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orthographe, syntaxe


maël - missme

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Posté(e)

Charles Quint chargea Francisco Pizarro de conquérir le Pérou dans l'espoir de trouver de l'or, des pierres précieuses, des épices et de ramener en Europe beaucoup de nouvelles choses. Sa curiosité scientifique était grande. Il avait l'idée aussi de convertir les nouvelles populations au christianisme et était également animé d' un désir de faire la guerre. Il lui expliqua quel chemin  prendre. Je décidai de l'accompagner.

  • E-Bahut
Posté(e)
il y a 39 minutes, maël - missme a dit :

je bloque encore sur mon premier paragraphe : préparation du voyage

ça donne cela :

Charles Quint chargea Francisco Pizarro de conquérir le Pérou dans l'espoir de trouver de l'or, des pierres précieuses, des épices et de ramener en Europe des produits nouveaux pour le commerce  peut-être aussi par curiosité scientifique? ( c'est ce que je  dirais)  Sa curiosité scientifique était grande ?? (pas sûr, c'est l'apat du gain et du pouvoir qui le motivait, , il fit exécuter l'Inca qui l'avait pourtant bien accueilli)   . Il avait l'idée aussi de convertir les nouvelles populations au christianisme et était également animé d' un désir de faire la guerre ( un désir de conquête) . Je décidai de l'accompagner.

Merci

 

  • E-Bahut
Posté(e)

C'est bien ce que tu as fait.

A bientôt.

  • E-Bahut
Posté(e)
Il y a 1 heure, moîravita a dit :

L'appât du gain , et non l'apat ! 

oui, tout à fait!

 

Posté(e)

Bonjour, mauvaise nouvelle pour moi ma prof a dit de faire un paragraphe de 10 lignes pour chaque partie. Il ne m 'en manque pas beaucoup. je développe un peu :

 

jeudi 29 juillet 1531

Charles Quint chargea Francisco Pizarro de conquérir le Pérou dans l'espoir de trouver de l'or, des pierres précieuses, des épices et de  ramener en Europe des produits nouveaux pour le commerce.  Peut-être aussi par curiosité scientifique? Il avait l'idée aussi de trouver d'autres populations et de les convertir à la religion chrétienne. Il était également animé d' un désir de conquête. (= 6 lignes). Pizarro fit venir du Portugal, les meilleurs menuisiers, les plus brillants charpentiers afin de construire trois caravelles. Pendant ce temps, il  mis au point l'itinéraire de l'expédition. Le navigateur pensait qu'il ne lui faudrait pas moins de 3 semaines, dans les meilleures conditions, pour atteindre son objectif. Mais très prudent, il rajouta une semaine de plus à son estimation. Il prévoyais de longer la côte en descendant vers le Sud. Je décidai d'accompagner Pizarro. 

est ce que ça va ? je ne vois pas quoi développer d'autre ?

Merci

je poursuis avec les autres paragraphes

Posté(e)

deuxième paragraphe, Merci

lundi 1 janvier 1532

Pizarro m’avait chargé d’acheter des provisions pour plusieurs mois. J’embarquai avec nous beaucoup de réserves de nourriture comme du poisson salé, de la viande de porc et de bœuf, des sacs de farine,  de lentilles et de haricots ainsi que de nombreux tonneaux d’eau, de vin. Je chargeai également des caisses de poudre et de flèches d’arbalètes. Toutes ces marchandises étaient stockées dans la cale avec les cordages, les voiles et le matériel. Dans la cabine de Pizarro, au fond de la première caravelle, j’entreposai trois boussoles, deux astrolabes et plusieurs portulans que je jugeais très utiles pour nous repérer en mer. 

(il me manque une ligne)

 

Posté(e)

troisième paragraphe, merci

Mercredi 3 janvier 1532

Les hommes d’équipage étaient très jeunes. Ils avaient entre dix-huit et vingt-cinq ans. Ils avaient été choisis parmi les plus robustes, les plus courageux  et les plus fidèles car la vie à bord des caravelles allait être très difficile. La caravelle est  un bateau de 20 m de long et 8 m de large. Les hommes auraient à dormir sur le pont  mal  protégé de la pluie,   du vent et du froid. Ils devraient aussi cohabiter avec les rats, les cafards, les poux et les puces. Nous aurions sûrement à subir des mutineries et nous perdrions très probablement beaucoup d’hommes car le scorbut ferait des ravages.

quatrième et dernier paragraphe

jeudi 4 janvier 1532
Je quittai Panama, le quinzième jour du mois de janvier de l'année 1532, un vendredi, une heure avant le lever du soleil. L'expédition comptait cent quatre-vingts hommes, trente-sept chevaux  et le trois caravelles. J'embarquai à bord de l’Isabella aux côtés de Pizarro et de ses trois frères. Les hommes d''équipage étaient impatients de partir à l'aventure pour découvrir l'Empire inca mais semblaient  aussi un peu inquiets face à l'inconnu et aux dangers qui les attendaient. Nous laissions derrière nous une foule de curieux et de nombreuses familles déjà orpheline d'une être cher.

   

  • E-Bahut
Posté(e)
il y a une heure, maël - missme a dit :

Charles Quint chargea Francisco Pizarro de conquérir le Pérou dans l'espoir de trouver de l'or, des pierres précieuses, des épices et de  ramener en Europe des produits nouveaux pour le commerce.  Peut-être aussi par curiosité scientifique? Il avait l'idée aussi de trouver  convertir d'autres populations et de les convertir à la religion chrétienne. Il était également animé d' un désir de conquête. (= 6 lignes). Pizarro fit venir du Portugal, les meilleurs menuisiers, les plus brillants charpentiers afin de construire trois caravelles. Pendant ce temps, il  mis au point l'itinéraire de l'expédition. Le navigateur pensait qu'il ne lui faudrait pas moins de 3 semaines, dans les meilleures conditions, pour atteindre son objectif. Mais très prudent, il rajouta une semaine de plus à son estimation, conscient que des difficultés surgiraient . Il prévoyait de longer la côte en descendant vers le Sud. Je décidai d'accompagner Pizarro. 

 

 

  • E-Bahut
Posté(e)
il y a 54 minutes, maël - missme a dit :

Pizarro m’avait chargé d’acheter des provisions pour plusieurs mois et pour cent quatre vingt hommes d'équipage   . J’embarquai avec nous beaucoup de réserves de nourriture comme du poisson salé, de la viande de porc et de bœuf, des sacs de farine,  de lentilles et de haricots ainsi que de nombreux tonneaux d’eau, de vin, denrées  qu'il me fut facile de trouver, l'argent en abondance était un bon sésame.. Je chargeai également des caisses de poudre et de flèches d’arbalètes. Toutes ces marchandises étaient stockées dans la cale avec les cordages, les voiles et le matériel. Dans la cabine de Pizarro, au fond de la première caravelle, j’entreposai trois boussoles, deux astrolabes et plusieurs portulans que je jugeais très utiles pour nous repérer en mer. 

 

 

 

  • E-Bahut
Posté(e)
il y a 36 minutes, maël - missme a dit :

troisième paragraphe, merci

Mercredi 3 janvier 1532

Les hommes d’équipage étaient très jeunes. Ils avaient entre dix-huit et vingt-cinq ans. Ils avaient été choisis parmi les plus robustes, les plus courageux  et les plus fidèles car la vie à bord des caravelles allait être très difficile. La caravelle est  un petit voilier créé par les portugais  de 20 m de long et 8 m de large, d'une contenance de 40 à 60 tonneaux;   ses  voiles triangulaires lui  permettent de remonter au vent et le rendent plus propice à la navigation  de haute mer . Les hommes auraient à dormir sur l 'unique  pont supérieur  mal  protégé de la pluie,   du vent et du froid. Ils devraient aussi cohabiter avec les rats, les cafards, les poux et les puces. Nous aurons peut-être  à subir des mutineries et nous perdrons très probablement beaucoup d’hommes car le scorbut et les maladies   feraient des ravages. Mais, la traversée de l'Atlantique avait été une épreuve plus rude encore pour notre capitaine .

quatrième et dernier paragraphe

jeudi 4 janvier 1532
Je quittai Panama, le quinzième jour du mois de janvier de l'année 1532, un vendredi, une heure avant le lever du soleil. Quand arriverions nous? Dans quel état? Qu'allions nous découvrir? Et quand reviendrions nous? Il était trop tard pour se poser ces questions, Dieu nous protègera. L'expédition comptait cent quatre-vingts hommes, trente-sept chevaux  et les trois caravelles. J'embarquai à bord de l’Isabella aux côtés de Pizarro et de ses trois frères. Les hommes d''équipage étaient impatients de partir à l'aventure pour découvrir l'Empire inca mais semblaient  aussi un peu inquiets face à l'inconnu et aux dangers qui les attendaient. Nous laissions derrière nous une foule de curieux et de nombreuses familles déjà orpheline d'un être cher. La fortune ou la mort au bout de notre route?

   

 

  • E-Bahut
Posté(e)

Bon week end (en anglais! :D)

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