Aurélie57 Posté(e) le 27 octobre 2004 Signaler Posté(e) le 27 octobre 2004 aidez moi je vous en supli je ne compren rien du tout!!!!!!!!! pitité c pr la rentré
Kam[ahl] Posté(e) le 27 octobre 2004 Signaler Posté(e) le 27 octobre 2004 Avis : Bonjours, je pense que ca sujet traite du debat l'utilisation de l'assistance publique ( telle que la securité sociale ) ou l'utilisation d'un service privé. Il faut debatre sur la notion de "juste" selon divers points de vue.
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 27 octobre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 27 octobre 2004 L'analyse législative constitue l'essentiel de ce mémoire qui débute par un volet historique faisant état de l'apparition des premières formes d'assistance de l'État en Grande-Bretagne, puis de leur remise en question par le libéralisme économique au XIXe siècle. Après la crise de 1929, la publication des thèses économiques de Keynes et des travaux de Beveridge sur la sécurité sociale insuffleront une poussée en faveur de l'État-providence qui deviendra le cadre de la reconnaissance de ce droit. Le droit à l'aide sociale sera d'abord reconnu sur la scène internationale, notamment par la Déclaration universelle des droits de l'homme en 1948. Au Québec, c'est au cours des années 1960 que sera élaboré un droit à l'assistance basé sur les besoins des personnes. En 1969, la Loi de l'aide sociale qui s'inscrit dans le cadre du Régime d'assistance publique du Canada mis en place en 1966 consacre le droit à la satisfaction des besoins fondamentaux, mais laisse aussi une grande place à l'incitation au travail. Les modifications apportées par la suite à la législation verront le droit à l'aide sociale céder de plus en plus de place à l'incitation au travail. Dans les années 1970, les gouvernements occidentaux remettent en question les avancés de Keynes à l'effet que l'État doit jouer un rôle important dans l'économie, et postulent que l'État-providence doit être abandonné au profit d'une vision néo-libérale favorable à la mondialisation des marchés. Le droit à l'aide sociale est alors remis en cause. C'est dans ce nouveau contexte que la Loi sur la sécurité du revenu est adoptée en 1988. Cette loi privilégie la nouvelle approche de l'employabilité pour répondre davantage aux besoins du marché d'avoir une main-d'oeuvre à rabais. L'aide n'est plus accordée d'abord pour couvrir les besoins des personnes assistées sociales, mais elle varie en fonction de l'aptitude au travail des personnes et de leur volonté de participer à une mesure d'employabilité. La loi est de plus en plus coercitive afin de forcer les personnes assistées sociales à travailler à des salaires de plus en plus bas, malgré un chômage endémique et un marché du travail qui ne permet pas l'intégration de toutes ces personnes. Ce profond changement constitue un net recul du droit québécois face à l'aide sociale. Non seulement la Loi sur la sécurité du revenu contrevient-elle à certaines dispositions du Régime d'assistance publique du Canada, mais elle porte atteinte à certains droits et libertés protégés par plusieurs textes fondamentaux, comme les chartes québécoise et canadienne des droits. Enfin, les changements législatifs qui ont suivi l'entrée en vigueur de la Loi sur la sécurité du revenu et le récent désengagement social de l'état fédéral ne laisse présager rien de bon pour l'avenir du droit à la satisfaction de ses besoins fondamentaux. L'avenir du droit à l'aide sociale réside dans sa reconnaissance par l'État et par les tribunaux comme un droit fondamental de tout citoyen.
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 28 octobre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 28 octobre 2004 fait remonter ton sujet si tu veux en discuter. si tu repostes, on ne sait pas ce qui a ete dit. faut debatre sur la notion de "juste" selon divers points de vue.
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 28 octobre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 28 octobre 2004 place toi du point de vu de celui qui paye l'assistance et celui qui la recoit. du point de vu de ceux qui payent pour l'assistance publique, est ce que cette assistance publique leur hote de la liberte. On ne leur laisse pas decide si ils veulent aider les autres ou non. Est-ce juste de les forcer a aider d'autre personnes sans les laisser decider qui ils veulent aider. Un chretien preferait aider un autre chretien etc. Aider un non chretien, c'est faire le travail du diable? qu'est-ce qu'un system juste. Si tu ne savais pas a l'avance si tu serais une personne qui aurait besoin d'assistance, quel system preferrerais tu. N'est ce pas la le systeme le plus juste a priori. Ou bien est ce que le systeme le plus juste est le system qui aide le plus de personnes, ou la majorite des personnes. -- dans ce cas, moins d'impot est mieux? si tu es la personne qui recoit de l'assistance, et que cette assistance est privee. Est-ce juste si tu ne recois pas d'aide parceque que tu n'es pas chretien, ou bien parceque tu es homo ou bien fils d'immigre...? quelles questions te posent tu?
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 28 octobre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 28 octobre 2004 la j'avoue que je m'y conais pas du tout a tout ca, je m'y suis pas interesser, et ca m'interesse pas du tout d'ailleurs. j'ariverai jamais a faire ce sujet
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 31 octobre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 31 octobre 2004 Si tu postes sur ton message, cela le fait remonter. en principe je ne reponds pas aux demandes d'aides sur mon MP. a charité privée fonctionne sur la base du volontariat. Chacun décide librement de donner le montant ou les denrées qu'il juge appropriés pour la cause – et uniquement pour celle-ci – qu'il valorise. Les oeuvres se font concurrence pour obtenir la faveur des donateurs, et ceux-ci ont le choix de donner à celles qu'ils jugent bien gérées et efficaces dans l'atteinte d'un but précis. Un don n'est par ailleurs jamais purement « gratuit » mais rejoint plutôt les intérêts personnels des donateurs. Ceux-ci ont, sur la base de principes éthiques ou de croyances religieuses, le sentiment de contribuer d'une autre façon au bien-être de la communauté, et en retire des gratifications psychologiques. En ce sens, le fonctionnement du « marché de la charité privée » n'est pas si différent de celui des autres types de marché dans une économie capitaliste.
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