gadjio03 Posté(e) le 6 mars 2004 Signaler Posté(e) le 6 mars 2004 bonjour j'aimerais comprendre le snes de comedie au theatre, et en quoi Dom Juan en est une? voilà merci d'avance
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 6 mars 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 6 mars 2004 as tu cherche sur l'encyclopedie en ligne de yahoo?
gadjio03 Posté(e) le 6 mars 2004 Auteur Signaler Posté(e) le 6 mars 2004 non je ne suis pas au courrant... j'y vais voir
stabiza Posté(e) le 3 avril 2004 Signaler Posté(e) le 3 avril 2004 coucou g rien trouvé sur yahoo pour la comédie!!!
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 3 avril 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 3 avril 2004 que veux tu dire tu n'as rien trouve la comédie est un genre dont les frontières sont insaisissables, comme celles du rire qu'elle cherche à provoquer par ses personnages caricaturaux, son intrigue à rebondissements et au dénouement heureux. Résolument allègre et débridée à ses débuts, elle va évoluer, à travers ses sujets pris à la réalité quotidienne, vers des situations de plus en plus dramatiques, voire tragiques http://fr.encyclopedia.yahoo.com/articles/ma/ma_2479_p0.html La comédie «sérieuse» Genre intermédiaire entre la comédie comique et le drame, la comédie devient «sérieuse» lorsque le souci de la nuance se manifeste à la fois dans le choix des personnages (des individus ni tout à fait bons ni tout à fait méchants et intéressants en eux-mêmes) et dans la description de leurs relations interpersonnelles (d'une plus grande complexité psychologique); en même temps, les événements relatés se conforment davantage aux critères de la vraisemblance. Le jeu d'acteur comme l'écriture s'inscrivent alors dans le style du réalisme. Le rire n'est plus omniprésent dans la comédie sérieuse, mais il n'en disparaît pas pour autant. Plus individuel, plus fragmenté et plus instable (on rit et on pleure du même personnage), il change, en réalité, de nature: au lieu d'être spontané et d'exprimer un jugement social, comme dans la farce, il se transforme souvent en sourire, devient ironique, grinçant ou amer, ne réagissant plus simplement à des situations comiques mais à une forme d'humour plus subtile. Lorsque les meneurs d'intrigue, qui n'appartiennent pas (ou pas tout à fait) au parti des «bons», sortent victorieux au dénouement, le rire se fige, et le ton vire au grinçant, comme chez Machiavel (la Mandragore) ou, bien plus tard, chez Becque (la Parisienne), ou encore dans la «comédie rosse» de l'époque 1900. De même, le rire cesse brusquement pour céder la place à une émotion, gaie ou triste, lorsque l'intrigue, mettant en difficulté un héros sensiblement plus crédible et plus attachant que le «type», prend un tournant dramatique: ainsi en va-t-il de la «comédie» espagnole du Siècle d'or (Lope de Vega), des tragi-comédies de Corneille, du Misanthrope et du Dom Juan de Molière, ou du théâtre romantique.
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