Voilà ce que tu écris
f(x)=(-5x²+1)³
f'(x)=3*(-10x)(-5x²+1)² jusque là OK
ensuite, tu veux développer le carré, ce que, moi, j'aurais évité, en gardant le résultat sous la forme -30x(-5x²+1)²
Pour développer le carré, au lieu d'utiliser (a+b)²=a²+2ab+b², tu calcules (-5x²+1)(-5x²+1) et c'est là que tu fais l'erreur -5x²-5x²=-10x², pas 0.
D'accord ?
C'est une bonne dissertation , mais veille à ne pas répéter les mêmes termes (manipuler par exemple) et à bien séparer les différentes parties par des alinéas . (En premier lieu, en second lieu, enfin ...)
Cécile , dans les "Liaisons dangereuses" , est Cécile de VolaNges .
JRB a pris la peine de corriger ton travail .
J'ai du mal avec les pièces jointes . Si tu désires un avis sur le fond,, tu peux m'envoyer ton travail intégralement sur ma messagerie personnelle où je pourrai l'éditer et corriger en direct .
Pour Médée, de Corneille , Acte V , scène 2 (et non scène 3!)
Dans ce monologue, Médée exprime son déchirement entre son désir de vengeance contre un mari infidèle et son amour maternel pour les deux enfants qu'elle a eus de ce dernier . La mise en oeuvre de sa vengeance exigerait qu'elle tue ses deux enfants pour faire souffrir Jason, son mari, qui la trompe avec Créüse .
Son trouble s'exprime par
1. Les variations de rythme de son débit de paroles : aux interrogations succèdent des impératifs qu'elle s'impose à elle-même,(impératif 1èPP (suppléons, immolons ) où elle se "fond" dans un pluriel hypothétique pour se disculper . Le rythme est haletant , de par ces interrogations, ces répétitions (Est-ce assez, Est-ce) qui témoignent de la confusion de son esprit .
2. Les personnifications : ma vengeance(v.1) / Nature (v.9) : Médée ne sait à qui s'adresser pour préméditer son infanticide .
3. L' emploi de mots appartenant à des champs lexicaux opposés : innocents /criminels; père/amant; pitié/fureur ; amour/colère ; j'adore/horreur .
Je t'enverrai plus tard mes impressions pour Iphigénie .
Quant à Camus, je ne parviens pas à déchiffrer l'extrait . Il s'agit de la justification de Kaliayev de n'avoir pu lancer la bombe sur des enfants innocents au nom de la justice : commettre un crime se justifie-t-il au nom d'une idée, au nom de la justice ? ll me faudrait le texte bien lisible pour te répondre .
A plus tard .
Bonjour,
Mon professeur de Français m'a demandé de rédiger un Rédaction. Celle-ci s'inscrit dans l'étude de La Ferme des animaux de George Orwell.
Voici le sujet : Un des animaux, que le discours de Sage l'Ancien n'a pas convaincu, prend la parole pour exprimer son désaccord : rédigez son discours. Comme Orwell, vous vous efforcerez d'impliquer votre auditoire que vous tenterez d'émouvoir et de persuader. Votre travail devra s'organiser en quatre parties.
Voici mes travaux :
La joie et l'ivresse galvanisaient chaque animal et les encourageaient à prendre la parole. Tour à tour, ils s'avancèrent sur la vieille caisse contenant le matériel de chasse de Monsieur Jones qui servait d'estrade et prirent la parole. Benjamin, un vieil âne dont la dur vie de labeur à laisser des séquelles sur son corps osseux prit la parole puis commença en ces termes :
« Mes amis, mes très chers amis, je sais au combien le discours de Sage l'Ancien vous a ému et vous a touché. Je vous le dis ouvertement, camarade, c'est la première fois dans ma longue et pénible vie de labeur que j'entends une telle allocution. Vous me connaissez, les moindres instants de ma vie vous sont connus. Vous savez également au combien me peine l'hypocrisie. C'est pour cela que j'ai décidé de vous exprimer mon profond désaccord.
Il y a fort longtemps, je me suis essayé à la lecture non sans quelques difficulté, je vous le concède. Je me rappelle particulièrement de mon tout premier livre. C'était un livre philosophique dont le nom est peut-être enfoui quelque part dans ma mémoire. Il traitait un sujet, qui me paru, au premier abord, fort abstrait. Je me souvins d'une phrase en particulier qui me permis de comprendre le sens énigmatique de cet ouvrage. Ces quelques mots parlaient de la raison et de ses bienfaits. La Raison, la très Sainte Raison, camarade, anime chaque être qu'il soit un Homme ou un animal. Elle leur permet de distinguer le Bien du mal et les pousse à faire les bons choix. Je suis convaincu, que quelque part en vous sommeil la Raison. Ne serait-il pas temps, mes amis, de la réveiller ?
Sage l'Ancien nous promet un monde de richesse et de liberté. Tout naturellement, je me suis demandé comment une telle utopie pourrait devenir réalité. Camarade, j'en appelle à votre raison : ne pensez-vous pas que la Révolution que prône, notre ami cochon, ne serait que source de malheurs et d'ennuis ? Je suis certain, que le vieux Monsieur Jones ne se laissera pas exproprié facilement. J'ai surpris une conversation entre celui-ci et sa femme, il y a peu : il lui manifestait sa satisfaction d'avoir acheté une arme à feux. Combien d'entre nous souffrirons le martyr ? Combien d'entre nous ne se relèveront pas ? Admettons que le soulèvement réussisse. Qui organisera la ferme ? Je suis convaincu de la présence dans cette assemblée d'êtres pour lesquels la Révolution ne serait qu'un moyen d'assouvir leur soif de pouvoir. Et, comment s'organisera le travail ? Je vous le dis ouvertement, seul les hommes disposent des compétences nécessaires pour répartir équitablement les tâches entre tous les animaux.
Souvenez-vous-en, camarade : le Soulèvement ne vous apportera rien d'autre que des malheurs et des ennuis. Écoutez tous la Raison, qui s'éveille en vous ! J'ai connu bien des fermes avant celle-ci. J'en ai tiré cette conjecture : c'est à nous de se rapprocher des Hommes et de briser la défiance qui nous tient à l'écart de l'Homme. C'est à nous seul que revient le droit de faire le premier pas et de former un monde dans lequel l'Homme et l'animal partagerait les mêmes intérêts et œuvraient pour le bien commun. »
Ce travail sera évalué avec la notation du Brevet. Pourriez-vous, s'il vous plaît, me dire ce que vous en pensez ? Et, pourriez-vous me dire si ce travail est suffisant pour obtenir une notre proche de 30/40 ?
Merci.