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maël - missme

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Bonjour,

j'ai commencé à lire la dimension fantastique 1.

Je résume les nouvelles pour m'en souvenir pour le jour de l'évaluation de lecture.

Pouvez-vous, me corriger, s 'il vous plaît ? Merci

 

La Cafetière, Théophile Gautier

Le narrateur,  Théodore, et deux de ses amis sont invités à passer quelques jours en Normandie. Ils arrivent tard et il pleut, c’est l’automne. Après le souper, le narrateur découvre sa chambre, meublée à l’ancienne mode mais pourtant des objets comme les peignes, la tabatière et les robes semblent avoir encore servi la veille. Il se couche sans trouver le sommeil.

Petit à petit, la pièce s’anime. Théodore voit avec horreur  tous les éléments de sa chambre prendre vie : les fauteuils et même la cafetière. Un personnage sortit du cadre d’un tableau, prend une clé et ouvre tous les autres cadres pour en faire sortir les occupants. Le narrateur ne sait que penser : ce qu’il voit est-il un rêve ou la réalité ?

Après avoir pris le thé,  à minuit, la voix de la pendule annonce qu’il faut danser. Les personnages se mettent donc à danser sur une musique rapide jouée par les musiciens des tapisseries de la chambre. Le narrateur les observe puis remarque une jeune et jolie jeune femme restée à l’écart. Elle s’appelle Angéla. Il tombe immédiatement amoureux d’elle, ne la quitte plus du regard et réussit à danser avec elle jusqu’à ce qu’elle soit épuisée. Ils décident de s’asseoir. Il la prend sur ses genoux. Il la contemple. Au chant de l’alouette, Angéla se relève et tombe à terre. Théodore se précipite pour la rattraper mais là où se trouvait la jeune femme, il ne trouve qu’une cafetière brisée en mille morceaux. La peur saisit le narrateur qui s’évanouit.

A son réveil, il est entouré de ses amis et dans un accoutrement ridicule. Il pense qu’il a rêvé tout ce qui est arrivé.  Il sort son carnet à dessin et trace s’en apercevoir les contours de la cafetière qui était dans sa chambre. L’hôte lui indique alors que ce qu’il dessine ressemble fort au visage de sa sœur, Angela, morte deux ans plus tôt à la fin d’un bal. Théodore est désespéré car il ne connaîtra plus jamais le bonheur.

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  • E-Bahut
il y a 12 minutes, maël - missme a dit :

Bonjour,

j'ai commencé à lire la dimension fantastique 1.

Je résume les nouvelles pour m'en souvenir pour le jour de l'évaluation de lecture.

Pouvez-vous, me corriger, s 'il vous plaît ? Merci

 

La Cafetière, Théophile Gautier

Le narrateur,  Théodore, et deux de ses amis sont invités à passer quelques jours en Normandie. Ils arrivent tard et il pleut, c’est l’automne. Après le souper, le narrateur découvre sa chambre, meublée à l’ancienne mode mais pourtant des objets comme les peignes, la tabatière et les robes semblent avoir encore servi la veille. Il se couche sans trouver le sommeil.

Petit à petit, la pièce s’anime. Théodore voit avec horreur  tous les éléments de sa chambre prendre vie : les fauteuils et même la cafetière. Un personnage sortit du cadre d’un tableau, prend une clé et ouvre tous les autres cadres pour en faire sortir les occupants. Le narrateur ne sait que penser : ce qu’il voit est-il un rêve ou la réalité ?

Après avoir pris le thé,  à minuit, la voix de la pendule annonce qu’il faut danser. Les personnages se mettent donc à danser sur une musique rapide jouée par les musiciens des tapisseries de la chambre. Le narrateur les observe puis remarque une jeune et jolie jeune femme restée à l’écart. Elle s’appelle Angéla. Il tombe immédiatement amoureux d’elle, ne la quitte plus du regard et réussit à danser avec elle jusqu’à ce qu’elle soit épuisée. Ils décident de s’asseoir. Il la prend sur ses genoux. Il la contemple. Au chant de l’alouette, Angéla se relève et tombe à terre. Théodore se précipite pour la rattraper mais là où se trouvait la jeune femme, il ne trouve qu’une cafetière brisée en mille morceaux. La peur saisit le narrateur qui s’évanouit.

A son réveil, il est entouré de ses amis et dans un accoutrement ridicule. Il pense qu’il a rêvé tout ce qui est arrivé.  Il sort son carnet à dessin et trace s’en apercevoir les contours de la cafetière qui était dans sa chambre. L’hôte lui indique alors que ce qu’il dessine ressemble fort au visage de sa sœur, Angela, morte deux ans plus tôt à la fin d’un bal. Théodore est désespéré car il ne connaîtra plus jamais le bonheur.

 

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Merci Micheline

un personnage sort du livre

je continue

 

Le portrait ovale, Edgar Poe

Le narrateur, blessé et son valet passent la nuit dans un château abandonné perdu au milieu des montagnes italiennes.  Ils s’installent dans l’une des chambres décorée de tableaux. Le narrateur se couche et commence la lecture d’un livre trouvé sur la table de nuit décrivant l’ensemble des tableaux du château.

A minuit, en déplaçant le candélabre, il aperçoit dans une niche, un tableau qui retient son attention : ce portrait ovale représente une femme. E narrateur est plongé dans une grande stupeur car ce portrait semble vivant.

Le narrateur reprend alors le livre qu’il lisait et y cherche l’explication de ce tableau. Il apprend ainsi que la jeune femme était l’épouse du peintre qui avait entrepris son portrait. L’artiste, perfectionniste,  l’avait fait poser pendant des années afin de saisir au mieux l’expression de la vie. Quand enfin il fut satisfait de son travail, quand le tableau lui parut vivant, il voulut faire partager sa joie d’artiste à son modèle mais en se retournant il trouva sa femme morte. Il avait délaissé sa femme docile au profit du portrait tant et si bien qu’il finit par lui ôter  la vie.

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  • E-Bahut
il y a 13 minutes, maël - missme a dit :

Le narrateur, blessé et son valet passent la nuit dans un château abandonné perdu au milieu des montagnes italiennes.  Ils s’installent dans l’une des chambres décorée de tableaux. Le narrateur se couche et commence la lecture d’un livre trouvé sur la table de nuit décrivant l’ensemble des tableaux du château.

Virgule à supprimer et éviter la répétition du mot narrateur

A minuit, en déplaçant le candélabre, il aperçoit dans une niche, un tableau qui retient son attention : ce portrait ovale représente une femme. E narrateur est plongé dans une grande stupeur car ce portrait semble vivant.

Le narrateur reprend alors le livre qu’il lisait et y cherche l’explication de ce tableau. Il apprend ainsi que la jeune femme était l’épouse du peintre qui avait entrepris son portrait. L’artiste, perfectionniste,  l’avait fait poser pendant des années afin de saisir au mieux l’expression de la vie. Quand enfin il fut satisfait de son travail, quand le tableau lui parut vivant, il voulut faire partager sa joie d’artiste à son modèle mais en se retournant il trouva sa femme morte. Il avait délaissé sa femme docile au profit du portrait tant et si bien qu’il finit par lui ôter  la vie.

qu'il avait fini par ( valeur et concordance des temps)

 

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merci Micheline

 

je corrige

 

Le narrateur blessé et son valet passent la nuit dans un château abandonné perdu au milieu des montagnes italiennes.  Ils s’installent dans l’une des chambres décorée de tableaux. Le maître se couche et commence la lecture d’un livre trouvé sur la table de nuit décrivant l’ensemble des tableaux du château.

A minuit, en déplaçant le candélabre, il aperçoit dans une niche, un tableau qui retient son attention : ce portrait ovale représente une femme. Le narrateur est plongé dans une grande stupeur car ce portrait semble vivant.

L'homme reprend alors le livre qu’il lisait et y cherche l’explication de ce tableau. Il apprend ainsi que la jeune femme était l’épouse du peintre qui avait entrepris son portrait. L’artiste, perfectionniste,  l’avait fait poser pendant des années afin de saisir au mieux l’expression de la vie. Quand enfin il fut satisfait de son travail, quand le tableau lui parut vivant, il voulut faire partager sa joie d’artiste à son modèle mais en se retournant il trouva sa femme morte. Il avait délaissé sa femme docile au profit du portrait tant et si bien qu’il avait finit par lui ôter  la vie

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merci Micheline

je poursuis avec le monstre vert de Nerval

 

Tous les soirs, des bruits de verres et des rires sont entendus dans la cave d’une maison inhabitée. Les voisins, effrayés,  demandent à la police d’intervenir. Celle-ci compris que les bruits viennent  de la cave.  Les bruits se reproduisent mais personne n'ose y descendre.On met cela sur le compte du diable Vauvert qui habitait autrefois à Paris.

Un sergent se propose alors d’aller dans cette cave en échange d’une pension destinée à une certaine Margot qui refuse de l’épouser sans argent.

Il y descend donc et découvre que les bouteilles dansent les unes avec les autres, les vertes représentant les hommes et les rouges les femmes.  Il découvre alors, après avoir brisé une bouteille rouge, un corps de femme nue, à terre. Il quitte la cave avec une bouteille verte qu’il destine à son mariage. Le mariage a lieu et neuf mois plus tard, Margot accouche d’un monstre vert avec des cornes rouges et une queue. Les parents se mettent à boire et à l’âge de treize ans leur enfant disparaît.

 

 je ne suis pas certain d'avoir tout compris (surtout le début du  récit)

 

LE MONSTRE VERT.docx

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  • E-Bahut
il y a une heure, maël - missme a dit :

merci Micheline

je poursuis avec le monstre vert de Nerval

 

Tous les soirs, des bruits de verres et des rires sont entendus dans la cave d’une maison inhabitée. Les voisins, effrayés,  demandent à la police d’intervenir. Celle-ci comprit que les bruits viennent  de la cave.  Les bruits se  s'y reproduisent mais personne n'ose y descendre.On met cela sur le compte du diable Vauvert qui habitait autrefois à Paris.

Un sergent se propose alors d’aller dans cette cave en échange d’une pension destinée à une certaine Margot qui refuse de l’épouser sans argent.

Il y descend donc et découvre que les bouteilles dansent les unes avec les autres, les vertes représentant les hommes et les rouges les femmes.  Il découvre (éviter la répétition :il contate))alors, après avoir brisé une bouteille rouge, un corps de femme nue, à terre. Il quitte la cave avec une bouteille verte qu’il destine à son mariage. Le mariage a lieu et neuf mois plus tard, Margot accouche d’un monstre vert avec des cornes rouges et une queue. Les parents se mettent à boire et à l’âge de treize ans leur enfant disparaît.

 

 je ne suis pas certain d'avoir tout compris (surtout le début du  récit)

 

LE MONSTRE VERT.docx

 

sur le site du Sénat:

Le Luxembourg au XI ème siècle : le Château de VauvertIllustration : Robert le Pieux


En 1016, Paris est rattaché au domaine royal de Robert II dit Robert le Pieux (970-1031), fils de Hugues Capet.

C’est alors un quartier cultivé de vignes. Le vin que l’on y récolte est tristement célèbre pour son acidité ! Sa consommation immédiate s’impose rendant le vin nouveau plus cher que l’ancien !

Robert le Pieux établit sa résidence au milieu de ces vignes, dans une vallée de verdure qui prend le nom de « Vauvert » (vallis viridis). Ce château serait donc l’une des toutes premières résidences royales de Paris. Malgré sa piété légendaire, Robert II répudie son épouse Rosalia pour épouser sa cousine Berthe de Bourgogne. Le pape l’excommunie, estimant le lien de parenté trop proche.

A sa mort en 1031, la résidence est abandonnée : il n’est pas bon de récupérer la demeure d’un roi excommunié : c’est un lieu maudit, on y craint la présence du diable.
 

Le Luxembourg au Moyen-Age : le Diable Vauvert

Dès la mort de Robert le Pieux, le château de Vauvert prend un caractère inquiétant : situées hors des murs et à proximité de la route du sud qui mène à Orléans, ses ruines deviennent un repaire de brigands et de mendiants. Dans leur voisinage se trouvent des carrières abandonnées dont les galeries souterraines peuvent offrir de multiples cachettes. Le vignoble tout proche du clos Vigneray permet à tous ces « diables » de boire à bon marché et en abondance.
Tout cela donne au château des allures de « cour des miracles »

Les dires de l’époque évoquent des cris, des hurlements, des bruits terrifiants ! On en conclut donc que le lieu est maléfique. Des esprits, des monstres mi-hommes mi-serpents et le diable lui-même y ont été aperçus ! Nul n’ose s’y aventurer, pas même la maréchaussée.

..................................................

.Nerval s'inspire de l'histoire du château et fait du diable Vauvert un personnage.

"Le diable Vauvert fit de nouveau parler de lui à l’époque de Louis XIII."

Le diable Vauvert fit de nouveau parler de lui à l'époque de Louis XIII.

 

Bon week-end!

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Merci Micheline

je comprends mieux

je poursuis. Cette nouvelle est longue.

 

La montre du doyen, d’Erckmann-Chatrian

Noël 1832, Kasper (le narrateur), violoniste,  et Wilfrid, contrebassiste, traverse la Forêt-Noire pour aller à Heidelberg (en Allemagne) afin de jouer de la musique. En chemin, ils rencontrent un homme à l’affreuse tête de chat qui leur conseille de rebrousser  chemin car, dit-il, il y aura à Heidelberg des musiciens bien plus renommés et ils n’auront aucun succès. Ils choisissent de continuer leur route.

Les deux musiciens    s’arrêtent au Pied de mouton,  l’auberge  où travaille Annette une petite du même village que Kasper. Elle lui apprend qu’une vague d'assassinats se produit en ce moment à Heidelberg.

Vers deux heures du matin, un mystérieux homme à la face crispée comme celle d’un tigre s'introduit par la lucarne du grenier avec un couteau taché de sang dans la chambre des deux musiciens. Il ne semble pas les apercevoir, il s'assoit, grelotte. Il sort ensuite une montre de sa poche qu'il laisse sur la table de Kasper et Wilfrid avant de sortir de la chambre par la lucarne du grenier. Les deux amis, ont reconnu l’assassin dont parlait Annette. Kasper souhaite rapporter la montre à la police. Wilfrid n’est pas du même avis. Le lendemain, ce dernier propose quand même d’accomplir la besogne à la place du jeune violoniste. Ils se rendent dans la salle à manger avec les autres convives.

Un contrôle de police a lieu et la montre du Doyen Daniel Van den Berg est retrouvée sur Wilfrid. Immédiatement une bagarre éclate. Wilfrid et d’autres personnes sont emmenés en prison. Ils sont  accusés des meurtres. Kasper arrive à en échapper et se réfugie dans le cellier de l'auberge où Annette le cache au dernier moment. Dans la soirée, la patronne de l'auberge  la mère Grédel, entre dans la cave. Elle aperçoit les pieds de Kasper et commence à hurler au meurtrier. Elle s'évanouit dans les escaliers et Kasper a le temps de fuir.

Le lendemain, la mère Grédel est interrogée par la police. Elle prétend avoir été agressée avec une arme blanche et une arme à feu avant que son agresseur ne  s’enfuît. Kasper, que la patronne ne reconnait pas, est revenu à l’auberge. Il s'avance alors dans la pièce pour dire que c'est lui qui était la veille dans la cave et qu'il a un plan pour arrêter le tueur. Il vient de remarquer qu'il a neigé la veille et que la fenêtre du grenier est sans neige : ce qui veut dire que le tueur est venu cette nuit et qu'il faudrait lui tendre un piège pour le capturer et ainsi innocenter Wilfrid des meurtres.

La nuit suivante, Kasper et trois policiers s'installent dans le grenier en attendant le tueur. À quatre heures du matin, celui-ci entre dans la chambre.  Il s’agit du Doyen Daniel Van ben Berg qui se suicide en se donnant un coup de couteau dans le cœur. Tout rentre dans l’ordre.

 

si je comprends bien le Doyen Daniel Van ben Berg se comporte comme un chat ? 

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  • E-Bahut
Il y a 1 heure, maël - missme a dit :

Bonsoir Maël,

La montre du doyen, d’Erckmann-Chatrian

Noël 1832, Kasper (le narrateur), violoniste,  et Wilfrid, contrebassiste, traverse la Forêt-Noire pour aller à Heidelberg (en Allemagne) afin de jouer de la musique. En chemin, ils rencontrent un homme à l’affreuse tête de chat qui leur conseille de rebrousser  chemin car, dit-il, il y aura à Heidelberg des musiciens bien plus renommés et ils n’auront aucun succès. Ils choisissent de continuer leur route.

Les deux musiciens    s’arrêtent au Pied de mouton,  l’auberge  où travaille Annette une petite du même village que Kasper. Elle lui apprend qu’une vague d'assassinats se produit en ce moment à Heidelberg.

Vers deux heures du matin, un mystérieux homme à la face crispée comme celle d’un tigre s'introduit par la lucarne du grenier, avec un couteau taché de sang, dans la chambre des deux musiciens. Il ne semble pas les apercevoir, il s'assoit, grelotte. Il sort ensuite une montre de sa poche qu'il laisse sur la table de Kasper et Wilfrid avant de sortir de la chambre par la lucarne du grenier. Les deux amis, ont reconnu l'homme rencontré sur la route. C'est lui l’assassin dont parlait Annette. Kasper souhaite rapporter la montre à la police. Wilfrid n’est pas du même avis. Le lendemain, ce dernier propose quand même d’accomplir la besogne à la place du jeune violoniste. Ils se rendent dans la salle à manger avec les autres convives.

Un contrôle de police a lieu et la montre du Doyen Daniel Van den Berg est retrouvée sur Wilfrid. Immédiatement une bagarre éclate. Wilfrid et d’autres personnes sont emmenés en prison. Ils sont  accusés des meurtres. Kasper arrive à en échapper et se réfugie dans le cellier de l'auberge où Annette le cache au dernier moment. Dans la soirée, la patronne de l'auberge  la mère Grédel, entre dans la cave. Elle aperçoit les pieds de Kasper et commence à hurler au meurtrier. Elle s'évanouit dans les escaliers et Kasper a le temps de fuir.

Le lendemain, la mère Grédel est interrogée par la police. Elle prétend avoir été agressée avec une arme blanche et une arme à feu avant que son agresseur ne  s’enfuît. Kasper, que la patronne ne reconnait pas, est revenu à l’auberge. Il s'avance alors dans la pièce pour dire que c'est lui qui était la veille dans la cave et qu'il a un plan pour arrêter le tueur. Il vient de remarquer qu'il a neigé la veille et que la fenêtre du grenier est sans neige : ce qui veut dire que le tueur est venu cette nuit et qu'il faudrait lui tendre un piège pour le capturer et ainsi innocenter Wilfrid des meurtres.

La nuit suivante, Kasper et trois policiers s'installent dans le grenier en attendant le tueur. À quatre heures du matin, celui-ci entre dans la chambre.  Il s’agit du Doyen Daniel Van ben Berg qui se suicide en se donnant un coup de couteau dans le cœur. Tout rentre dans l’ordre.

Citation

si je comprends bien le Doyen Daniel Van ben Berg se comporte comme un chat ? 

Il en a du moins la physionomie. En s'écroulant dans le grenier, il dit ces mots mystérieux: "- Quel rêve !... Mon Dieu... quel rêve !"

On ne saura donc jamais qui était vraiment ce personnage, et s'il était sous une quelconque emprise quand il commettait ses meurtres...

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  • E-Bahut

Il y a une petite incompréhension sur les corrections.

Ici: "Vers deux heures du matin, un mystérieux homme à la face crispée comme celle d’un tigre s'introduit par la lucarne du grenier, avec un couteau taché de sang, dans la chambre des deux musiciens." j'ai encadré "avec un couteau taché de sang" de deux virgules.

Dans cette phrase: " la patronne de l'auberge  la mère Grédel, entre dans la cave.", "l'auberge" était déjà soulignée et en bleu dans ta version d'origine, et je n'ai pas pu supprimer ces deux attributs. Si bien que ce n'était pas une remarque de ma part. :) Du coup, tu peux choisir entre tes deux versions! Mais si tu gardes la première, n'oublie pas, malgré tout, de mettre une virgule avant "la mère Grédel".

Bonne soirée, et bonne lecture pour la suite!

 

 

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Bonjour, pouvez-vous, s'il vous plaît me corriger la suite de mes résumer ? Merci

 

L'homme à la cervelle d'or : 1 ère version

 Le héros naît dans une petite ville de l'ancienne Souabe, dans une famille de greffier au tribunal.

Son oncle le laisse tomber le jour de sa naissance. On découvre qu’il a une cervelle d’or.

Ses parents le protègent du monde extérieur : il passe son enfance enfermé chez lui. Ses parents rencontrent des difficultés financières.  L’enfant les aide en leur donnant une partie de sa cervelle en or. A 18 ans, il va dans une fête avec de misérables compagnons de débauche, naïf, il réutilise sa cervelle pour payer une importante addition d’hôtel. Alors qu’il dort, il se fait voler une partie de sa cervelle par son meilleur ami. Il décide d’avoir une femme. Il la choisit belle.

Elles a des goûts modestes mais à des désirs de luxe. Il lui fait des cadeaux qu’ils paient avec sa cervelle en or. Ils ont un enfant. Il lui fait aussi des cadeaux et à force il n’a plus de cervelle en or.

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  • E-Bahut

 

Bonjour Maël,

L'homme à la cervelle d'or : 1 ère version

 Le héros naît dans une petite ville de l'ancienne Souabe, dans une famille de greffiers au tribunal.

Son oncle le laisse tomber le jour de sa naissance. On découvre qu’il a une cervelle d’or.

Ses parents le protègent du monde extérieur : il passe son enfance enfermé chez lui. Ses parents rencontrent des difficultés financières.  L’enfant les aide en leur donnant une partie de sa cervelle en or. A 18 ans, il va dans une fête avec de misérables compagnons de débauche, naïf, il réutilise sa cervelle pour payer une importante addition d’hôtel. Alors qu’il dort, il se fait voler une partie de sa cervelle par son meilleur ami. Il décide d’avoir une femme. Il la choisit belle.

Elles a des goûts modestes mais à des désirs de luxe. Il lui fait des cadeaux qu’il paie avec sa cervelle en or. Ils ont un enfant. Il lui fait aussi des cadeaux et à force il n’a plus de cervelle en or.

 

L'auteur? il faut s'en souvenir.

Et la morale?

Pour compléter:

Il décida alors de quitter la maison familiale et s’employa à dilapider son or. Se rendant compte des ravages que provoquent ses dépenses sur son corps, il devint avare et misanthrope.

puis, un matin, la petite femme mourut, sans qu’on sût pourquoi, comme un oiseau…

Du fond de son arrière-boutique, la marchande entendit un grand cri ; elle accourut et recula de peur en voyant un homme debout, qui s’accotait au comptoir et il regardait douloureusement d’un air hébété. Il tenait d’une main les bottines bleues à bordure de cygne, et présentait l’autre main toute sanglante, avec des raclures d’or au bout des ongles.

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  • E-Bahut

-Revois la disposition en paragraphes (au sujet de sa femme entre autres) et évite les répétitions(parents ) en faisant des phrases plus complexes . 

-A dix-huit ans , il  se rend dans une fête avec de misérables compagnons de débauche .Sa naïveté le pousse à réutiliser sa magique cervelle pour ...

-Elle a des goûts de luxe : pas d'accent sur le a : il s'agit du verbe avoir = posséder .

 

Bon travail , Maël .

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Merci Mamy et Moîravita

je corrige

Le héros naît dans une petite ville de l'ancienne Souabe, dans une famille de greffiers au tribunal.

Son oncle le laisse tomber le jour de sa naissance. On découvre qu’il a une cervelle d’or.

Il passe son enfance enfermé chez lui car ses parents le protègent du monde extérieur. Son père et sa mère (ou la famille )rencontrent des difficultés financières.  L’enfant les aide en leur donnant une partie de sa cervelle en or. A 18 ans, il se rend  dans une fête avec de misérables compagnons de débauche. Sa naïveté le pousse à réutilise sa magique cervelle pour payer une importante addition d’hôtel. Alors qu’il dort, il se fait voler une partie de sa cervelle par son meilleur ami.

Il décide d’avoir une femme. Il la choisit belle. Elle a des goûts de luxe. Il lui fait des cadeaux qu’il paie avec sa cervelle en or. Ils ont un enfant. Il lui fait aussi des cadeaux et à force il n’a plus de cervelle en or.

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  • E-Bahut

Plus tard, il  se choisit une jolie compagne . Comme elle a des goûts de luxe, il  n'hésite pas à lui faire des cadeaux grâce à sa cervelle en or . Un enfant leur naît , et le héros , dans sa grande générosité , épuise sa cervelle d'or pour le combler de cadeaux . 

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