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Suenos Que Matan Y Muros Inutiles


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SUENOS QUE MATAN Y MUROS INUTILES commentaire

Suenos que matan y muros inutiles es un articulo de piensa sacado de la revista « el pais semanal. Este articulo fue escrito por Rosa Montero y publicado en el 18 de junio de 2008.

El documento trata de la inmigracion clandestina de los africanos dispuestos a todo par llegar hasta Europa.

Primero, hablaremos de las razones que impulsan a los inmigrantes a venir a Europa. En segundo, trataremos de las dificiles condiciones de viaje y sus sacrificios para llegar hasta Europa. Por fin veremos lo que piensa la autora del fenomeno.

En la primera parte, Rosa Montero da los diferentas razones de la inmigracion.

-la sequia (L11)

-la miseria y la hambruna

-8millones corren el riesgo de morir de hambre

-el idal, el sueno europeo, el brillo cegador de muestra confortable sociedad de ricos(l23-24)

Pr todas estas razones, los inmigrantes deciden emprender un largo y peligroso viaje.

En la segunda parte, hablaremos de los sacrificios de los inmigrantes : tienen que abandonar a su familia

Tienen que tabajar y ganar el dinero para pagar el viaje.

Tienen que confiar en el traficante o « coyote » que se aprovechan de ellos para sacarles entre 600 y 3500 euros. Pues ese dinero podria servir par crear un pequeno negocio o ayudar a la familia

Sus dificiles condiciones de viaje :

para cruzar el mar tienen que cojer pateras en las que pueden perder la vida

Las dificiles condiciones :

para cruzar el mar, tienen que coger una patera en las que pueden perder la vida  « mas posibilidades de morir »

El estrecho de Gibraltar que separa Africa de Europa solo mide quince kilometros pero su traversia es peligrosa(hay mareas muy fuertes).

Pues a menudo, los inmigrantes se dirigen hacia las islas Canarias que estan a unos 110 km del continente. Es un viaje que los africanos intentan « una a otra vez » hasta que, por fin, llegan a Espana.

En la tercera parte, aprendemos que, para R.M, todos los esfuerzos represivos y defensivos son inutiles para contener esta inmigracion.

Utilizo una metafora (L6) : « contener el agua del mar entre las manos », para poner de realce(mettre en évidence) la imposibilidad de acabar con este problema.

Sigue comparando Europa con un castillo que solo puede ser situado(assiégé) (L6)

Al final del articulo, el mensaje de la periodista esta claro : los inmigrantes tienen una imagene idealizada de Europa (L26) : « esta vision... suyo », y estan convencidos de que la vida acqui es sin lugar a dudas, mejor, sin hambre, sin miseria, suenar con la vida Europea y la fuerza de los suenos, de la esperanca, estan fuerte que nada podemos hacer para impedir que los realicen : ni muros ni fronteras ,ni barreras, ni policia sirven.

Conclucion : para concluir, podemos decir que R.M esta convencida de qu nosotros los europeos ni con vallas(barrières), ni con la ayuda del ejercito (armée) y de la union européa. Llegaremos a contener este mar de gente. Porque no podemos luchar contra su sueno.

Doc p81: intentan franquera el muro : essaient de franchir le mur.

Los que estan del otro lado a la derecha.

Intentan rechazar los : essaient de les repousser.

Somos todos iguales : nous sommes tous éguaux.

SUENOS QUE MATAN Y MUROS INUTILES traduction

Chaque fois ils commencent leur tragique voyage depuis plus loin. D’abord il-y-a le Maroc.

Puis la Mauritanie, le senegal maintenant. Plus les bateaux sont loins, plus il-y-a de chances de mourir. Pendant ce temps, nous avons obtenu des clotures, des patrouilles, nous, nous exigeons la présence de la marine, nous demandons à l’union européenne de faire quelque chose. Mais tous les efforts de répression et de défense semblent inutiles : C’est comme essayer de contenir de l’eau de la mer dans ses mains. L’Europe est fatalement un château assiégé, une petite ile au milieu d’un océan de désespoir.

Certains crient pour vrai que nous pouvons nous défendre par nécessité ? Ils sont beaucoup, chaque jour de plus en plus et sont prets à essayer encore et encore de perdre leurs vie. C’est tout ce qu’ils ont, ou presque.

L’afrique est un continent à bien des égards, tragique et angoissant. Souffre actuellement de la sécheresse qui a aggravé une situation déjà limitée, et huit millions de personnes sotn à un moment critique du risque mourir de faim. Il est clair que les migrants sont motivés par la pauvreté et la famine. Mais il ne s’agit pas seulement de se déplacer. Parce que ces sordides trajets vers la cote espagnole en général coutent de l’argent. Apparemment en fonction du bateau ou de la route, chacun paye entre 600 et 3500 euros pour le traficant. Les sommes sont respectables, surtout dans le contexte africain.

Dans les villages d’origine à partir desquels les immigrants ont été en mesure d’obtenir l’argent, par quelques autre moyen le commerce par exemple.

Non, ce n’est pas la faim, ni les besoins les plus élémentaires, ce qui pousse ces déshérités de la terre de lancer une aventure si dangeruse. Je pense que ce qui les meut vraiment l’idéal, le rêve de paradis européen brillant, la luminosité aveuglante confortable de la richesse de notre société, comme le divin dans la télévision et au cinéma. Que ces chimères sont des visions d’un monde sans aucun doute meilleur que la leur, mais qui donne aussi la distance d’un caractère édénique, qui empoisonne les immigrants africains. Ils viendront et continueront à mourir parce que l’histoire a montré que les murs ne peuvent contenir les rêves.

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