obsessionnel de la minceur, inculqué aux femmes dès leur plus jeune âge, a remplacé le carcan du corset de nos arrière-grand-mères, les pieds bandés des Chinoises, les cous allongés des Karens d'Asie du Sud-Est"...
sophie p Posté(e) le 18 décembre 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 18 décembre 2004 merci àn tous pour vos réponses . à bientot
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