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Les Panathénées Fête Civique Et Religieuse


kong

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les panathénées sont une fête civique car toute la cité y participe (même les non citoyens comme les esclaves,les femmes,les enfants,les méthèques....)

Fête religieuse: car en honneur de la déesse protectrice Athéna aussi appelé déesse poliade cela se déroules tous les ans. Et tous les 4 ans les grandes panathénées avec une "hécatombe" sacrifice de 100 boeufs.

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  • 3 semaines plus tard...

Voilà tout ce que j'ai concernant les Panathénées :)

Pourquoi la frise sculptée par Phidias se trouvait-elle dans le Parthénon ?

1/ Elle se trouve à l'intérieur pour que seul les prêtres puissent la voir, elle est ici pour remercier les dieux (car ils pensent que c'est grâce a eux qu'ils ont gagner contre les Perses) et pour conserver leur protection.

Quel est le rôle de la cité-Etat dans l'organisation des Panathénées ?

2/ C'est eux qui met en place l’évènement, et qui désigne les citoyens riches pour payer les boeufs et autres qui serviront de sacrifices pour les dieux.

Pourquoi le banquet est-il un moment important de la fête ?

3/ Car il permet de fêter l'unité de la cité, en effet femmes, enfants, citoyens et peut être esclaves (on n'est pas sure) sont présent et partagent un immense repas tous ensemble

Pourquoi la fête religieuse des Panathénées est-elle en même temps une fête civique ?

Les Panathénées sont célébrées en l’honneur d’Athéna, déesse protectrice de la cité d’Athènes. Les petites Panathénées ont lieu tous les ans tandis que les Grandes Panathénées, plus fastueuses, ont lieu tous les quatre ans.

Pendant quatre jours se succèdent des sacrifices d’animaux, des jeux et des concours. Le dernier jour, une procession qui réuni des citoyens, des filles de citoyens et des métèques traverse la cité jusqu’au Parthénon sur l’Acropole pour offrir à la statue en bois d’Athéna un voile, le peplos, tissé et brodé par de jeunes athéniennes, les ergastines. Un sacrifice sur l’autel d’Athéna niké, suivi d’un banquet offert par la cité au peuple des Athéniens fait aussi partie de la fête.

Les panathénées

Les panathénées célébraient la déesse Athéna, protectrice de la cité d'Athènes. Les petites panathénées se déroulait chaque année, à la fin du mois de juillet. Les grandes (crées en -466) avaient lieu tous les 4 ans.

Quels rôles a joués cette fête dans la vie des habitants d'Athènes ?

La cérémonies

Pour se rendre à l'acropole, colline sacré principalement dédiée a la déesse Athéna, les habitants d'Athènes longeaient la voie sacré, traversaient l'Agora puis arrivaient au sanctuaire, y pénétraient par les propylès. Ils ornaient alors la statue d'ivoire et d'or d'Athéna du péplos (vêtement) puis se dirigeaient vers l'autel pour observer le sacrifice des bœufs dit sacré. La viande était alors partagé en parts égales, distribué à tous les Athéniens.

Participation

Tous les habitants de la cité participaient à cette cérémonie

Les citoyens (hommes libres, majeurs et né de parents athéniens) financent et organisent la cérémonie.

Les jeunes filles de citoyens, les ergastines, tissaient et brodaient le péplos.

Les métèques (étrangers vivant à Athènes) participaient au cortège. Quand aux esclaves, ils étaient chargés du service, ils participaient aux festivités, bien qu'indirectement.

En conclusion, on peut dire que les panathénées étaient une fête à la fois religieuse et civique..

En effet, elles étaient religieuse car on honorait un dieu mais elles étaient aussi civique car tous les habitants de la cité, citoyens ou non-citoyen, étaient invités a participer. Cette fête offrait une image de générosité et de solidarité à la grande cité d'Athènes.

cité-état :

Dans l'Antiquité, la Grèce était formée de nombreuses cités repliées sur elles-mêmes qui n'entretenaient pas de lien commercial entre elles. Elles constituaient donc de petits États indépendants et distincts.

Les Panathénées sont des fêtes en l'honneur de la déesse Athéna elles ont lieu tous les 4 ans. Pendant les trois premiers jours, les Athéniens organisent des concours sportifs et musicaux. Le quatrième jour, un long cortège emprunte la voie sacrée il part du quartier des potiers appelé le céramique traverse la place publique : l’Agora et gravit les pentes de l’Acropole. Des jeunes filles (les Ergastines) apportent, pour revêtir la vieille statue en bois d'Athéna, le péplos, une tunique sacrée tissée par les arrhéphores.

Cette procession a été représentée sur le temple du Parthénon sous la direction du plus grand sculpteur : Phidias. Les plaques sculptées se trouvent sur la frise intérieure qui est d'ordre ionique. Ces sculptures se détachent à peine du support, ce sont des bas-relief malheureusement, il ne reste plus que quelques plaques sur le côté ouest, les autres ont été dispersées : une vingtaine se trouvent au musée de l'Acropole à Athènes une au musée du Louvre, à Paris, et le reste (la plus grande partie) au British Museum à Londres.

La frise retraçant le cortège commence du côté ouest par le départ des cavaliers, ils représentent la fonction militaire, les magistrats défilent aussi, ils représentent la fonction politique. Puis viennent les animaux qui seront sacrifiés sur l’Autel d'Athéna. L'hécatombe (sacrifice de 100 boeufs) est l'offrande suprême pour la déesse, la viande sera partagée égalitairement entre tous les participants, la graisse et les os seront brûlés pour les Dieux. La scène se termine du côté est, au centre de la frise (juste au-dessus de la porte d'entrée du temple) par la remise du péplos sous le regard des Dieux olympiens.

Cette fête des Panathénées prend donc deux grandes dimensions :

- religieuse, avec les concours poétiques, gymniques et surtout avec le sacrifice à Athéna.

- Politique : avec le rappel des devoirs du citoyen : militaires, politiques, religieux.

Mais cette fête ne s'adresse pas seulement aux citoyens, elle a pour but aussi de rassembler toute la cité de montrer sa cohésion, de mettre en évidence la supériorité du régime d'Athènes : la démocratie Ainsi, tous les habitants de la cité, métèques (étrangers) compris y participent. La fête est donc facteur d'intégration, d'unité.

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