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Désir De Liberté!


sam17

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Bonjour

je viens juste d'avoir mon sujet ya 3 jours et j'aimerai avoir quelques idées pour ce sujet de dissertation

Si nous désirons être libre qu'est ce qui nous empêche de l'être?

je pense tout d'abord à la société, aux lois, aux désirs tout simplement qui nous rende esclave

mon plan à première vue serait:

I/étudier la notion de désir d'être libre

II/Qu'est qui nous empeche de l'etre?

III/Que faire pour y remedier?

donner moi s'il vous plait quelques idées!!!pendant que moi je continu mes recherches

merci!!

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  • E-Bahut

desires tu etre libre? avec la liberte, la responsabilite, non. Desires tu etre entierement responsable de toi-meme? peux tu l'etre?

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  • E-Bahut

Bonjour

Déjà définir ce qu'est être libre, c primordial selon moi.

Ensuite la liberté n'est elle pas qu'un sentiment ? Une illusion ?

Obstacles: conscience morale, la société, passion, ...

Il faudrait que tu lises Sartre, il pourrait t'aider ds ta réflexion... Ainsi que Spinoza.

Si t'as d"autres questions, n'hésites pas .

Bon courage

Ps: Ton plan me parait peu pertinent..

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SLT!

A mon avis tu purrais aussi t'interroger sur la différence, la responasbilité etl'individualisme.

Tt d'abord, la liberté est la condition fondamentale de l'épanouissementde la personnalité d'un être humain. L'esclave qui n'a pas choisi sa condition, ne possède pas de dignité, le sait, et en souffre. Nietzsche, en définissant "la valeur d'une chose", prend dans le texte suivant l'exemple de la liberté, et est amené ainsi à exprimer précisement ce que la liberté signifie pour lui.

Voici le texte:

"La valeur d'une chose réside parfois non dans ce qu'on gagne en l'obtenant, mais dans ce qu'on paye pour l'acquérir, -dans ce qu'elle coûte. Je cite un exemple. Les institutions libérales aussitôt qu'elles sont acquises : il n'y a, dans la suite, rien de plus foncièrement nuisible à la liberté que les institutions libérales. On sait bien à quoi elles aboutissent : elles minent sourdement la volonté de puissance, elles sont le nivellement de la montagne et de la valléeérigé en morale, elles rendent petit, lâche et avide de plaisirs,-le triomphe des bêtes de troupeau les accompagne chaque fois. Libéralisme: autrement dit a bêtissement par troupeaux. (...)

Qu'est-ce que la liberté? C'est avoir la volonté de répondre de soi. C'est maintenent les distances qui nous séparent. C'est d'être indifférent aux chagrins, aux duretés, aux privations, à la vie même. C'est être prêt à sacrifier les hommes à sa cause, sans faire exception de soi-même. Liberté signifie que les instinctsjoyeux de guerre et de victoire prédominent sur tous les autres instincts, par exemple sur ceux du "bonheur".

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pour le plan ce n'est juste que la première approche

merci pour vos idées, c'est vrai j'avais pas pensé à la responsabilité de soi qu'il faut avoir pour être libre!!

Liberté signifie que les instinctsjoyeux de guerre et de victoire prédominent sur tous les autres instincts, par exemple sur ceux du "bonheur

je ne comprends pas vraiment le lien avec le désir d'être libre

mais le terme le plus important ce n'est pas l'expression "désirons d'être libre"?

je ne sais pas, mais pensez vous que je dois me focaliser plus sur la liberté au lieu du désir, ou dois je toujours parler de "désir d'être libre"?

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  • E-Bahut

Je pense que tu ne devrais pas te focaliser seulement sur la liberté car c'est surtout le "désir d'être libre" qui est important.Si tu te focalises sur la liberté,ton sujet sera traité qu'à moitié ou sera même hors-sujet.Ce n'est pas un devoir sur la liberté mais un devoir sur le désir et la liberté.

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depuis tte à l'heure g un peu réfléchi et je crois qu'il faudrait dire que la liberté n'est pas l'individualisme; voici quelques idées:

Qu'est ce que la liberté ? Pour beaucoup, être libre c'est faire ce que l'on veut. C'est ce que l'on peut appeler le sens commun du mot. A partir de cette définition, il s'avère que la seule situation dans laquelle l'homme trouve la liberté est la solitude. Cependant certains philosophes se sont livrés à une critique sévère de cette conception de la liberté et ont défini un nouveau concept de liberté qui semble faire à peu près l'unanimité des philosophes. C'est ainsi que Rousseau a défini la liberté de l'individeu vis-à-vis d'autrui et Freud la liberté de l'individu vis-à-vis de lui-même. Nous allons donc reconsidérer cette affirmation : "le seul homme libre est l'homme seul" en fonction de ces deux dernières définitions.

Il s'agit tout d'abord de bien préciser ce que l'on entend par homme seul. Il apparaît évident que l'homme seul est placé hors de toutes relations humaines de quelque nature qu'elles soient. Cela suppose la possibilité de simple juxtaposition des individus : la solitude dans la foule. Diverses situations peuvent se présenter. Considérons tout d'abord l'homme face à la Nature tel que l'a défini Rousseau. Bien sûr, les sociologues ne manqueront pas de s'élever contre ce terme d'"état de nature", mais rappelons toutefois qu'il s'agit d'une simple hypothèse de travail de Rousseau, une "mise entre parenthèses" du fait social pour mieux l'expliquer. Si cet homme est seul, hors de toutes relations humaines, il jouit d'une liberté absolue au sens commun du terme : il a la possibilité de faire ce qu'il veut. Mais il peut être confronté à autrui et, ainsi qu'on le verra plus loin, il y'a lutte (ce qui constitue à autrui et, ainsi qu'on le verra plus loin, il y a lutte (ce qui constitue évidemment une relation humaine) et c'est le plus fort qui gagne : liberté absolue pour lui, aucune liberté pour le vaincu, le plus faible. Donc, d'une manière générale, pas de liberté dans l'état de nature et de confrontation avec autrui. Considérons maintenant l'homme en société. S'il est seul : pas de relations humaines a priori mais pourtant il est un citoyen, c'est-à-dire qu'il est lié à chaque citoyen par ce que Rousseau a appelé le "Contrat Social" qui constitue assurément une relation humaine constante. L'homme seul n'existe pas en société. D'autre part, cet homme, apparemment seul, est soumis, comme tous les citoyens, à des règles collectives et coercitives (ces deux caractères étant les caractères essentiels du fait social pour le sociologue Durkheim): les lois. Donc tout citoyen, membre d’une société, est soumis aux lois et à un certain nombre de devoirs sociaux : il ne peut faire ce qu'il veut : pas de liberté. Par conséquent : le seul homme libre est l'homme seul dans l'état de nature. Mais certains philosophes et, en particulier, Rousseau et Freud avancent un certain nombre d'arguments de réfutation de cette affirmation. Pour Rousseau, l'homme seul (dans l'état de nature puisqu'il ne peut être seul en société) est assurément libre et sa liberté absolue. Mais c'est une liberté négative qui est continuellement menacée par la réalité extérieure : la Nature. Face à l'hostilité de la nature, l'homme seul doit donc lutter pour survivre. Sa "liberté" est bien aléatoire, continuellement en danger. On ne peut la considérer comme une réelle liberté. La Théorie de l'inconscient de Freud a montré que l'homme était l'esclave de ses pulsions et que le Moi, l'être véritable de l'homme, était tyrannisé par le ça, "marmite des passions". Il apparaît donc que, de même qu'il y a une liberté de l’individu vis-à-vis de lui-même et qui n’est pas réalisée chez l’homme à l’état nature, ainsi l’homme seul n’est pas libre au sens de Rousseau et de Freud. Mais alors, en quoi consiste la libération de l’homme, et est-elle possible ? Nous allons bien sûr trouver une réponse à cette question dans Rousseau et Freud !

Considérons tout d’abord la liberté de l’individu vis-à-vis de lui-même. La réponse de Freud est simple (du moins, à exposer) : le Moi doit repousser le ça aussi loin qu’il peut et prendre sa place. L’homme doit donc dominer et maîtriser ses pulsions et ses instincts, il doit certes les assouvir, mais avec modération, en les canalisant et toujours en les dominant. Il doit en fait prendre conscience de son inconscience et la dominer, et il est aidé en cela par la Théorie de l’inconscient établie par Freud. Cette domination, elle est réalisée d’une certaine manière dans notre société : l’homme doit couler ses instincts dans le moule des institutions sociales et ce, au nom de la morale. Il ne doit les assouvir qu’au sein de structures très précises comme le mariage, etc. Ce n’est point le lieu de discuter du bien-fondé de ces structures, mais on peut cependant remarquer une certaine tendance à la confusion entre les mœurs et la morale. Lorsque le Moi a pris la place du ça, l’homme est libre vis-à-vis de lui-même qu’elle que soit sa situation. Considérons maintenant la libération d’autrui et commençons par la libération de l’homme à l’état de nature, confronté avec autrui ou seul. D’après Rousseau, il jouit d’une liberté absolue, au sens commun du terme, mais négative. Il est en effet continuellement menacé par la réalité extérieure et doit lutter pour survivre face à l’hostilité de la nature. Mais il y a un autre aspect important mais volontairement négligé par Rousseau pour lequel la violence n’est qu’un produit de la société corrompue. Il s’agit de la confrontation avec autrui, qui a été étudiée par Hobbes. A l’état de nature, cette confrontation ne peut qu’engendrer la lutte. Cela s’explique par le désir de puissance que Nietzsche trouvait en tout homme et par le désir de toute conscience humaine d’être reconnue comme valeur par autrui, dont l’étude par Hegel aboutit à la célèbre dialectique du maître et de l’esclave. Ce qui fait la dignité de l’homme, c’est qu’il peut placer des valeurs au-delà du vital. Ainsi deux individus ne peuvent se reconnaître mutuellement comme hommes que dans une lutte à mort pour le prestige. Si l’un des adversaires, ou même les deux, meurent, il ne peut y avoir de reconnaissance. Mais le premier qui a peur de mourir arrête le combat et devient l’esclave de l’autre, le reconnaissant comme homme. C’est la loi du plus fort qui prend une liberté absolue et n’en laisse aucune au vaincu. Mais le maître est aliéné par l’esclave, car pour être maître, il a besoin du regard de l’esclave. D’autre part, l’esclave travaille la nature et la transforme pour le maître : l’esclave a donc vis-à-vis de la nature ce statut humain que le maître lui refuse. Le maître, lui, ne travaille pas : il a besoin de l’esclave pour vivre. Il ne considère pas l’esclave comme homme : quelle est donc la valeur de la reconnaissance de celui-ci ? Hegel aboutit à ce paradoxe : le maître est l’esclave de l’esclave, l’esclave est le maître du maître. La situation est instable : à tout moment l’esclave peut reprendre la lutte : d’où une insécurité constante pour le maître. Il en est de même avec les conséquences du désir de puissance. Il n’y a donc de liberté ni pour le fort ni pour le faible. Il règne au contraire une insécurité constante. C’est pourquoi, d’un commun accord, les hommes vont dépasser cette situation et la multitude va s’unir en un peuple, une société dont cette souveraineté sera fondée sur cette unanimité, et cela pour lutter ensemble contre l’hostilité de la nature et pour supprimer ces relations maître-esclave. L’acte par lequel la masse va se fonder en un peuple souverain est ce contrat social qui lie tous les hommes et qui a pour but de donner et de garantir à chacun la même liberté. Par ce contrat chaque individu accepte d’aliéner sa propre liberté en renonçant à son droit naturel fondé sur sa force physique ou intellectuelle, ce qui entraîne une égalité conventionnelle entre tous les citoyens. Cela semble paradoxal mais il n’en est rien car en niant la liberté individuelle, le contrat social établit la liberté collective. Chaque citoyen a donc le devoir d’ citoyen a donc le devoir d’obéir à la loi, fondée sur le Droit, lui-même issu de la souveraineté se la totalité du peuple. Cette obéissance est volontaire : c’est une contrainte de soi à soi, un respect de la loi. Car c’est chaque citoyen qui décide des lois en tant que membre de la société et pour cela chacun doit respecter la loi en tant qu’expression de la volonté générale :c’est cela la moralité telle que la conçoit Kant et qui est différent de la légalité : agir conformément à la loi. Et c’est au nom de ce respect de la volonté générale qui vise à procurer à chacun la même liberté que la société a le droit d’utiliser la force : la police. C’est pourquoi Rousseau affirme que « l’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté ». Mais la légalité n’est pas la légitimité. La légitimité c’est une légalité fondée sur la Justice et la Raison. Ainsi une loi, expression der la volonté génèrale, peut être injuste ou stupide, il faut la respecter. Mais ce n’est pas l’essentiel. Il apparaît en effet que l’essentiel consiste en le fait que chaque citoyen à la possibilité de choisir, d’instituer, d’exprimer sa volonté. Ainsi, la liberté en société c’est vouloir, c’est le droit au « Logos », à la parole. Et c’est le type de société parfaite dans lequel on retrouve l’homme en société.

Ainsi l’affirmation de ce que le seul homme libre soit l’homme seul est une erreur due à une mauvaise analyse de la liberté. L’homme libre, c’est l’homme qui domine ses pulsions et qui, s’il vit en société, exprime sa volonté en participant à l’institution des lois.

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  • E-Bahut

Il me semble que ton deux repete un peu ton un.

D'autre part je trouve ta discussion un peu scolaire et abstraite.

Tu parles beaucoup de la loi. Alors que pour moi l'economie joue un plus grand role.

En acceptant de faire partie d'une communaute economique, -- ou en ayant la chance d'en faire partie- je peux satisfaire a mes besoins essentiels.

Il me semble que celui qui a faim a tres peu de liberte, son esprit va tourner autour de la nouriture, et "maitriser ses desires" est affaire de philosophes, mais pas de ventres creux.

Donc une organisation economique qui me permet de trouver nourriture, abris, eau, le soin des maladies... --- toutes choses auquel tu ne songes peut-etre pas dans une societe comme celle

de la France --- est essentielle a la liberte.

Mais en nous simplifiant la vie, nous avons aussi perdu le contact avec l'autre. Plus question de demander a pierre de l'aide pour rentrer son foin en echange d'une aide avec la vigne. L'enorme

invention economique qu'est la monaie nous as donne une extreme flexibilite --- liberte? -- pour

subvenir a nos besoin au cout d'une isolation sociale extreme.

donc plutot que aux limites de la liberte, qui te semblent bien enormes -- mais tu n'en donnes aucun exemple concret -- je parlerais plutot de notre interconnection. Et notre desire de liberte

decoule peut-etre --- dans le monde europeen -- du desir de ne pas dependre de quelqu'un d'autre ---

un aspect different de la question?

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  • E-Bahut

Bonsoir,

Comme sansid3 je trouve ton texte beaucoup trop "technique" , on s'y perd un peu. Essaie de rendre ton texte plus vivant.

De plus, tu as restreins ton sujet, tu n'abordes qu'une partie de celui-ci.

N'oublie pas de bien expliquer les propos des auteurs que tu cites, de mettre des exemples (beaucoup), c'est la meilleur façon de s'expliquer. Choisis des exemples simples et relativement "banals".

Enfin, n'oublie pas que la qualité prévaut à la quantité...

Justes quelques conseils...

Bon courage

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bonsoir,

tt d'abord je voulais dire ke j'étais entièrement d'accord avec sandid3 et experiment ms comme je l'ai bien précisé avt d'introduire mon analyse ce n'est qu'une idée à encore développer (liberté n'est pas individualisme) et qui fait partie du sujet.

d'autre part les idées de sandid3 st pertinantes ms c à toi (sam17) de les développer et de bien les utiliser.

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  • E-Bahut

Comme le dit experiment,met des exemples mais ne part pas des exemples pour arriver à ce que tu veux dire.Les exemples ne sont pas des preuves,ils sont là pour aider à comprendre et à illustrer.

Tu le savais peut-être déjà mais on ne sais jamais!

Voilà!

Bon courage!

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  • 2 semaines plus tard...

encore moi!!

voilà ce que j'ai trouvé:

voilà ma problèmatique qui sera encore à travailler!!!

Que faire pour être encore PLUS libre!!!!

désirer être libre c'est désiré réaliser tous ses déirs au dépend des autres or on a besoin des autres pour être libre, prenons éxemple de Robinson Crusoé, il est libre sur son île mais à quoi cela lui sert il????(je n'arrive pas à développer mon idée si vous pouviez m'aider!!!merci)

On a comme obstacles évidents

-le fait de désirer qui nous rend esclave de nos désirs (cercle vicieux..)

- la vie sociale qu'on peut définir comme étant un ensemble de réglements (sport, jeu de cartes par exemple...), les lois permettent de délimiter à chacun ses libertés individuelles et de donner à chacun ses droits

Ainsi je vais montrer les effets négatifs de la lois (interdit, obligation, autorité...) qui empeche d'être libre, mais que les lois d'un autre coté n'est pas incompatible avec la liberté puisqu'elle permet son épanouissement (la loi exige obeissance or l'obeissance volontaire c'est reconnaitre la légimité d'une loi, d'une autorité et s'y soumettre volontairement=>liberté)

Et ma prof m'a dit que pour accéder à cette liberté il fallait faire un effort de raison mais je ne vois pas ce qu'elle veut dire par là!!!!

en fait mon problème c'est que j'ai des idées mais j'ai du mal à la développer!

pouvez vous m'aider s'il vous plait et me dire si ces idées sont bien ou pas!!!

merci beaucoup

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  • E-Bahut

La solution classique consiste à invoquer la raison:il s'agirait d'opposer la raison aux passions en fait.Mais la raison ne suffit pas car on peut toujours comprendre et ne rien faire,voir où est le "bien" et se laisser aller au "mal".Il faut donc adjoindre à la raison un principe d'action:la volonté.Le plaisir est est en relation avec la satisfaction des désirs et,pour y parvenir,il ne m'est pas nécessairement de faire preuve de volonté.Au contraire,il me suffit bien de ma laisser aller.Il n'y a donc action volontaire digne de ce nom que lorsque je ne suis pas déterminer à agir soit par ma structure psychophysiologique,soit par mon milieu naturel et social.L'action volontaire suppose donc choix concient et délibération.Encore faut'il,pour agir ainsi,avoir la faculté de se représenter des fins auxquelles nous ne sommes pas spontanément portés.Cette facuté c'est,bien sûr,la raison.L'action volontaire,c'est donc l'action effectuée en fonction d'une représentation de la raison.Elle implique la mobilisation d'une certaine quantité d'énergie en vue d'accomplir ce que la raison nous indique comme étant juste.Resterait à savoir en quoi consiste au juste cette quantité d'énergie que l'on nomme volonté et si ce n'est pas une entité mythique derrière laquelle ne se cacherait rien d'autres que la peur des désirs ou des sanctions sociales,donc une vulgaire intériorisation des tabous socioculturels.Quoi qu'il en soit,la liberté n'en suppose pas moins,en théorie,la mobilisation du couple raison-volonté face aux désirs lorsque la raison nous les montre aliénants.Il va de soi que ce n'est guère facile.

Etre libre,c-à-d être homme,c-à-d user de sa raison et de sa volonté au lieu de se laisser dominer par les pulsions et autres inclinations,est un choix difficile.L'espérience montre tout de même que nous savons parfois agir à l'encontre de notre spontanéité et comment y parviendrions nous si nous n'étions jamais libre?La liberté n'est probablement pas une illusion,mais elle est à coup sûr un combat pénible vis à vis de soi même.

J'espère que ça t'aidera un peu.Notre prof nous avait donné un corrigé sur une dissertation sur la liberté et il y avait ce paragraphe.

Tes idées ma semble pas mal mais je ne suis pas très forte en philo donc je sais pas si c'est bon.

Bon courage!

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