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Antoine_JOREST

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  1. Merci beaucoup vous m'avez grandement aidé. Je vais essayer de rédiger les réponses Bonne soirée
  2. Merci beaucoup, vous êtes d'une grande aide. Pour la question j'ai dit "elle permet de Présenter le cadre de l'action en en faisant découvrir le lieu, l'époque et les personnages. Elle permet de saisir la personnalité des personnages et d'avoir une vision d'ensemble des objets qui les entourent et des lieux dans lesquels ils évoluent" Pensez vous que c'est juste?
  3. Merci beaucoup Et le mal de Virginie à un rapport avec l'été tropical?
  4. Bonjour, j'ai tenté de développé la description du paysage J'ai dit "le paysage nourrit l'imaginaire du lecteur en le transportant dans les contrées lointaines" Mais j'ai l'impression que je ne répond pas à la question.
  5. Bonjour, j’ai un dm à rendre pour demain en philosophie, mais je n’y arrive pas. Pouvez vous m’aider s’il vous plaît. Merci QUESTIONS: Étudiez la description de l’été tropicale : est-elle imaginaire ou réel ? Justifiez Quelle est la fonction de cette description à votre avis ? De quel mal souffre Virginie selon vous ? Justifiez Voici le texte à étudier: Lors d'un été partieulièrement chaud, I'héroine du roman, Virginie, qui vit, loin de la société corrompue, sur l'ile de France (rile Maurice aujourdhui, est troublée. Un de ces étés qui désolent de temps à autre les terres disposées entre les tropiques vint étendre ici ses ravages. C'était vers la fin de décembre, I lorsque le soleil au capricorne échauffe pendant trois semaines l'ile de France de ses feux verticaux. Le vent du sud-est qui y règne presque toute l'année n'y soufflait plus. De longs tourbillons de poussière s'élevaient sur les chemins, et restaient suspendus en l'air. La terre se fendait de toutes les parties: herbe était brülée: des exhalaisons chaudes sortaient du flanc des montagnes, et la plupart de leurs ruisseaux étaient desséchés. Aucun nuage ne venait du côté de la mer. Seulement * pendant le jour des vapeurs rousses s'élevaient de dessus ses plaines, e paraissaient au coucher du soleil comme les flammes d'un incendie La nuit même n'apportait aucun rafraichissement à atmosphère embrasée7 L'orbel de la lune, tout rouge, se levait, dans un horizon embrumé, d'une grandeur démesurée. Les troupeaux abattus sur les flancs des collines, le * cou tendu vers le ciel, aspirant l'air, s'intéresse retentir les vallons de tristes mugissements. Le café mėme qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraicheur: mais partout le sol était brûlant, et l'air étouffant retentissait du bourdonnement des insectes qui cherchaient à- se désaltérer dans le sang des hommes et des animaux. Dans une de ces nuits ardentes, Virginie sentit redoubler tous les symptômes de son mal. Elle se levait, elle s'asseyait, elle se recouchait, et ne se développe dans aucune attitude ni le sommeil, ni le repos. Elle s'achemine, à la clarté de la lune, vers sa fontaine; elle en aperçoit la source qui, malgré la sécheresse. coulait encore en filets d'argent sur les flancs bruns du rocher. Elle se plong o coulait encore en filets d'angent oria * dans son bassin. D'abord la fraicheur ranime ses sens, et mille souveniro agréables se présentent à son esprit. Elle se rappelle que dans son enfance sa mère et Marguerite s'amusaient à la baignade avec Paul dans ce même lieu.
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