E-Bahut sansid3 Posté(e) le 2 octobre 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 2 octobre 2004 dois-je m'aidez de texte? et comment m'en servir si je dois les introduire dans ma disertation? RÉPONSE Proposé par : Jean-Luc - cyberpapy Bien sûr ! En fait il faut revenir à la plus petite unité de démonstration qu'est le paragraphe. Un paragraphe est l'énoncé d'une idée avec - ses nuances, - les exemples qui l'illustrent. Je vais te montrer comment rédiger un paragraphe : sujet: la poésie vous parait-elle la forme la plus appropriée pour servir l'engagement d'un écrivain? ... La poésie n'est pas toujours pour un écrivain le moyen le plus approprié pour faire passer ses idées. Il est vrai qu'il existe d'autres genres littéraires comme le théâtre ou le roman qui peuvent être plus efficaces. Ainsi (qui introduit ton exemple) les contes et romans ont été pour Voltaire de meilleurs moyens pour diffuser sa pensée philosophique qu'un poème comme le "Mondain" ou ses vers sur "le désastre de Lisbonne". En effet (conjoncteur qui assure la démonstration par lien de causalité) la complexité des moyens mis en œuvre dans la création poétique peut rebuter un lecteur qui préfèrera les charmes et la liberté d'un roman d'aventures comme "Candide". (Et tu passes au paragraphe suivant en utilisant un mot de liaison) De plus, la poésie a toujours eu la réputation d'être un art réservé à une élite intellectuelle... Allez, il faut te lancer ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
parisienne Posté(e) le 4 octobre 2004 Signaler Share Posté(e) le 4 octobre 2004 Bonjour, J'ai un commentaire de cet extrait à faire pour mercredi mais c'est mon premier commentaire, je ne sais pas vraiment comment m'y prendre. Merci de bien vouloir m'aider (à trouver les axes surtout). Les axes me posent énormément problème Acaste Parbleu! je ne vois pas, lorsque je m' examine, Où prendre aucun sujet d' avoir l' âme chagrine. J'ai du bien, je suis jeune, et sors d'une maison Qui se peut dire noble avec quelque raison; Et je crois, par le rang que me donne ma race, Qu'il est fort peu d' emplois dont je ne sois en passe. Pour le coeur, dont surtout nous devons faire cas, On sait, sans vanité, que je ne manque pas, Et l'on m'a vu pousser, dans le monde, une affaire D'une assez vigoureuse et gaillarde manière. Pour de l'esprit, j'en ai sans doute, et du bon goût A juger sans étude et raisonner de tout, A faire aux nouveautés, dont je suis idolâtre, Figure de savant sur les bancs du théâtre Y décider en chef, et faire du fracas A tous les beaux endroits qui méritent des ahs. Je suis assez adroit; j'ai bon air, bonne mine, Les dents belles surtout, et la taille fort fine. Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter, Je me vois dans l'estime autant qu'on y puisse être, Fort aimé du beau sexe, et bien auprès du maître. Je crois qu' avec cela, mon cher Marquis, je croi Qu'on peut, par tout pays, être content de soi. Le Misanthrope, III, 1, vers 781-804 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 11 octobre 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 11 octobre 2004 Les procedes qu'utilisent un poete? Apres tous ces conseils, vous vous demandez peut-etre encore ce qu'il faut dire sur un poeme. Voici un suggestion d'etude par Anamorphos (Teikos) Entrainez vous! "Je n'ai plus que les os, un squelette je semble, 1 Décharné, dénervé, démusclé, dépulpé, 2 Que le trait de la mort sans pardon a frappé, 3 Je n'ose voir mes bras que de peur je ne tremble. 4 Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, 5 Ne me sauraient guérir, leur métier m'a trompé. 6 Adieu, plaisant Soleil, mon oeil est étoupé, 7 Mon corps s'en va descendre où tout se désassemble. 8 Quel ami me voyant en ce point dépouillé 9 Ne remporte au logis un oeil triste et mouillé, 10 Me consolant au lit et me baisant la face, 11 En essuyant mes yeux par la mort endormis ? 12 Adieu, chers compagnons, adieu, mes chers amis, 13 Je m'en vais le premier vous préparer la place." 14 J'ai numéroté chaque vers. - Au vers 1, comment peux-tu expliquer le renvoi du verbe à la fin du vers ? Normalement, l'attribut du sujet est placé après le verbe. On aurait donc "je semble un squelette". Alors,quel effet est produit par ce procédé ? Comme tu le vois, le vers (alexandrin) comporte 2 propositions (sachant qu'une proposition = un ensemble de mots dépendant d'un verbe "noyau") : compte le nombre de syllabes de chaque proposition. Comment sont-elles, dans la typographie (càd dans la présentation du texte, ce qui inclut la ponctuation) séparées? Ce procédé à un nom: lequel? - Au vers 2: on a affaire à une énumération d'adjectifs. Comment sont-ils formés (préfixe, radical et suffixe) ? Pourquoi ce choix de l'auteur? - Dans le 3ème vers, comment le poète rend-il compte de la violence de la mort ? 3 expressions clés à relever. - Quel sentiment inspire la mort à l'auteur (vers 4) ? Relève le verbe et le nom qui font référence à ce sentiment. - Recherche qui est Apollon et de quel "fils" il est question ici (c'est en fait une allégorie, mais une recherche (ou de solides connaissances en mythologie grecque) est indispensable pour comprendre cette allusion). - Vers 6: comment au vers 5 et au vers 1, on retrouve le procédé de la césure: il va de soi qu'il faudra l'interpréter dans le commentaire. Propose-nous ton analyse et nous verrons ensemble si elle peut être admise... - Le vers 7 met vraiment bien en valeur le(s) registre(s) (tonalités) de la strophe. Peux-tu les identifier ? (il y en a 1 en particulier, mais on peut aussi en accepter d'autres). - V.8: repère un effet musical. En quoi ce vers fait écho au v.2? - V.9 : on retrouve encore un adjectif construit sur le même modèle que cx du v2. abondance des gps binaires aux vers 10 et 11. - v.12: encore une référence au regard, qui insiste sur le fait que le poète est d'un aspect (du latin spectare= regarder) tel qu'il ne peut que susciter la pitié. - v.13: la répétition du mot "adieu", les apostrophes, le jeu sur les pronoms dans la dernière strophe sont intéressants à étudier (il faut toujours porté une attention particulière au dernier vers). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KoS.UnDer Posté(e) le 13 octobre 2004 Signaler Share Posté(e) le 13 octobre 2004 Bon c'est tres simple je suis nouveau donc bonjour a tous J'aurais aimé vous poser une tite question : VOila j'ai un commentaire commposé sur Soleils Couchants de V.Hugo , j'ai deja un ti plan en tete mais alors pour les idées directrices je sais pas du tout quoi mettre ... J'envisage : 1) L'homme 2) Le temps 3) la nature Voila j'ai beaucoup d'idées mais c'est mon 2 eme commentaire composé de ma vie et je ne sais pas du tout comme les rediger . Merci de vos reponses . KoS Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut clems Posté(e) le 13 octobre 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 13 octobre 2004 bonjour et bienvenu! une question : comment fais-tu pour avoir un plan sans idées directrices? pourrais-tu justifier le titre de tes parties, stp? Soleils couchants J'aime les soirs sereins et beaux, j'aime les soirs, Soit qu'ils dorent le front des antiques manoirs Ensevelis dans les feuillages ; Soit que la brume au loin s'allonge en bancs de feu ; Soit que mille rayons brisent dans un ciel bleu A des archipels de nuages. Oh ! regardez le ciel ! cent nuages mouvants, Amoncelés là-haut sous le souffle des vents, Groupent leurs formes inconnues ; Sous leurs flots par moments flamboie un pâle éclair. Comme si tout à coup quelque géant de l'air Tirait son glaive dans les nues. Le soleil, à travers leurs ombres, brille encor ; Tantôt fait, à l'égal des larges dômes d'or, Luire le toit d'une chaumière ; Ou dispute aux brouillards les vagues horizons ; Ou découpe, en tombant sur les sombres gazons, Comme de grands lacs de lumière. Puis voilà qu'on croit voir, dans le ciel balayé, Pendre un grand crocodile au dos large et rayé, Aux trois rangs de dents acérées ; Sous son ventre plombé glisse un rayon du soir ; Cent nuages ardents luisent sous son flanc noir Comme des écailles dorées. Puis se dresse un palais. Puis l'air tremble, et tout fuit. L'édifice effrayant des nuages détruit S'écroule en ruines pressées ; Il jonche au loin le ciel, et ses cônes vermeils Pendent, la pointe en bas, sur nos têtes, pareils A des montagnes renversées. Ces nuages de plomb, d'or, de cuivre, de fer, Où l'ouragan, la trombe, et la foudre, et l'enfer Dorment avec de sourds murmures, C'est Dieu qui les suspend en foule aux cieux profonds, Comme un guerrier qui pend aux poutres des plafonds Ses retentissantes armures. Tout s'en va ! Le soleil, d'en haut précipité, Comme un globe d'airain qui, rouge, est rejeté Dans les fournaises remuées, En tombant sur leurs flots que son choc désunit Fait en flocons de feu jaillir jusqu'au zénith L'ardente écume des nuées. Oh ! contemplez le ciel ! et dès qu'a fui le jour, En tout temps, en tout lieu, d'un ineffable amour, Regardez à travers ses voiles ; Un mystère est au fond de leur grave beauté, L'hiver, quand ils sont noirs comme un linceul, l'été, Quand la nuit les brode d'étoiles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KoS.UnDer Posté(e) le 14 octobre 2004 Signaler Share Posté(e) le 14 octobre 2004 On ne parle pas du meme poeme ... C'est celui la : ----------- Soleils couchants Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées; Demain viendra l'orage, et le soir, et la nuit ; Puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ; Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit ! Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule Sur la face des mers, sur la face des monts, Sur les fleuves d'argent, sur les forêts où roule Comme un hymne confus des morts que nous aimons. Et la face des eaux, et le front des montagnes, Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts S'iront rajeunissant ; le fleuve des campagnes Prendra sans cesse aux monts le flot qu'il donne aux mers. Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tête, Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux, Je m'en irai bientôt, au milieu de la fête, Sans que rien manque au monde immense et radieux clems pour le plna je l'ai travaillé un peu en classe mais c'est vrai que sans idées directrices le plan na pas lieux d'etre mais j'ai relevé pas mal de figure de style et les ai interpretees donc j'ai deja une idée des themes dominants du poeme . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut clems Posté(e) le 15 octobre 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 15 octobre 2004 ah oui, c marrants qu'il y ait deux "soleils couchants" dans le recueil "Feuillets d'automne". peut-être une erreur? si ça te dérange pas je vais reposter ton message dans le forum, parce que là, il est un peu planqué, non? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut Céciloute Posté(e) le 21 novembre 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 21 novembre 2004 Bonjour, Dans la dissertation, pour l'introduction, dans la présentation du plan, faut-il mettre ce que l'on va en conclure au terme de notre développement, ou s'arrêter à la présentation des grandes parties du développement ? Merci. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Satine Posté(e) le 24 novembre 2004 Signaler Share Posté(e) le 24 novembre 2004 Il faut s'arréter apres la présentation du plan des grandes parties il me semble, car c'est en écrivant ton développement que tu vas pouvoir conclure, tu ne peux pas le savoir a l'avance, car c'est censé etre une étude au fur et a mesure, et c'est comme si tu répondais a ta problématique tout de suite! :P Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut Céciloute Posté(e) le 25 novembre 2004 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 25 novembre 2004 J'ai déjà rendu mon devoir mais merci de l'info qui me rassure car j'ai fait comme tu as dit, et il me semble aussi que c'est plus logique. Merci Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CindyB Posté(e) le 15 janvier 2005 Signaler Share Posté(e) le 15 janvier 2005 Bonjour, j'ai un commentaire de francais à rendre pour lundi (17 Janvier 2005) et je m'y prend un peut en retard. De plus je n'y ai totalement rien compris. Les deux grands axes nous sont donnés mais pas les sous partits. Si des personnes pouraient m'aidées pour les sous partits avec des exemples et la problematique si ce n'ai pas trop demandé. Sujet : http://piratsnake.free.fr/Commentaire.jpg Je vous remercie d'avance ps: c'est relativement hurgent Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Celine92 Posté(e) le 6 mai 2006 Signaler Share Posté(e) le 6 mai 2006 Bjr, j'ai un controle commun a ttes les secondes ds mon bahu mardi(je c le delai est tres court) le sujet etan le theatre est ce ke qqn pourrai me donner une analyse type d'un texte de theatre com la fai la premiere personne sr ce sujet??!! Merci d avance Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
petzouille Posté(e) le 4 janvier 2007 Signaler Share Posté(e) le 4 janvier 2007 Bonjour, serait-il possible d'obtenir le COMMENTAIRE COMPOSE : Alfred De Musset, On ne badine pas avec l'amour, Acte I, scène 1 (pas pour le recopier mais pour m'en inspirer). Merci! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut Totochita Posté(e) le 8 janvier 2007 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 8 janvier 2007 Salut, Tout d'abord, tu ferais mieux de poster ton sujet en bas, car la ce n'est pas vraiment l'endroit pour les dissert. Et on risque de ne pas le voir. SI jamais tu ne l'as pas encore fait et que tu as besoin d'aide, je peux tjs essayer de t'aider. Mais je n'ai pas de corriges a te proposer. Voila et bonne chance a toi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
INES75001 Posté(e) le 22 avril 2007 Signaler Share Posté(e) le 22 avril 2007 Je dois faire un commentaire composé sur le sujet et les questions qui se trouvent : http://www.site-magister.com/sujets4.htm#etTec Merci de m'aidé j'ai vraiment du mal! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
guapa Posté(e) le 16 mai 2007 Signaler Share Posté(e) le 16 mai 2007 hola j'ai un problème!!!!!!!! jai parfaitement compris la méthode du commentaire mais je narrive pas a ttrouvé les axes es ce que qulequn peut maider?? je doi faire un commentaire sur le texte" derniers vers, 1586" de pierre de ronsard merci bcp Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E-Bahut experiment Posté(e) le 16 mai 2007 E-Bahut Signaler Share Posté(e) le 16 mai 2007 Bonsoir, crée un post spécial pour ton sujet, mets ton texte, et propose nous tes idées. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milti Posté(e) le 8 novembre 2007 Signaler Share Posté(e) le 8 novembre 2007 Bonjour je suis nouveau sur le forum. Pour mercredi prochain j'ais un commentaire composé sur "A tous les enfants" de Boris vian a faire. Mais le probléme c'est que je ne c'est pas comment faire. Quelqu'un pourait il m'aider s'il vous plait. Je vous remercie d'avance Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aichaez Posté(e) le 13 novembre 2007 Signaler Share Posté(e) le 13 novembre 2007 bonjour je suis en bac demain j'ai un exposé sur le chapitre 5 de candide s'il vous plait je veux qqn pour m'aider j'ai rien compris du chapitre Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
infecteck Posté(e) le 2 décembre 2007 Signaler Share Posté(e) le 2 décembre 2007 bonjour a tous !! j'ai un commentaire a faire sur "le pouvoir des fables" de La Fontaine a partir de: "Dans Athène autrefois. . . jusqu'à la fin" et je voudrais avoir un plan a suivre pour pouvoir le rédiger !! je n'arrive pas a trouver de problématique avec un plan qui y répond . J'aimerais bein un peu d'aide merci morçeau de la fable : Dans Athène autrefois, peuple vain et léger, Un Orateur, voyant sa patrie en danger, Courut à la tribune; et d'un art tyrannique, Voulant forcer les cœurs dans une république, Il parla fortement sur le commun salut. On ne l'écoutait pas. L'Orateur recourut A ces figures violentes Qui savent exciter les âmes les plus lentes: Il fit parler les morts, tonna, dit ce qu'il put. Le vent emporta tout, personne ne s'émut; L'animal aux têtes frivoles, Étant fait à ces traits, ne daignait l'écouter; Tous regardaient ailleurs; il en vit s'arrêter A des combats d'enfants, et point à ses paroles. Que fit le harangueur ? Il prit un autre tour. "Cérès, commença-t-il, faisait voyage un jour Avec l'Anguille et l'Hirondelle; Un fleuve les arrête; et l'Anguille en nageant, Comme l'Hirondelle en volant, Le traversa bientôt." L'assemblée à l'instant Cria tout d'une voix : "Et Cérès, que fit-elle ? Ce qu'elle fit ? Un prompt courroux L'anima d'abord contre vous. Quoi ? de contes d'enfants son peuple s'embarrasse ! Et du péril qui le menace Lui seul entre les Grecs il néglige l'effet ! Que ne demandez-vous ce que Philippe fait ?" A ce reproche l'assemblée, Par l'apologue réveillée, Se donne entière à l'Orateur: Un trait de fable en eut l'honneur. Nous sommes tous d'Athène en ce point; et moi-même, Au moment que je fais cette moralité, Si Peau d'âne m'était conté, J'y prendrais un plaisir extrême. Le monde est vieux, dit-on: je le crois; cependant Il le faut amuser encor comme un enfant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
samy-le-marseil Posté(e) le 6 janvier 2008 Signaler Share Posté(e) le 6 janvier 2008 Merci beaucoup pour l'aide c'est utile Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yukito Posté(e) le 22 janvier 2008 Signaler Share Posté(e) le 22 janvier 2008 Bonjour à tous. Je suis actuellement élève de 1ère Scientifique et je requiers un peu d'aide concernant le commentaire de la fable "La tortue et les deux Canards". Je n'arrive pas bien à trouver les sous parties des axes mais j'ai tout de même pensé aux grandes parties: I] Un récit tragique II] Les morales Si vous pouviez m'aider un peu (surtout pour les axes et les sous parties) je vous en serai très reconnaissant Merci d'avance, et en attendant une potentielle réponse, je vous souhaite à tous une bonne journée . Une Tortue était, à la tête légère, Qui, lasse de son trou, voulut voir le pays, Volontiers on fait cas d'une terre étrangère : Volontiers gens boiteux haïssent le logis. Deux Canards à qui la commère Communiqua ce beau dessein, Lui dirent qu'ils avaient de quoi la satisfaire : Voyez-vous ce large chemin ? Nous vous voiturerons, par l'air, en Amérique, Vous verrez mainte République, Maint Royaume, maint peuple, et vous profiterez Des différentes moeurs que vous remarquerez. Ulysse en fit autant. On ne s'attendait guère De voir Ulysse en cette affaire. La Tortue écouta la proposition. Marché fait, les oiseaux forgent une machine Pour transporter la pèlerine. Dans la gueule en travers on lui passe un bâton. Serrez bien, dirent-ils ; gardez de lâcher prise. Puis chaque Canard prend ce bâton par un bout. La Tortue enlevée on s'étonne partout De voir aller en cette guise L'animal lent et sa maison, Justement au milieu de l'un et l'autre Oison. Miracle, criait-on. Venez voir dans les nues Passer la Reine des Tortues. - La Reine. Vraiment oui. Je la suis en effet ; Ne vous en moquez point. Elle eût beaucoup mieux fait De passer son chemin sans dire aucune chose ; Car lâchant le bâton en desserrant les dents, Elle tombe, elle crève aux pieds des regardants. Son indiscrétion de sa perte fut cause. Imprudence, babil, et sotte vanité, Et vaine curiosité, Ont ensemble étroit parentage. Ce sont enfants tous d'un lignage.Une Tortue était, à la tête légère, Qui, lasse de son trou, voulut voir le pays, Volontiers on fait cas d'une terre étrangère : Volontiers gens boiteux haïssent le logis. Deux Canards à qui la commère Communiqua ce beau dessein, Lui dirent qu'ils avaient de quoi la satisfaire : Voyez-vous ce large chemin ? Nous vous voiturerons, par l'air, en Amérique, Vous verrez mainte République, Maint Royaume, maint peuple, et vous profiterez Des différentes moeurs que vous remarquerez. Ulysse en fit autant. On ne s'attendait guère De voir Ulysse en cette affaire. La Tortue écouta la proposition. Marché fait, les oiseaux forgent une machine Pour transporter la pèlerine. Dans la gueule en travers on lui passe un bâton. Serrez bien, dirent-ils ; gardez de lâcher prise. Puis chaque Canard prend ce bâton par un bout. La Tortue enlevée on s'étonne partout De voir aller en cette guise L'animal lent et sa maison, Justement au milieu de l'un et l'autre Oison. Miracle, criait-on. Venez voir dans les nues Passer la Reine des Tortues. - La Reine. Vraiment oui. Je la suis en effet ; Ne vous en moquez point. Elle eût beaucoup mieux fait De passer son chemin sans dire aucune chose ; Car lâchant le bâton en desserrant les dents, Elle tombe, elle crève aux pieds des regardants. Son indiscrétion de sa perte fut cause. Imprudence, babil, et sotte vanité, Et vaine curiosité, Ont ensemble étroit parentage. Ce sont enfants tous d'un lignage. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yukito Posté(e) le 22 janvier 2008 Signaler Share Posté(e) le 22 janvier 2008 désolé pour le récit écrit 2 fois (je n'ai pas trouvé de fonction "éditer" sur le forum. Etant donné que je dois rendre ce devoir demain à 8H il me semble peu probable qu'une réponse me soit donnée ^^ J'ai finalement retenu un autre plan ==> I] Une envolée vers le monde extérieur, le rêve A) L'intension de s'en aller B) L'éloge du monde extérieur C) Le rêve réalisé II] Une retombée dans la réalité A) Les flatteries fatales B) L'immaturité de la tortue. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aurore268 Posté(e) le 13 décembre 2008 Signaler Share Posté(e) le 13 décembre 2008 Bonjour il faut que je fasse un commentaire ( introduction,parties et conclusion) je n'y arrive vraiment pas c'est le discours du chef seattle prononcé en 1854 le titre c'est PEUT ETRE SOMMES-NOUS FRERES sujet:En quoi le grand seattle fait-il le blâme de la conduite des hommes blancs ?? Voilà ce que j'ai écrit Introduction:ce discours s'intitule "peut-être sommes-nous frères" il a était rédiger et prononcé par chef seattle en 1854 à l'occasion d'une demande d'achat de terres faite par le gouvernement américain, s'exprimait sur sa vision du monde et plus particulièrement sur les rapports entre l'homme et l'environnement naturel. Hauteur de vue, profondeur de pensée, souffle poétique, intuition prémonitoire: à n'en pas douter, le chef Seattle était un grand bonhomme. ------------------------------------------------------------------------- Le Grand Chef nous a fait part de son amitié et de ses sentiments bienveillants. Il est très généreux, car nous savons bien qu'il n'a pas grand besoin de notre amitié en retour. Cependant, nous allons considérer votre offre, car nous savons que si nous ne vendons pas, l'homme blanc va venir avec ses fusils et va prendre notre terre. Mais peut-on acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ? Etrange idée pour nous ! Si nous ne sommes pas propriétaires de la fraîcheur de l'air, ni du miroitement de l'eau, comment pouvez-vous nous l'acheter ? Le moindre recoin de cette terre est sacré pour mon peuple. Chaque aiguille de pin luisante, chaque grève sablonneuse, chaque écharpe de brume dans le bois noir, chaque clairière, le bourdonnement des insectes, tout cela est sacré dans la mémoire et la vie de mon peuple. La sève qui coule dans les arbres porte les souvenirs de l'homme rouge. Les morts des hommes blancs, lorsqu'ils se promènent au milieu des étoiles, oublient leur terre natale. Nos morts n'oublient jamais la beauté de cette terre, car elle est la mère de l'homme rouge; nous faisons partie de cette terre comme elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos soeurs, le cerf, le cheval, le grand aigle sont nos frères; les crêtes des montagnes, les sucs des prairies, le corps chaud du poney, et l'homme lui-même, tous appartiennent à la même famille. Ainsi, lorsqu'il nous demande d'acheter notre terre, le Grand Chef de Washington exige beaucoup de nous. Le Grand Chef nous a assurés qu'il nous en réserverait un coin, où nous pourrions vivre confortablement, nous et nos enfants, et qu'il serait notre père, et nous ses enfants. Nous allons donc considérer votre offre d'acheter notre terre, mais cela ne sera pas facile, car cette terre, pour nous, est sacrée. L'eau étincelante des ruisseaux et des fleuves n'est pas de l'eau seulement; elle est le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir qu'elle est sacrée et vous devrez l'enseigner à vos enfants, et leur apprendre que chaque reflet spectral de l'eau claire des lacs raconte le passé et les souvenirs de mon peuple. Le murmure de l'eau est la voix du père de mon père. Les fleuves sont nos frères; ils étanchent notre soif. Les fleuves portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir que les fleuves sont nos frères et les vôtres, et l'enseigner à vos enfants, et vous devrez dorénavant leur témoigner la bonté que vous auriez pour un frère. L'homme rouge a toujours reculé devant l'homme blanc, comme la brume des montagnes s'enfuit devant le soleil levant. Mais les cendres de nos pères sont sacrées. Leurs tombes sont une terre sainte; ainsi, ces collines, ces arbres, ce coin de terre sont sacrés à nos yeux. Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos pensées. Pour lui, un lopin de terre en vaut un autre, car il est l'étranger qui vient de nuit piller la terre selon ses besoins. Le sol n'est pas son frère, mais son ennemi, et quand il l'a conquis, il poursuit sa route. Il laisse derrière lui les tombes de ses pères et ne s'en soucie pas. Vous devez enseigner à vos enfants que la terre, sous leurs pieds, est faite des cendres de nos grands-parents. Afin qu'ils la respectent, dites à vos enfants que la terre est riche de la vie de notre peuple. Apprenez à vos enfants ce que nous apprenons à nos enfants, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Lorsque les hommes crachent sur la terre, ils crachent sur eux-mêmes. Nous le savons: la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre. Nous le savons : toutes choses sont liées comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses sont liées. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. L'homme n'a pas tissé la toile de la vie, il n'est qu'un fil de tissu. Tout ce qu'il fait à la toile, il le fait à lui-même. Mais nous allons considérer votre offre d'aller dans la réserve que vous destinez à mon peuple. Nous vivrons à l'écart et en paix. Qu'importe où nous passerons le reste de nos jours. Nos enfants ont vu leurs pères humiliés dans la défaite. Nos guerriers ont connu la honte ; après la défaite, ils coulent des jours oisifs et souillent leur corps de nourritures douces et de boissons fortes. Qu'importe où nous passerons le reste de nos jours ? Ils ne sont plus nombreux. Encore quelques heures, quelques hivers, et il ne restera plus aucun des enfants des grandes tribus qui vivaient autrefois sur cette terre, ou qui errent encore dans les bois, par petits groupes; aucun ne sera là pour pleurer sur les tombes d'un peuple autrefois aussi puissant, aussi plein d'espérance que le vôtre. Mais pourquoi pleurer sur la fin de mon peuple ? Les tribus sont faites d'hommes, pas davantage. Les hommes viennent et s'en vont, comme les vagues de la mer. Même l'homme blanc, dont le Dieu marche avec lui et lui parle comme un ami avec son ami, ne peut échapper à la destinée commune. Peut-être sommes-nous frères malgré tout; nous verrons. Mais nous savons une chose que l'homme blanc découvrira peut-être un jour: notre Dieu est le même Dieu. Vous avez beau penser aujourd'hui que vous le possédez comme vous aimeriez posséder notre terre, vous ne le pouvez pas. Il est le Dieu des hommes, et sa compassion est la même pour l'homme rouge et pour l'homme blanc. La terre est précieuse à ses yeux, et qui porte atteinte à la terre couvre son créateur de mépris. Les blancs passeront, eux aussi, et peut-être avant les autres tribus. Continuez à souiller votre lit, et une belle nuit, vous étoufferez dans vos propres déchets. Mais dans votre perte, vous brillerez de feux éclatants, allumés par la puissance du Dieu qui vous a amenés dans ce pays, et qui, dans un dessein connu de lui, vous a donné pouvoir sur cette terre et sur l'homme rouge. Cette destinée est pour nous un mystère; nous ne comprenons pas lorsque tous les buffles sont massacrés, les chevaux sauvages domptés, lorsque les recoins secrets des forêts sont lourds de l'odeur d'hommes nombreux, l'aspect des collines mûres pour la moisson est abîmé par les câbles parlants. Où est le fourré ? Disparu. Où est l'aigle? Il n'est plus. Qu'est-ce que dire adieu au poney agile et à la chasse ? C'est finir de vivre et se mettre à survivre. Ainsi donc, nous allons considérer votre offre d'acheter notre terre. Et si nous acceptons, ce sera pour être bien sûrs de recevoir la réserve que vous nous avez promise. Là, peut-être, nous pourrons finir les brèves journées qui nous restent à vivre selon nos désirs. Et lorsque le dernier homme rouge aura disparu de cette terre, et que son souvenir ne sera plus que l'ombre d'un nuage glissant sur la prairie, ces rives et ces forêts abriteront encore les esprits de mon peuple. Car ils aiment cette terre comme le nouveau-né aime le battement du coeur de sa mère. Ainsi, si nous vous vendons notre terre, aimez-la comme nous l'avons aimée. Prenez soin d'elle comme nous en avons pris soin. Gardez en mémoire le souvenir de ce pays, tel qu'il est au moment où vous le prenez. Et de toute votre force, de toute votre pensée, de tout votre coeur, préservez-le pour vos enfants et aimez-le comme Dieu vous aime tous. Nous savons une chose: notre Dieu est le même Dieu. Il aime cette terre. L'homme blanc lui-même ne peut pas échapper a la destinée commune. Peut-être sommes-nous frères, nous verrons. » -------------------------------------------------------- Bonjour pouvez vous m'aidez a rédiger le paragraphe sur la malhoneté des hommes blancs Mon plan est : 1/malhoneter 2/incompréhension Pouvez vous me dire si ce que j'ai fait est bien Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lyhra Posté(e) le 5 juin 2009 Signaler Share Posté(e) le 5 juin 2009 Bonjour Je n'ai pas besoin d'aide pour un devoir mais j'ai juste une question : je suis en seconde, les cours finissent dans une semaine et je m'inquiètes un peu car en français, nous avons étudié pendant 2 ou 3h de cours cette semaine la méthode pour faire un commentaire composé, mais notre professeur nous a dit qu'on aurait pas le temps de s'entraîner. Je vais donc arriver en 1ere l'anné prochaine sans jamais avoir fait de commentaire composé Je voulais donc savoir s'il vaut mieux m'entraîner pendant les vacances ou si c'est courant de ne pas finir le programme comme cela. Merci d'avance Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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