Aller au contenu

Ai Je Un Corps Ou Suis Je Un Corps


mimidb

Messages recommandés

Bonjour,

Introduction :

Aujourd’hui, l’apparence physique est l’élément essentiel de la vie de certaines personnes. Il faut être plus maigre ou plus musclé pour correspondre leur norme comme si leur vie se limitait à leur corps. L’homme se définit-il seulement par son corps ou existe t il à travers autrement ? Est ce que mon corps me représente en entier ou n’est il qu’une partie de ma personne ? Qu’est ce que le corps ? Pour ces personnes l’identité est assimilable à leur corps. Mais ce principe est il généralisable ? Le corps peut se définir comme un objet matériel, un organisme qui me fait exister face aux autres ou qui me permet de voir les autres choses exister pour moi. Mais il s’agit d’examiner le relation que j’entretiens avec ce corps qui n’est pas spécifique à l’homme puisqu’il est aussi le fait de tous les animaux. Ai-je un corps ou suis-je un corps ? Cette opposition est-elle recevable ou doit être dépasser telles seront les 3 interrogations que je vais maintenant approfondir.

1-Ai je un corps ?

a- « j’ai un corps » signifie que le corps est une possession de mon esprit. Ce n’est pas lui l’objet central de ma vie, l’objet qui me définirait. Il ne serait alors qu’un objet important. Il correspond aussi à une donnée scientifique sur lequel les médecins se penchent. C’est aussi la seule donnée observable. Le corps représente aussi ce qu’on voit ou qu’on sent avant la naissance mais aussi après la mort. Pour Descartes, le corps est la seule certitude. Mais, l’homme est plus que l’animal parce qu’il conscience de cette possession.

b- Puisse que le corps ne serait qu’une chose m’appartenant, je pourrais donc le contrôler quoiqu’il se passe. C’est le cas, par exemple, lors d’une blessure. On peut contrôler la douleur : à partir d’un certain âge, l’enfant relativise la douleur. Là où il criait à la moindre écorchure, il regarda à peine et mettra certaines fois un pansement mais ce n’est pas quelque chose d’obliire. C’est la thèse défendue par Alain dans définitions, l’âme est différente du corps tout en lui étant plus forte. Elle est capable de contrôler tous les besoins du corps. Ainsi, Alexandre lors de la traversée d’un désert refuse de boire alors qu’il avait la possibilité de le faire. Il va même jusqu’à gaspiller cette eau en la renversant. Par ce geste, il montre le contrôle qu’il a sur son corps puisqu’il contrôle ses besoins, envies…

c- Sans l’esprit l’homme serait semblable à un animal qui répondrait à ces instincts. Cependant, l’esprit permet à l’homme de dépasser ce stade en lui offrant une réflexion : il peut alors décider d’éviter la fuite lorsqu’il a peur pour ne pas se montrer en situation d’infériorité, refuser de se battre pour ne pas risquer de mourir. La sagesse permet à l’homme de faire des choix en fonction de plusieurs facteurs là où des animaux choisiraient en fonction de la situation au moment t.

Descartes a montré à travers la première vérité qu’il a trouvé que c’est grâce aux pensées que nous sommes ? En effet, c’est parce que je pense que je suis.

2- Suis je un corps ?

a- Le « je suis » signifie « j’existe ». « je suis un corps » signifie donc « j’existe à travers mon corps ». Mon corps et moi ne ferions plus qu’un.

b- L’enfant qui naît ne se reconnaît pas d’abord dans un miroir : il n’a pas conscience de qui il est. C’est le stade de l’En-Soi. Le seul but de l’enfant est de répondre à ses besoins naturels : il pleure quand il a faim, froid … Seulement quelques mois après il s’aperçoit qu’il existe, que c’est lui le bébé qu’il voit dans le miroir. Il commence alors à parler de « je ». C’est à ce stade qu’on peut vraiment parler de « Pour-Soi » et donc de conscience. Peut on réellement assimiler la conscience et l’esprit ? A ce stade là sans doute. Ainsi, l’homme commence par satisfaire les besoins de son corps car pour lui c’est une priorité avant de voir le monde qu’il l’entoure et réfléchir sur son environnement

c- Si le corps n’est qu’une possession il devrait être possible, plus difficilement peut être, de continuer à vivre alors que si le corps est mon identité, sans lui l’esprit ne peut continuer à vivre. Imaginons que le corps n’existe pas. Les esprits que nous sommes serions alors comme des gaz dans l’atmosphère. Or, sous cette forme aucune communication ne paraît possible. Sans communication il apparaît vraisemblablement que l’esprit ne peut se développer. S’il ne peut grandir, il disparaît. Ceci signifie que sans le corps l’esprit périt. L’esprit est donc dépendant du corps. C’est le thèse que défend Nietzsche dans le Gai Savoir.

3- compromis entre le corps et l’esprit

Je suis le pilote dans l’avion : Si j’ai un corps ne peut-il être considéré comme une machine, un bateau dont mon esprit serait le pilote. Pour quelles raisons puis-je considérer l’esprit comme un pilote qui conduit le corps ? En fait, l’esprit peut transmettre des actes que seul le corps peut réaliser. L’un sans l’autre est comme un avion sans pilote. Le corps comme l’avion ne peut rien réaliser sans ordre et l’esprit comme le pilote ne peuvent aller très loin sans le navire c’est à dire le corps. Les deux vivent ensemble et traversent les difficultés ensemble : l’esprit peut tenter de faire oublier la douleur au corps etc.….

Cette union de l’âme et du corps est elle harmonie, confusion ou mélange ? Le « Je » serais un mélange entre conscience, morale, esprit … et tout cela dans un corps. Ces mélanges peuvent parfois amener le doute dans le « je ». On hésite alors entre ce que souhaiterais le corps par exemple manger, dormir, boire et ce que sais l’esprit par exemple je suis en classe et je n’ai donc pas le droit. Il est aussi possible que cette union amène la confusion.

Voici donc ma dissertation que puis je améliorer

Qu'est ce qui ne va pas ?

Combien pourrais je avoir ?

merci d'avance

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • E-Bahut

Salut :)

En tout cas je trouve que c'est très bien présenté et structuré. En plus t'as une syntaxe précise est claire donc je trouve que c'est vraiment pas mal :D

Le seul truc où j'accroche un peu c'est sur certaines théses et arguments qui me parraissent plus vraiment d'actualité et un peu discutable :

l’âme est différente du corps tout en lui étant plus forte. Elle est capable de contrôler tous les besoins du corps
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour à vous deux,

Je ne suis pas tout à fait d'accord quant à dire que nous sommes des animaux.

Je dirais que nous intégrons le caractère animal (qui lui intègre le végétal…), oui, mais que nous avons un ""petit"" plus dans cette affaire : l'accès à la conscience complète de Soi. « Je Suis ».

(Cela dit, je prête volontiers sensibilité (âme), esprit à ceux ci mais à un niveau moindre que nous. J’y vois une certaine hierachie. Laquelle ne signifie en aucun cas supériorité ! J’ai plutôt tendance à considérer tout ce qui est comme étant en vie –même le minéral- mais caractérisant les choses par leur niveau de conscience.).

Ce qui est difficile dans tout ceci c'est de bien définir les termes.

Ame, esprit, corps, conscience, être, exister,...

J’imagine que, comme à mon habitude -j’adore les échanges passionnants et passionnés!- je vais aller assez loin et même…probablement en choquer plus d’un.

Le sujet est assez difficile et tourne étrangement autout des grandes questions : Qui Suis-Je ? Suis-Je ?…

Je donne ici mon avis. Il n’engage que moi bien entendu.

Voici ce qu'imaginent les gens en général:

L'âme est un principe immatériel situé dans le coeur.

L'esprit est dans notre tête, c'est un pricipe immatériel, ou bien c'est peut être l'âme... ? (confusions...voir dictionnaire)

Bref, nous sommes un être triple (là je suis assez d'accord) et le corps est le contenant de l'âme et de l'esprit.

Le corps est de la matière piloté par l'âme et l'esprit. Quoique…

Rapidement, voici comment je vois les choses:

Je suis, comme je l’ai dit, d’accord sur l’aspect triple de l’Etre.

Le corps est une condensation énergétique composé à 99% de « vide ».

(En réfléchissant un peu, il n'est pas plus matériel que le reste...)

L'esprit (pensée) est "encore" une énergie située partout dans le corps.

(Il suffit de regarder tout simplement une cellule pour constater son ingéniosité).

L'impression de piloter l'engin à partir du crâne provient du fait qu'il y a là une très forte densité de cellules.

Le cerveau est "juste" un mécanisme physico-biochimique avec lequel sont traduit en impulsions physiques les énergies de la pensée à travers les systèmes nerveux.

C'est un transmetteur-récepteur, comme d'ailleurs chaque cellule du corps. Il y a une relation étroite entre toutes, rien n’est indépendant. Nulle part.

Tu dis:

Les esprits que nous sommes serions alors comme des gaz dans l’atmosphère.

Or, sous cette forme aucune communication ne paraît possible.

Ceci signifie que sans le corps l’esprit périt. L’esprit est donc dépendant du corps.

Aucune communication n’est possible me semble vite en chocolat.

(Je pourrais éventuellement vous prouver le contraire, mais ce n’est pas le sujet même si nous n’en sommes pas si loin).

Je dirais, sans l’esprit, le corps « périt ».

(Dans le sens où son énergie potentielle redevient disponible pour autre chose. Merci Mr Lavoisier)

Tu dis, Nicolas :

Tu détruits le cerveau tu détruits en même temps l'esprit

Il semblerait que l'esprit soit le cerveau

Je ne suis pas tout à fait d’accord.

Détruire le centre principal de commande affecte le corps, et c’est bien naturel.

Mais l’esprit ?

Rien n’affirme qu’il disparaît, qu’il est anéanti. La non manifestation « visible » n’implique pas la non existence.

On peut très bien « détruire » un cerveau et maintenir les fonctions vitales en état de marche.

Je pense qu’alors, l’esprit reste encore attaché au corps, puisqu’il est dans chaque cellule.

On fait peut être l’amalgame avec la conscience visible qui ne l’est tout simplement plus (apparente).

Les impacts de l’âme et de l’esprit sur le corps.

Croyez-vous que lorsque vous déclarez une maladie, votre bonne étoile vous manque encore de respect ?

Cherchez plutôt du côté des problèmes et accumulations de problèmes difficiles que vous avez vécus ces derniers temps.

Des questions se posent (Enfin ! Bien que d’autres se soient penchés sur la question avant) pour, par exemple, déceler s’il n’y a pas une corrélation entre un « gros » problème familial (perte d’emploi du mari, problèmes avec les enfants…) et le cancer du seins chez la femme. Pour l’homme on cherche plutôt du côté du cancer de la prostate.

Je ne trouve pas bizarre mais plutôt logique qu’un organisme soumis à un stress important et répété finisse par déclencher une défaillance.

Puisque l’important est de rester ouvert à toute proposition, un certain Dr Hamer (il ne fait pas que des émules mais a au moins le mérite de se poser la question et d’ouvrir le débat) dit ceci : Toute maladie est d’abord mentale.

L’esprit, la pensée, suivant l’orientation que l’on va lui donner va répercuter telle ou telle chose sur le physique.

(A vrai dire, cela ne m’étonne pas vraiment. Puisque la matière est pensée. Voir plus loin)

Je sais vous aller me dire que ceux à qui on innocule le virus du SIDA, par exemple, n’en échappent pas.

Alors où est donc le pouvoir de l’esprit sur la matière ?

Je ne peux répondre à cette question qu’après avoir parlé de l’âme.

(Et encore ! le sujet est bien plus vaste que cela ! Mais je ne me débinerai pas si vous me posez la question !)

Bon, la conscience, pour moi, dans le sens que l’on entend en général :

Elle concerne le fait d’être conscient.

C’est un état d’être. Il y a plusieurs états de conscience, et même une infinité.

(J'aborde un sujet difficile)

Etre ne s’atteint qu’à travers l’expérience (de Soi), qui, n’est possible que dans un système relatif.

Vivre dans la conscience, c’est être conscient d’être conscient (etc)…

C’est être conscient que l’on fait des choses inconsciemment et donc c’est le faire consciemment.

Etre inconscient c’est même ne pas savoir que l’on ne sait pas.

La conscience, pour moi, se créée à partir du moment où il y a définition de "frontière".

La tension soi-non soi (qui est automatiquement créée par le fait de définir ceci comme non-soi et donc cela comme soi) permet la naissance de la conscience de soi. Laquelle est « extensible » et permet l’évolution. Il suffit de changer de définition ; ce que nous faisons chaque seconde. (Je suis ceci, je suis cela, je suis super heureux, je suis écoeuré…).

Plus loin, La conscience « totale » signifie t-elle quelque chose ?

Tout ? Ou en définitive plus rien, le néant ? Cela a-t-il un sens ?

A mon sens oui et oui, mais il ne s’agit plus ici du fait d’être conscient (qui n’est possible qu’en relatif) mais d’avoir la conscience conceptuelle, la connaissance.

Là, on est dans l’Absolu ; il me semble impossible d’utiliser des mots pour le décrire. Toute tentative sera cela : une tentative.

Au mieux, j’imagine cela comme une palpitation : Etre – Non être.

Quelque chose qui oscille entre le « Je Suis et Je Ne Suis Pas ».

Cela répond peut être à la question d’Hubert Reeves : Pourquoi y a t il quelque chose plutôt que rien ?

Sa question n'a pas tellement de sens, puisqu'il sépare ici en "ou bien" et "ou bien". Alors que probablement "et" et "et" s'appliquerait.

Il y a les deux en même "temps".

(Gödel a pourtant montré que deux vérités contradictoires en apparence pouvaient co-exister dans un même espace; ce qui ne me choque pas après tout.)

Ca devient difficile hein ?!

Chacun, chaque jour et nuit, se trouve dans différents états de conscience.

Prenez par exemple, le matin lorsque vous allez travailler, après une bonne nuit de rêves.

Il arrive qu’après le trajet vous vous disiez : tiens ! je suis déjà arrivé !

Peut être étiez vous dans la lune !

On peut en être conscient ou pas.

Faites d’autres expériences (croyez moi, vous ne craignez rien). Décontractez vous, relaxer vous. Ralentissez votre pensée.

Vous allez alors atteindre d’autres états...surprenants.

Vous pouvez à loisir modifier votre état usuel de conscience, si vous le savez.

Et ils sont nombreux…Pas de panique, vous pilotez de A à Z !

Et ce ne sont pas forcément des états anormaux…Bref.

Et l'âme dans tout ça?

Elle n'est pas contenue ‘dans’ mais... contient tout ce beau monde!

Oh! Surprenant. Pensez-y !

Pour prendre une image:

c'est comme une goutte d'eau dans l'océan...infini.

Il y a la goutte qui -semble- bien délimitée, contenue dans l'eau et contenant de l'eau.

Mais vous allez me dire:

Puisque je suis –aussi- mon âme et que mon âme est...tout, pourquoi je ne m'en rends pas compte?

L'égo.

Sa fonction est de (je me lance) donner l'illusion de la séparation.

(Et il y a une raison)

Je reviens sur l'âme.

C'est une énergie-non énergie. Vibrante.

Comme toute vibration, elle se déplace sous forme d'onde vibrant à différentes vitesses, créant ici et là différents effets de densité. La condensation de cette énergie crée ici ou là ce que l'on appelle de la matière. L’énergie est formidablement ralentie et agglutinée.

Les scientifiques soupçonnent des briques ultimes et sont proches de découvrir qu'en réalité, tout provient de la même chose.

Les objets sont peut être différents mais sont la manifestation d'une unique Energie.

C'est la multiplicité de l'Un (Appelez le Dieu ou Vie ou peut importe, ça ne modifiera pas Ce que c’est !).

L'"erreur" est bien entendu de croire qu'il y a une séparation entre matière et pensée, qui en réalité sont issues d'une même chose, qui sont la manifestation d’une même chose. Mais c'est l'illusion -utile- dans laquelle nous nous sommes tous engagés.

Et quel est son langage ? Les sentiments.

C’est par ces biais qu’elle communique.

L’âme se fiche bien de ce que l’esprit et le corps peuvent choisir parmis l’infini panel d’états disponibles, pourvu qu’ils choisissent !

Le but est alors de ressentir ce qu’elle est par ces biais.

Voilà son stratagème : créer du relatif (de l’absolu modifié) afin d’expérimenter sa connaissance conceptuelle.

C’est sûrement son plus grand bonheur.

Quant aux dysfonctionnements dont tu parles, Nicolas, il me semble logique que la « perturbation remonte » vers l’esprit et l’âme puisque le corps est là pour ça : permettre de sentir ce que l’on est. Il aurait été malheureux que cela ne fonctionne pas ainsi.

Oui, je sais tout ça semble farfelu…mais tenter de comprendre, est ce que, au fond, chacun fait à son niveau.

J’entends Nicolas me dire :

Tu parles de choses qui ne sont pas scientifiquement prouvées !!! <_<

Ah !…

Pourtant, la « raison » n’a pas toujours raison me semble t-il.

Que peut-on prouver ? L’existence de la matière ?

Pas tellement à mon avis…

Crois-tu que le fait de voir ou bien de toucher ou bien d’analyser les caractéristiques d’un objet donne la preuve de son existence ?

Le « je crois ce que je vois » serait donc en application !

Touche un objet et tu auras en principe une sensation.

Cela n’indique absolument rien sur l’existence même de l’objet !

Et même si deux personnes s’y mettent !

Cela prouve seulement que les personnes ont le même fonctionnement. Pas plus!

D'une manière générale, les gens on tendance à penser (et c'est là le pb :) ) que :

non sensation implique non existence. (ou bien existence implique sensation)

Or il me semble bien qu’il y a une multitude de choses que nous ne voyons, n’entendons pas mais qui sont dites existantes !

Là le bas blesse…

Quant à moi, j’applique « je vois ce que je crois ».

Essayez, ça ouvre le champ d’expériences ! (A condition, d’avoir l’esprit ouvert et de croire à plein de choses et notamment à ce qu’on ne croit pas ! Oups !)

Je m’arrête ! Car je me suis assez définit pour le moment !

Ca fait du bien de faire de la philo de temps en temps ! Non ? :D

;-)

Quant à ta dissert, c'est parmi les sujets les plus difficiles qui soient.

Il suffit de bien structurer sa pensée (c'est ce qu'ils aiment! :) ) et tout ira bien.

Bon courage pour la suite

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • E-Bahut

Lol ça y est mimidb doit regretter d'avoir posé sa question !!! ptdr :lol:

Surtout que je crois plus que ça va te servir, m'enfin c'est pour répondre à Philippe ;)

Je ne suis pas tout à fait d'accord quant à dire que nous sommes des animaux. Je dirais que nous intégrons le caractère animal (qui lui intègre le végétal…), oui, mais que nous avons un ""petit"" plus dans cette affaire : l'accès à la conscience complète de Soi. « Je Suis ».
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...
spam filtering
spam filtering