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Tout ce qui a été posté par maël - missme
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Bonjour. Je rectifie. 1.. t = A.h / A = 0,3 / 0,35 = 0,8571428 heure ce qui fait 52min ? 2. Consommation en veille 3,4/168=20,2 mW 3. Consommation en utilisation normale 3.4/12=0.3 mW Merci
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Donc ? c'est l'énoncé qui est erroné ? Je ne comprends pas.
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Bonjour. J'ai essayé . Voici mes réponses. Merci 1. t = A.h / A = 0,3 / 0,33 = 0,86 donc 1 heure Le temps de charge de la batterie est de 1 heure. 2. A.h = t x A 1 semaine = 168 heures 350 mA = 0,35 A A.h = 168 x 0,35 = 58,8 A.h En veille, la consommation électrique est de 58,8 A.h. 3. A.h = t x A 300mA = 0,3 A A.h = 12 x 0,3 = 3,6 A.h En utilisation normale, la consommation électrique correspondante est de 3,6 A.h
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Merci Denis, Jules et Black Jack. Du coup les deux solutions sont possibles ? P=U*I => I=P/U=40/12=3,33 A donc : En 1 heure il fournira 3,33 A à la batterie mais la batterie ne sera pas pleine. 80/3,33 = 24,02 24,02 : 6 = 4... Il lui faudra environ 4 jours pour recharger la batterie. et Pour recharger complètement la batterie, il faut une énergie de 12 * 80 = 960 Wh Durée de charge = 960/40 = 24 h ... soit 4 jours à raison de 6 h /jour. Je poursuis avec le deuxième exercice. Il faut commencer par changer les 300 mA.h en A ?Je poste mes réponses demain matin à tête reposée.
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Merci Julesx. Pour la question 1. P=U*I => I=P/U=40/12=3,33 A donc : En 1 heure il fournira 3,33 A à la batterie mais la batterie ne sera pas pleine. 80/3,33 = 24,02 24,02 : 6 = 4... Il lui faudra environ 4 jours pour recharger la batterie. Pour la question 2 Le propriétaire devra acheter 4 panneaux identiques pour recharger les batteries en 1 seule journée. (c'est trop simpliste ma réponse ?)
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Bonjour Denis. Je ne comprends pas pourquoi les dimensions sont en mm, moi je lis cm ? d'après la loi d'ohm : U = R xI donc : I = U/R alors : I = 12 / 40 = 0,3 A En 1 heure il fournira 0,3 A à la batterie mais la batterie ne sera pas pleine. (0,3 A.h) 80 / 0,3 heures = 266,67 266,67 : 6 = 44, 445 C'est bizarre, non ?
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Merci Denis. Je revois tout cela demain matin et je poste mes réponses. Bonne fin de journée Denis.
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Bonjour. Pouvez-vous s'il vous plaît me corriger mes deux exercices ? Merci Je découvre un nouveau chapitre. Je ne comprends pas. Pouvez-vous s'il vous plaît m'expliquer pour que je puisse faire l'exercice. La batterie fait combien de charge ? 12 V ou 80 A.h ? Moi je comprends qu' elle produit 12 V ?
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maël - missme a répondu à un(e) sujet de maël - missme dans Français
ouf, j 'avais peur que ça vienne de chez moi. -
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maël - missme a répondu à un(e) sujet de maël - missme dans Français
Moîravita, j'ai un problème. Je ne vois pas votre correction. La page est toute bleue. -
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maël - missme a répondu à un(e) sujet de maël - missme dans Français
Merci JRB. oui, je vais faire une pause. En fait je voulais m'avancer. Pour demain je n'ai que le mouvement 1 à faire. Le 2 et 3 c'est pour mercredi. à plus tard. -
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maël - missme a répondu à un(e) sujet de maël - missme dans Français
Merci Moîravita mais la correction ne s'affiche pas à l'écran. -
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maël - missme a répondu à un(e) sujet de maël - missme dans Français
Je remets un peu d'ordre. INTRODUCTION Nous allons étudier un texte de Jean de LA BRUYÈRE qui a sa place dans notre parcours Pensée et imagination au XVIIè siècle. En effet, cet extrait de l’œuvre Les Caractères ou les mœurs de ce siècle, section « Du souverain ou de la République » est un apologue, c'est-à-dire un récit à visée argumentative qui délivre une morale ou qui défend une idée. Jean de LA BRUYÈRE, né au XVIIe siècle, est un moraliste français. Précepteur à la cour royale, il a observé cette société pour écrire son œuvre qui est le reflet des maux de la société de l'époque. Dans cet extrait, il fait réfléchir le lecteur sur la fonction royale en reprenant l'image du berger et du troupeau . Nous verrons comment l'auteur fait comprendre sa pensée à travers un beau tableau. Après la lecture, nous étudierons le texte en quatre mouvements. Nous étudierons, des lignes 1 à 4, le beau tableau que peint l'auteur. Puis de la ligne 4 à 8 , nous commenterons le portrait que fait l'auteur du berger. Ensuite, nous verrons, des lignes 8 à 11,comment LA BRUYÈRE interpelle le lecteur. Enfin, nous nous pencherons sur la critique que fait l'auteur. MOUVEMENT 1. La Bruyère va peindre une belle scène à ses lecteurs qu'il fait participer. Le texte s'ouvre sur une proposition subordonnée circonstancielle de temps comme l'atteste la conjonction de subordination « Quand » L 1. L'auteur interpelle directement le lecteur par l'intermédiaire du pronom personnel de la deuxième personne du pluriel « vous » L.1. Le tout attire l'attention du lecteur. De plus, le verbe conjugué au présent de l'indicatif « voyez »L.1 souligne le caractère habituel de la scène évoquée. L’auteur invite le lecteur à partager ce spectacle. Il nous déroule la scène sous nos yeux. . Il le met en position de témoin. Le lecteur est amené à constater. Cette structure avec l'effet de rallongement jusqu'à l'apparition de la proposition principale compose un véritable tableau qui porte notre attention exclusivement sur le bien-être du troupeau. Le cadre semble idyllique. L'auteur fait la description d'un décor champêtre comme le montre le champ lexical de la nature « colline », « thym », « serpolet », prairies », « herbe ». Les couleurs suggérées sont douces, les odeurs agréables. L'action se déroule à un moment privilégié : « vers le déclin du jour » c'est-à-dire en fin de journée. Il y règne une atmosphère de calme et de sérénité avec l'utilisation d'un lexique mélioratif « beau jour », « paît tranquillement ». Cela suggère un monde hors du temps. La raison de cette sérénité semble être le berger qui apparaît dans la proposition subordonnée principale. Il est « debout auprès de ses brebis ». Tout paraît harmonieux. Cette scène évoque au lecteur un tableau de Manet. MOUVEMENT 2 La Bruyère nous présente un berger actif. L'attention du lecteur est entraînée habilement vers le personnage avec la répétition du pronom personnel « il ». Ce pronom désigne le berger. Cela permet d'insister sur son rôle central sur le troupeau. La Bruyère énumère les différentes tâches accomplies par le berger pour le troupeau à travers des propositions indépendantes juxtaposées « il ne les perd pas de vue », « il les suit », « il les conduit ». Deux tâches lui incombent. Il protège son troupeau et le nourrit comme l'affirme les verbes « ne les perd pas », « « les suit », « les conduit », les rassemble », « les change de pâturage » L.5 « les nourrit » L.7. . Il insiste sur les dangers que pourraient subir le troupeau avec les deux subordonnées semblables « si... » L.5 et 6. Il émet des hypothèses qui correspond à deux menaces. Le berger ne compte pas son temps, il mène une surveillance constante : « l'aurore le trouve déjà en pleine campagne, d'où il se retire qu'avec le soleil ». Il dévoue sa journée entière à son troupeau. Ses journées sont bien remplies. La Bruyère nous laisse croire que la sérénité qui règne dans ce tableau est l’œuvre du berger. Les phrases exclamatives en groupe ternaire « Quels soins ! Quelle vigilance! Quelle servitude ! L;8 introduisent une idée paradoxale. Les deux premiers termes « soins » et « « vigilance » valorise l'homme qui semble attentionné pour son troupeau mais le dernier terme « servitude » nous surprend. Le berger très protecteur est en réalité un tyran. Le troupeau est sous sa coupe. C'est lui qui dirige comme il l'entend ses bêtes qui ne sont absolument pas libres. Je continue pour le MOUVEMENT 3 MOUVEMENT 3 La Bruyère interpelle le lecteur en utilisant des phrases interrogatives comme le souligne la ponctuation forte « ? ». Ainsi, il laisse le lecteur réfléchir et lui demande de juger. La première question porte sur la liberté du troupeau. L'utilisation des superlatif « la plus » ...tout conduit le lecteur à répondre que la « condition » « la plus délicieuse et la plus libre » est bien évidemment celle des brebis, qui n’ont aucun souci et dont le bien-être est assuré. La deuxième question mise en valeur par un chiasme « le troupeau est-il fait pour le berger, ou le berger pour le troupeau ? » porte sur la relation entre le berger et le troupeau. La Bruyère met en place une analogie entre le bon berger et le bon prince. Je n'ai pour l'instant que ces 3 mouvements à préparer. (le 3 me paraît un peu difficile à commenter) Merci -
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maël - missme a répondu à un(e) sujet de maël - missme dans Français
Merci JRB. Poussin je connais La Vierge à l'Enfant -
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maël - missme a répondu à un(e) sujet de maël - missme dans Français
oui, j'y avais bien pensé à Monet. Je confonds souvent avec Manet (le déjeuner sur l'herbe) Je vais manger et je reviens. Bon appétit . -
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maël - missme a répondu à un(e) sujet de maël - missme dans Français
Cela me touche énormément ! ça me fait plaisir et m'encourage à poursuivre dans ce sens. MERCI à vous deux. Je corrige. Nous verrons comment l'auteur fait comprendre sa pensée à travers un beau tableau. Je poursuis. La Bruyère va peindre une belle scène à ses lecteurs qu'il fait participer. Le texte s'ouvre sur une proposition subordonnée circonstancielle de temps comme l'atteste la conjonction de subordination « Quand » L 1. (quel effet?) L'auteur s'adresse au lecteur par l'intermédiaire du pronom personnel de la deuxième personne du pluriel « vous » L.1. De plus, le verbe conjugué au présent de l'indicatif « voyez »L.1 nous prouve que l'auteur invite le lecteur à partager ce spectacle. Cette structure avec l'effet de rallongement jusqu'à l'apparition de la proposition principale compose un véritable tableau qui porte notre attention exclusivement sur le bien être du troupeau. Le cadre semble idyllique. L'auteur fait la description d'un décors champêtre comme le montre le champ lexical de la nature « colline », « thym », « serpolet », prairies », « herbe ». Les couleurs suggérées sont douces, les odeurs agréables. L'action se déroule à un moment privilégié : « vers le déclin du jour » c'est-à-dire en fin de journée. Il y règne une atmosphère de calme et de sérénité avec l'utilisation d'un lexique mélioratif « beau jour », « paît tranquillement ». Cela suggère un monde hors du temps. La raison de cette sérénité semble être le berger qui apparaît dans la proposition subordonnée principale. Il est « debout auprès de ses brebis ». Tout paraît harmonieux. Cette scène fait penser pour un lecteur à un tableau de ? Merci -
Bonjour. Je dois faire la lecture tabulaire du texte de LA BRUYERE (commentaire composé). Pouvez-vous s'il vous plaît me corriger ? Merci Texte 1 : Jean de LA BRUYERE (1645-1696), 29 (VII) Quand vous voyez quelquefois un nombreux troupeau, qui répandu sur une colline vers le déclin d’un beau jour, paît tranquillement le thym et le serpolet, ou qui broute dans une prairie une herbe menue et tendre qui a échappé à la faux du moissonneur, le berger, soigneux et attentif, est debout auprès de ses brebis ; il ne les perd pas de vue, il les suit, il les conduit, il les change de pâturage ; si elles se dispersent, il les rassemble ; si un loup avide paraît, il lâche son chien, qui le met en fuite ; il les nourrit, il les défend ; l’aurore le trouve déjà en pleine campagne, d’où il ne se retire qu’avec le soleil : quels soins ! quelle vigilance ! quelle servitude ! Quelle condition vous paraît la plus délicieuse et la plus libre, ou du berger ou des brebis ? Le troupeau est-il fait pour le berger, ou le berger pour le troupeau ? Image naïve des peuples et du prince qui les gouverne, s’il est bon prince. Le faste et le luxe dans un souverain, c’est le berger habillé d’or et de pierreries, la houlette d’or en ses mains ; son chien a un collier d’or, il est attaché avec une laisse d’or et de soie. Que sert tant d’or à son troupeau ou contre les loups ? INTRODUCTION Nous allons étudier un texte de Jean de LA BRUYÈRE qui a sa place dans notre parcours Pensée et imagination au XVIIè siècle. En effet, cet extrait de l’œuvre Les Caractères ou les moeurs de ce siècle, section « Du souverain ou de la République » est un apologue, c'est-à-dire un récit à visée argumentative qui délivre une morale ou qui défend une idée. Jean de LA BRUYÈRE, né au XVIIè siècle, est un moraliste français. Précepteur à la cour royale, il a observé cette société pour écrire son œuvre qui est le reflet des maux de la société de l'époque. Dans cet extrait, l'auteur critique le pouvoir absolu de Louis XIV. Nous verrons comment LA BRUYÈRE fait-il comprendre sa pensée à travers un beau tableau ? Après la lecture, nous étudierons le texte en quatre mouvements. Nous étudierons, des lignes 1 à 4, le beau tableau que peint l'auteur. Puis de la ligne 4 à 8 , nous commenterons le portrait que fait l'auteur du berger. Ensuite, nous verrons, des lignes 8 à 11,comment LA BRUYÈRE interpelle le lecteur. Enfin, nous nous pencherons sur la critique que fait l'auteur. Je travaille la suite et je poste. Merci
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Je retravaille
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Bonjour je crois que ce que j'ai fait n'est pas bien pour une dissertation. Ce que j'ai fait ressemble à un commentaire de texte.
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Merci merci Moiravita. Je dois la rendre au plus tard vendredi. J ai. travaillé dessus toute la journée. J y vois un peu plus clair mais je ne sais pas comment m y prendre. Bonne soirée et encore merci
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J'ai beau tourner le "truc" dans tous les sens ... Bérénice voue une passion démesurée pour Titus dont elle fait l'éloge à sa confidente Phénice. Son amour pour Titus la charme, l'aveugle et l'ensorcelle. Lorsqu' elle évoque l'homme qu'elle aime, elle lui montre une admiration inconditionnelle. Par exemple, elle fait du récit du couronnement du prince une véritable hypotypose. Elle le fait grâce à un discours plein de lyrisme, exprimant les émotions intimes qu’elle ressent lorsqu’elle se remémore l’événement de façon à les faire partager par le spectateur.
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J'ai vraiment l’impression de faire un commentaire de texte plutôt qu'une dissertation. Bérénice voue une passion démesurée pour Titus dont elle fait l'éloge à sa confidente Phénice. En effet, aveuglée, charmée et ensorcelée par ce profond amour, elle donne une image idéalisée de Titus. Elle montre son admiration pour lui. Par exemple, elle le décrit comme un être puissant et admiré de son peuple en utilisant le champs lexical de la gloire Par exemple, elle fait du récit du couronnement du prince une véritable hypotypose. Tout ce qui est décrit semble se passer sous les yeux du spectateurs. Elle utilise pour ce faire les déterminants démonstratifs comme "ces flambeaux", "ce bûcher", "ces aigles", "ces faisceaux" et "ces lauriers". Elle emploie le champ lexical de la vue avec les mots « yeux », « regards », « voir » ainsi que les couleurs « enflammée », « pourpre », « or » font de ce tableau.Donc, Bérénice est une héroïne tragique qui est enfermée dans sa passion pour Titus.
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Bonjour, je reprends donc. Bérénice voue une passion démesurée pour Titus dont elle fait l'éloge à sa confidente Phénice. En effet, aveuglée, charmée et ensorcelée par ce profond amour, elle donne une image idéalisée de Titus. Par exemple, le récit du couronnement du prince est l'occasion pour elle de montrer Titus comme un homme glorieux et admiré de son peuple. Les déterminants démonstratifs ainsi que les symboles de la puissance "ces flambeaux", "ce bûcher", "ces aigles", "ces faisceaux" et "ces lauriers" donnent à voir la scène du couronnement. De plus, le champs lexical de la vue : "as-tu vu", "tes yeux", "Tous ces yeux", leurs avides regards" met en valeur le rayonnement du prince. Tous les regards convergent vers Titus. Bérénice se confie à Phénice : "Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur". Donc, Bérénice est une héroïne qui fait l'éloge de son amant, qui est contente qu'il devienne empereur mais c'est une héroïne tragique car c'est justement cet événement qui va faire que Titus ne va pas pouvoir l'épouser. Voilà pour le première argument. - explication - exemple commenté - citation -conclusion est-ce que mes citations sont bien introduites ? Merci Elle le présente sous nos yeux, grâce au procédé de l’hypotypose : les déterminants démonstratifs sont très nombreux et destinés à rendre visible la scène du couronnement (« ces flambeaux, ce bûcher », « ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée » C'est une catastrophe ! Ensuite, Bérénice est une héroïne confiante et optimiste. En effet, elle est persuadée que Titus va l'épouser et qu'elle va devenir impératrice. Pour elle l'évidence est frappante. Titus, puissant, pourra imposer son choix. Cela lui permet de se rassurer car elle présent le malheur à venir.. Par exemple, elle est convaincue que l'amour de Titus va triompher sur la raison d'Etat. Ainsi, elle dit à Phénice « Titus m'aime, il peut tout, il n'a plus qu'à parler » Donc, Bérénice est une héroïne optimiste qui est convaincue que Titus va l'épouser. C'est une héroïne tragique car le spectateur en sais plus sur le sort de la reine. Je n'y arrive vraiment pas.
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Je comprends Moîravita. Moi aussi je commence à avoir du mal. Courage. On verra bientôt le bout du tunnel. A demain.
