Invité Posté(e) le 27 mars 2011 Signaler Posté(e) le 27 mars 2011 Bonjour merci de bien vouloir corriger les fautes d'orthographes ainsi que mes réponses merci beaucoup d'avance. 1ère partie: Le père Goriot vieillard de 69 ans environ s'était retiré chez madame Vauquer en 1813 après avoir quitté les affaires.Il y avait d'abord pris l'appartement occupé par madame Couture,et donnait douze cents francs de pension,en homme pour cinq louis de plus ou de moins étaient une bagatelle.Madame Vauquer avait rafraîchi les 3 chambres de cet appartement moyennant une indemnité préalable qui paya dit-on la valeur d'un méchant ameublement composé de rideaux en calicot jaune de fauteuils en bois verni couvert de velours d'Utrecht,de quelques peintures à la colle,et de papiers que refusaient les cabarets de la banlieue.Peut-être l'insouciante générosité que mit à se laisser attraper le père Goriot,qui vers cette époque était respectueusement nommé M.Goriot,le fit-elle considérer comme un imbécile qui ne connaissait rien aux affaires.Goriot vint muni d'une garde-robe bien fournie,le trousseau magnifiqe du négociant qui ne se refuse rien en se retirant du commerce.Madame Vauquer avait admiré 18 chemises de demi-hollande,dont la finesse était d'autan plus remarquable que le vermicellier portait sur son jabot 2 épingles unies par une chaînette et dont chacune était montée d'un gros diamant.Habituellement vêtu d'un habit bleu-barbeau il prenait chaque jour un gilet de piquet blanc sous lequel fluctuait son ventre piriforme et proèminent qui faisait rebondir une lourde chaîne d'or garnie de breloques.Sa tabatière également en or contenait un médaillon plein de cheveux qui le rendaient en apparence coupable de quelques bornes fortunes .Lorsque son hôtesse l'accusa d'être un galantin il laissa errer sur ses lèvres le gai sourire du bourgeois dont on a flatté le dada.Ses ormoires(il prononçait ce mot à la manière du menu peuple) furent remplies par les nombreuse argenterie de son ménage.Les yeux de la veuve s'allumèrent quand elle l'aida complaisamment à déballer et ranger les louches,les cuillers à ragoût,les huiliers,les saucières plusieurs plats des déjeuners en vermeil,enfin des pièces plus ou moins belles, pesant un certain nombre de marcs et dont il ne voulait pas se défaire.Ces cadeaux lui rappelaient les solennités de sa vie domestique. 2éme partie: Vers la fin de la troisième année,le père Goriot réduisit encore ses dépenses,en montant au troisième étage et en se mettant à quarante-cinq francs de pension par mois.Il se passa de tabac,congédia son perruquier et ne mit plus de poudre, son hôtesse laissa échapper une exclamatio de surprise en apercevant la couleur de ses cheveux,ils étaient d'un gris sale et verdâtre.Sa physionolie,que des chagrins secrets avaient insensiblement rendue plus triste de jour en jour,semblait la plus désolée de toutes celles qui garnissaient la table.Il n'y eut alors plus aucun doute:le père Goriot était un vieux libertin dont les yeux n'avaient été préservéq de la maligne influence des remèdes nécessits par ses maladies que âr l'habileté d'un médecin. La couleur dégoûtante de ses cheveux provenait de ses excés et des drogues qu'il avait prises pour les continer.L'état physique et moral du bonhomme donnait raison à ces radotages.Quand son trousseau fut usé,il acheta du calicot à 14 sous l'aune pour remplacer son beau linge.Ses diamants,sa tabatière d'or,sa chaîne,ses bijoux disparurent un à un.Il avait quitté l'habit bleu - barbeau , tout son costume cossu , pour porter été comme hiver,une redingote de drap maron grossier,ungilet npoil de chèvre et un tombèrent,sa figure , bouffie par le contentement d'un bonheur bourgeois,se rida démesurément;son front se plissa sa mâchoire se dessina.Durant la 4éme année de son établissement rue Neuve-Sainte-Geneviève,il ne se ressemblait plus.Le bon vermicellier de 69 ans qui ne paraissait pas en avoir quarante,le bourgeois gros et gras,frais de bêtise ,dont la tenue égrillarde réjouissait les passants,qui avait quelque chose de jeune dans le sourire,semblait être un septuagénaire hébété ,vacillant,blafard.Ses yeux bleus si vivaces prirent des teintes ternes et gris de fer,ils avaient pâli ,ne faisait horreur,aux autres,il faisait pité.De jeunes étudiants en médecine,ayant remarqué l'abaissement de sa lèvre inférieure et mesuré le sommet de son agle facial,le déclarère atteint de crétinisme,après l'avoir longtemps houspillé sans en rien tirer. QUESTIONS: 1)En quelle année se déroulent les événements ici racontés? 2)Quels sont les mots(noms,adjectifs)qui montrent la déchéance de Goriot,sur les plans matériel,physique et moral? ( faire un tableau si c'est physique,moral...) 3)Quelle est la réaction de madame Vauquer face à la nouvelle apparence physique de Goriot?Expliquer cette réaction et comparez-la à celle qu'elle avait eu à l'arrivée de son nouveau pensionnaire. 4)Comment s'explique-t-elle ce changement?Quelle phrase prouve que cela confirme ce qu'elle pensait déjà? 5)Quel effet produit désormais le personnage au lecteur? 6)Comment cette impression se traduit-elle dans la gravure de Daumier? Commentez celle-ci ( dénotez puis connotez) Expression écrit: rédigez un dialogue: «Aux uns , il faisait horreur; aux autres, il faisait pitié.» Et vous,quelle est votre réaction devant ce personnage? Vous êtes l'un des pensionnaires de madame Vauquer et vous discutez avec elle au sujet de Goriot après le repas du soir.Rédigez au passé quelques phrases de récit pour situé l'action.Puis commencez votre dialogue en faisant alterner au discours direct les paroles de votre hôtesse et les vôtres. Réponses: 1)Les événements ici racontés se déroulent en 1816. 2)Quels sont les mots(noms,adjectifs)qui montrent la déchéance de Goriot,sur les plans matériel,physique et moral? ( faire un tableau si c'est physique,moral...) faut pas mettre les verbes je crois réduisit encore ses dépenses en se mettant à quarante-cinq francs de pension par mois. Il se passa de tabac, congédia son perruquier ne mit plus de poudre, ses cheveux,ils étaient d'un gris sale et verdâtre. Sa physionomie rendue plus triste semblait la plus désolée de toutes celles qui garnissaient la table. un vieux libertin La couleur dégoûtante de ses cheveux ses excés et des drogues .Quand son trousseau fut usé, il acheta du calicot à 14 sous l'aune pour remplacer son beau linge .Ses diamants,sa tabatière d'or,sa chaîne,ses bijoux disparurent un à un. il avait quitté l'habit bleu - tout son costume cossu porter été comme hiver,une redingote de drap maron grossier,ungilet npoil de chèvre ,sa figure se rida démesurément ;son front se plissa sa mâchoire se dessina. .Le bon vermicellier de 69 ans semblait être un septuagénaire hébété ,vacillant,blafard. Ses yeux prirent des teintes ternes et gris de fer, ils avaient pâli , faisaient horreur aux autres il faisait pité. l'abaissement de sa lèvre inférieure 3)plus aucun doute:le père Goriot était un vieux libertin dont les yeux n'avaient été préservé de la maligne influence des remèdes nécessités par ses maladies que par l'habileté d'un médecin. 4) 5)L'effet que produit désormais le personnage sur le lecteur rejet, dégoût, honte 6) Expression écrite: "Aux un,il faisait horreur,aux autres,il faisait pitié" -Bonsoir Madame Vauquer!Comment allez vous ce soir ? -Je vais très bien merci,et vous ? -Je vais bien!Mais une personne m'inquiète et elle elle ne va pas bien! -Venez vous installer dans le salon! -C'est le père Goriot qui m'inquiète ! L'aviez vous aperçu aujourd'hui? -Oui je l'ai aperçu ce matin , il se dégrade de plus en plus! Le pauvre. -Vous saviez pourquoi il ne va pas bien? -Non je ne sais pas ! -J'aimerais bien pouvoir l'aider ! -Comment? -Malheureusement je ne sais pas!Je pense que je vais aller le voir et discuter pour essayer de comprendre pourquoi il devient comme sa!Il à vraiment pris un coup de vieux ! -Oui c'est allucinant! -Demain j'irais le voir ! -D'accord vous me tiendrez au courant, et j'espère que vous allez réussir à lui faire remontrer la pente! -Oui , moi aussi , bonne soirée!
E-Bahut moîravita Posté(e) le 27 mars 2011 E-Bahut Signaler Posté(e) le 27 mars 2011 Q.1: OK Q2: a)déchéance matérielle OK(pension, vêtements, accessoires) b)déchéance physique OK c)déchéance morale : plus triste,chagrins secrets, hébété, vieux libertin-horreur-pitié-crétinisme) 3.Réactions de mme V. 2è extrait: exclamation de (mauvaise ) surprise, le traite de "vieux libertin", de PERE Goriot. 1er extrait: admiration devant les signes extérieurs de richesse de MONSIEUR Goriot,le traite de "galantin", mais voit en lui un "pigeon" généreux et insouciant qu'elle va pouvoir "plumer". 4.Le père Goriot était un vieux libertin. 5. OK. + malaise ? + pitié ? 6.Personnage de profil(ne regarde plus la vie en face, est gêné),les paupières tombantes, l'oeil fixe, terne,la bouche entrouverte, hébété, peu soigné, recroquevillé sur lui-même,statique, dont les seuls sourcils et doigts pourraient s'animer (les doigts croisés sur les genoux pourraient toucher ... pour quelque libertinage? et les pouces se tourner inlassablement comme le font les vieillards ?). Toutes les lignes du dessin convergent vers le sol (tristesse) sauf celles de la jambe droite,( dernier sursaut de vie ?) Le dessin donne l'impression d'un être habité par une profonde dépression. Je poste le reste dans le message suivant.
E-Bahut moîravita Posté(e) le 27 mars 2011 E-Bahut Signaler Posté(e) le 27 mars 2011 Monsieur Untel (donne-lui un nom) rentrait de promenade lorsqu'il croisa Madame Vauquer dans le hall de la pension. --Bonjour, Madame Vauquez, comment vous portez-vous en cette belle fin d'après-midi ? --Très bien , je vous remercie, et vous - même, Monsieur X ? --A merveille, Dieu merci, mais je crains que ce ne soit pas le cas de tous vos locataires, hélas! --Ah bon ! Qu'est-ce qui vous fait dire cela ? --Il me semble que le père Goriot n'est guère en forme ces derniers temps .(ou dernière phrase) --Venez donc vous installer dans le salon, Monsieur X, nous y serons plus à l'aise pour en parler . --Avez-vous aperçu le père Goriot aujourd'hui , Madame Vauquer. --Oui, ce matin , il est descendu pour le petit déjeuner . C'est vrai que la santé du pauvre homme semble se dégrader de jour en jour. --C'est bizarre, et tellement rapide, ne trouvez-vous pas ? A quoi pourrait-on attribuer cette sournoise déchéance ? --Vraiment, je l'ignore , et lui - même ne s'en soucie pas : il ne fait appel à aucun médecin pour le moment . --Il souffre peut-être moralement . Comment pourrait-on l'aider ? --Je ne sais ...Mais si vous essayez de lui parler, ce serait très généreux de votre part. --Oui, je vais aller le voir, discuter un peu avec lui de la pluie et du beau temps, afin de susciter ses confidences s'il le désire et soulager son coeur... --C'est une idée. tenez-moi au courant, et tentez aussi de lui rappeler qu'il me doit le montant de sa pension pour ce mois-ci. --Eventuellement . Bonne soirée, Madame Vauquer. --A vous également, Monsieur X. ET A TOI AUSSI . BON TRAVAIL!!!! --Je m'inquiète quelque peu pour le père Goriot, qui ne me semble pas en pleine forme ces temps-ci.
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